Il faisait froid ,très froid et des souvenirs désagréable revenaient à moi.Des images qeu j'aurais voulu effacer à tout jamais refaisait surface dans mon état d'inconscience.Je revoyais la mare de sang dans laquelle les corps de mes parents s'y mouillait.La vision d'horreur de leur visage crispé comme dans un mauvais film.L'irréalité de la scène avec les armes blanches laissés par leurs agresseurs.Je sentis mon coeur arrêter de battre.Je refis éruption dans la réalité.

-MAMA!!!!!!!!!!!!, criais-je en resortant de mon inconscience.

Sur le coup, une terrible douleur attaqua mon corps en entier.D'un bon, je m'étais lever de mon lit d'infirmerie étirant tout mes muscles fragiles en même temps.Puis, je pleurais ma perte à chaudes larmes.Personne ne me rendrait ma famille, personne.Je les avais perdus àa jamais, mais le plus pire encore était la perte de ma soeur chérie.Je ne savais pas où elle était et cela m'inquiétait énormément.Depuis ma naissance, j'étais le guide et l'exemple de ma petite soeur.Elle avait aussi des pouvoirs, mais différent des miens.Ils étaient plus néfastes, mais elle ne les utilisient presque jamais grâce à mon bon exemple.Maintenant qu'elle était seule et qu'elle était enragée, je ne savasi pas ce qu'elle serait capable de faire.

À côté de moi avait un homme.Un homme qui parraissait surpris de moi.On aurait dit que son visage me disait quelque chose, mais je ne me souvenais de rien.Où étais-je?J'avais l'impression d'être dnas une prison.L'homme avait quelque chose dans les mains.La peur au ventre, je me levai d'un bond et regarda l'homme avec frayeur.Son regard semblait inquiet, mais je ne voulais pas me laisser impressionner.Je me reculai vers la porte et au moment où je pourrais sortir, je le ferai.Attendant quelques instants, j'évaluai a situation et partit à toute jambes dans les couloirs inconnus de l'institut....

Il fallait fuir!Je ne voulais pas que cet homme me retienne prisonnière.Mais contrairement à d'habitude, je ne sentais aucune haine et aucune ondes négatives dans l'endroit.Même l'homme me parraissait bien.Cependant, mon instinct de survie était enclenché depuis plusieurs semaines et ma logique n'avait aucun sens.Alors que je courais dans le couloir, je heurtais un homme.Mais c'était l'homme!Comment avait-il pu se rendre s ivite jusqu'à moi? Comment était-ce possible d'être si rapide?Était-il comme l'oncle Alekseï?Celui qu'on ne voyait à peine passé tellement sa vitesse était intense?Je ne m'attardais pas a plus de questions, car l'homme m'adressa la parole.

« Ne fuis pas Anastasia, je suis là pour t’aider… »

Un peu moin méfiante, je me laissai emporter par l'homme.LA tête baissé, avançant d'un pas chancelant, j'apperçu l'homme das la pièce,m ais il était à côté de moi en même temps!

*Je comprend plus rien moi à la fin, pensais-je, soudainement étourdis.

Le clo^ne ou l'homme, je ne sais pas, me déposa sur le lit de l'infirmerie.D'un regard emplis de confiance et d'honnêteté, l'homme déposa un mystérieux liquide ert nettaya mes plaies.Je ne savais que penser de toute cette histoire.Il m'avait eu l'ir si menançant quelques minutes plus tôt.Et là, il me soignait comme si j'avais été un personne de sa famille.

« Je suis comme toi, je suis un mutant. Ici il n’y a que des gens comme nous, tu ne crains rien. »

Je fronçai les sourcils.Comme moi?Mais comment étais-ce possible?Pensant à ma phrase dans la langue américaine, je finis par ouvrir la bouche.

-Toi aussi, tu fais pousser les plantes?, demandais-je curieuse.

Le regard qu'il me lançai me fit sourrie.Il avait l'air assez surpris.Alors, je compris qu'il avait compris ce que je venais de lui dire.Trouvant cela amusant, j'essayais de continuer la conversation.

-Moi, quand j'ai contact avec l'eau, mes pieds disparaissent, lui dis-je, il y a une nageoire..non.. une patte.. non.., cherchais-je, ah oui! une queue de poisson qui apparraît, fid-je en lui montrant mes jambes.

Je ris me rappelant la première fois que ce don c'était manifester.J'étais chez moi et j'entrai dans la baignoire.Une belle petite queue de poisson verte était apparue.

-Avec transformation en sirène, moi peut respirer sous l'eau, lui dis-je.

Je me sentais bien, là à parler avec cet homme emplis de bonté.J'étais bel et bien arriver il parrait.Enfin en sécurié, quel soulagement!

-Je suis à insitut mutants? demadnais-je pour être sur