Ce matin-ci, je me réveillais dans ma chambre. Hier soir, j’ai passé une nuit agitée de cauchemar qui me paraissait réaliste dans mon esprit, a-t-elle point que je me faisais tremblaient les objets autour de moi, les meubles causés un fracas qui cessait quelque minute plus tard. Par la suite, mon sommeil se déroulait pour le mieux. Je me préparai dans ma chambre où je me dirigeais à la douche, je me lavais pendant une bonne heure afin de me détendre, avant de commencer la journée sous les meilleurs horizons. Je m’essuyais avec ma serviette, celle-ci entourait mon apparence. Je m’avançais devant mon dressing sans savoir ce que je vais mettre sur moi-même, une question se posant tous les jours dans mon cas et bien d’autres femmes. Après une rapide réflexion, je décidais de me vêtir avec une jolie robe courte féminine, elle mettait en valeur mes formes voluptueuses bien proportionnés sur mon corps. Je n’avais pas à me plaindre de mon physique et je me démarquais par ma personnalité avant tout. Je connaissais une multitude de personnes à travers mon entourage varié, je travaillais dans le domaine de l’art.

J’exerçais la profession de galeriste aux seins d’une galerie d’art de Manhattan, je venais des beaux quartiers New-Yorkais. Néanmoins, la fortune de ma famille ne m’empêchait pas d’apprécier les petits plaisirs de la vie. Une jeune femme pleine de ressource et de passion à la fois. Je ne me doutais pas du bien-être qu’il y avait ici, je me trouvais parmi des mutants qui apprenaient à maitriser leur pouvoir. En parallèle, je menais une vie d’étudiante à l’université de New York, je maintenais un équilibre entre la partie humaine et mutante. Aujourd’hui, je n’avais rien de prévu au programme à part la lecture d’un livre. Je me poserais aux jardins du château qui me semblait beau à mon regard. Je me demandais pourquoi je me sentais bien à l’institut ? Je ne voulais pas perdre mon indépendance au détriment de ma nature de mutante. Je me posais des questions à propos de mes pouvoirs télékinétiques, comment vont-ils évoluer ? Je ressentais une peur en envisageant les difficultés qui m’attendaient en restant ici. Je profitais des bienfaits de mon épanouissement, ceux de mes capacités notamment.

Bref, je sortais de la chambre en étant prête, je marchais dans les couloirs en croisant des étudiants discutaient en eux, ce lieu réunissait plusieurs tranches d’âges qui n’affectait pas les discussions entre eux. Je croisais le regard d’un homme durant un instant au jardin, je continuais ma marche en souriant à celui-ci. Je respirais le parfum de la liberté et je regardais les recoins de verdure, les fleurs étaient belles à voir. Mon côté artiste s’éveillait de lui-même, je dévoilais mes talents artistiques à ma guise. Mon travail me permettait d’utiliser ma créativité avec aisance, je me débrouillais très bien en exploitant mes compétences de galeriste. Je privilégiais les rencontres de toutes sortes, particulièrement sur le plan affectif. Je ne me sentais pas prête à vivre une histoire d’amour, j’avais une vie sentimentale plutôt tumultueuse, sans doute à cause de mon tempérament latino. Je ne prévoyais pas une relation actuellement, peut être un jour où un moment, je n’étais pas amoureuse à ce stade. Les hommes devaient avoir du caractère et se montrait naturelle pour avoir une chance avec moi, je suis une personne difficile à ce sujet. Enfin, je parviens à repérer un banc.

Assisse dans un cadre naturel, j’entamais la lecture de mon livre en attendant personne en particulier. Je ne faisais pas attention aux pas d’un individu, cette personne allait me surprendre doucement, le vent soufflait dans mes cheveux qui émanait d’un parfum de rose…..