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 Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)

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MessageSujet: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeDim 19 Juin - 19:55


Jonathan était sortie hors du manoir pour allez prendre l’air, bon il faut avouer que pour cela il aurait pu simplement se rendre dans la grande cour, mais disons qu’il voulait simplement être tout seul et pensé à sa vie et surtout que caché des sentiments que vous éprouver à l’encontre de l’un de vos bon ami est assez dure, surtout avec des télépathes qui peuvent lire dans vos esprit, cela devient assez gênant. Donc ce fut vers 15h40 qu’Acide sortie du manoir et qu’il partit vers les rue de New-York, ce fut un long voyage, mais avec son don de sentir les vibrations dans le seul, il c’était vite trouver et avait donc entamé sa marche dans les rue de la grande ville, passant devant un grand hôpital, celle-ci devait abriter les malade mentaux à en voir son allure. Alors il continua donc sa marche et prit la direction d’une ruelle, alors il avança et dans le coin de cette ruelle, la lumière était assez sombre…enfin, pour Jonathan ce n’était pas bien grave, car il pouvait voir dans le noir et pour une fois il en était heureux, alors il marcha et soudain de nombreuse vibration dans le sol alertèrent Jonathan, alors il se tourna et vit environ cinq personne qui semblait être armée de bâton de base-ball et de couteau, alors le jeune mutant les regarda marcher vers lui. L’un d’eux, surement le chef décida de foncer le premier vers Jonathan, celui-ci était armée d’un couteau et le brandit en direction de Jonathan, mais celui-ci le bloqua avec sa main droite, la lame transperça celle-ci, mais le mutant ne semblait pas en faire de cas, alors il regarda l’homme qui semblait surprit, de la fumée se dégageait de la lame, alors quand l’homme retira sa lame, il la vit fondre et soudain un cri de douleur sortie de sa bouche quand Jonathan glissa sa plait sur les yeux de l’homme qui tomba au sol, puis fini par mourir à bout de souffle. Les autres se mirent donc tous à courir en direction de Jonathan, mais il les évita tous et les mit au sol en quelque seconde. Ils se relevèrent et partirent à la course, ce fut à cet instant que le jeune mutant du nom ‘’D’acide’’ vit une silhouette tout prêt de lui.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeMer 22 Juin - 1:28


Le silence et la solitude étaient sans aucun doute ses pires ennemis. Des ennemis qu’il fuyait plus que jamais, d’ailleurs, ces derniers temps, comme si, plus que d’habitude, quelque chose le terrifier, brimait ses pensées plus que confuses, l’entrainant loin de ce qui existait pour consacrer le plus clair de son temps dans un monde n’appartenant qu’à lui. On ne pouvait pas vraiment lui en vouloir. En l’isolant, ils n’avaient fait, en réalité, qu’aggraver son cas. Le corps fragile avait donc, une nouvelle fois, pris la fuite entre une crise de colère, une autre où on lui faisait un peu trop la morale sans doute, et où on cherchait désespérément à lui faire comprendre qu’il était trop malade pour continuer à agir ainsi. Mais quand comprendront-ils, décidément ? Étaient-ils tous trop bêtes et stupides ? N’attendaient-ils qu’une chose : qu’il leur cède tout et devienne ce qu’ils souhaitaient, un légume inerte et intravertie ? Mais cette sortie serait pour lui quelque chose de particulièrement inattendu… Qui pouvait deviner les conséquences désastreuse sur son calme habituel ceci pourrait-il avoir ? Personne. Pas même lui.

Lorsqu’il se glissa dans ce chemin, ce fut les cris, les grognements de frustrations, de désir de haine qui attira son attention, les mouvements fluides, le son habituellement agréable du frottement des vêtements qui le forcèrent à s’avancer, bien que timidement, plus poussé par l’intensité de la curiosité du cœur d’enfant qui l’animait. Lorsque je le jeune homme arriva sur les lieux, s’agrippant silencieusement au mur le plus proche, il ne vit qu’une chose et c’était bien tout ce qui lui importait, en réalité : le corps lourd qui basculait vers l’arrière, ces douloureux sons qu’il émettait avant de se taire définitivement. L’un des humains qui prenaient la fuite à ce moment là frappa de plein fouet le jeune Russe sans le remarquer, dans sa course, avant de ne simplement disparaître. Les iris couleur du ciel détaillèrent la scène, paraissant douteux… terrifiés, même, peut-être. Ses yeux allaient du corps au sol à l’adolescent pas plus vieux que lui, qui ne s’en tenait qu’à quelques pas. Une fraction de seconde de plus et son teint déjà un peu pâle blêmit davantage. Un meurtre ! Il venait littéralement d’assister à un meurtre ! De sang froid qui plus est. Ça ne semblait même pas déranger ce type, par-dessus le marché ! Il avait à faire à un fou furieux, il en était convaincu.

« Tu… tu… tu l’as… tué ? »

C’était une question rhétorique à laquelle il n’attendait pas la moindre réponse. Certes, cette ville connaissait son lot de meurtres et mystères, mais tout de même, ça n’arrivait qu’aux autres, ce genre d’histoire ! Et être témoin ? Et si ça devenait gênant, pour lui ? Et s’il se retournait contre sa personne ?

« Tu l’as tué… ! » répéta-t-il sur un ton plus inquiet que révolté, cette fois, bien qu’on sente parfaitement un début de panique incontrôlable dans le son étrange que sa voix faisait. Il ouvrit de grands yeux ronds, comme s’il ne savait absolument pas comment réagir face à lui, face à cette histoire qui lui paraissait pourtant tellement absurde. Il ne se souvenait pas s’être déjà créer un rêve tel que celui-là. Rares étaient ceux ayant de la violence… Ça ne pouvait pas provenir de lui. C’était impossible.

« Tu… IL EST MORT ! C’est… c’est… »


Voilà, si l’autre avait espéré qu’il ne se taise, ce n’était pas gagner. S’il allait le dénoncer ? Évidemment… Ce n’était pas dans sa nature de mentir et encore moins lorsqu’il s’agissait d’une horreur pareille qui aurait pu être évité, peu importe ce qui s’était véritablement passé, il croyait qu’il y avait toujours une solution quelque part, peu importe laquelle, autre que l’emploie de la violence gratuite.

« MEURTRIER ! ASSASSIN ! RESTES LOIN DE MOI ! »

Il ne pouvait tout simplement plus s’empêche de hurler, à présent. Malgré tout, ses jambes semblaient définitivement refuser de lui obéir et son don ne se manifestait pas, aussi étrange cela puisse-t-il être. Normalement, justement, au moindre problème, au moindre sentiment de danger, aussi faible soit-il, il se déclenchait dans un terrible cauchemar plus réel que la réalité elle-même pour se protéger, comme une défense mentale qu’il avait depuis longtemps ériger en son esprit même. Et si par ces cris là il n’attirait pas tous les voisins des environs, très franchement, il n’aurait su quoi faire.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeMer 22 Juin - 3:52


Jonathan regarda les autres homes se sauvé et sourit, mais certes, il n’était pas fière d’avoir fait cela….enfin il n’avait pas eux le choix, encore la, il portait encore la cicatrice de la lame qui lui avait traversé la paume droite, soudain il entendit un jeune homme parler ou plutôt tenter de parler. Puis soudain, il l’entendit lui posé une question, mais celui-ci n’attendit pas d’avoir sa réponse et dit autre chose, Jonathan fit tourner ses yeux comme si il était décourager d’entendre cette personne parler ainsi…enfin bon, revenons à notre histoire principal. Quelque seconde plus tard, le jeune adolescent ce mit à crié, alors la c’était trop, alors le jeune mutant regarda autour de lui et vit une bouche d’égout, alors il marcha vers elle et pressa sur sa plaie qui se mit à saigner sur le couvercle de l’égout. De la fumée apparue sur la bouche et le couvercle fondit par la suite.

Jonathan regarda le jeune homme face à lui et marcha dans sa direction et le regarda, puis il se pencha un peu plus et senti autour de son coup et de sa tête, puis avec sa main gauche il la passa dans ses cheveux et regarda partout, puis fini par dire.


-Tu sais, personne ne viendras t’aider, mais de toute façon, je ne te veux aucun mal. Je veux simplement que les gens comme moi soit accepter des humains, ceux-ci mon attaquer sans raison, je me suis défendu en légitime défense, alors la police ne pourras rien contre moi, mais si jamais tu cause des problèmes…enfin, je ne te conseille pas de le me causé des problèmes.

Jonathan regarda le jeune homme et attendit encore quelque instant, puis il entendit des gens parler et venir dans leur direction, alors grâce à sa force il entraina le jeune homme et sauta avec lui dans la bouche d’égout et marcha à travers les longs couloirs de l’égout et il trouva un coin tranquille.

-Bon maintenant tu va m’écouter et surtout me laisser parler.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeMer 22 Juin - 20:21


Un regard rapide autour de lui, ce qui lui permit d’analyser l’endroit : sombre, sinistre, étroit, aucun écho, très peu de chance qu’on ne l’ait réellement entendu hurler. Soit. Ne lui restait qu’à hurler plus fort, dans ce cas. C’était une première option plus qu’intéressante à employer. Deuxième solution, fuir, prendre ses jambes à son coup. Lorsqu’il reporta son attention sur le jeune homme, toutefois, il fut un peu contraint d’annuler ce magnifique plan d’évasion si peu subtil qu’il soit. Il ouvrit davantage de grands yeux sur l’autre, observait ce qu’il fabriquait, tentant tant bien que mal de deviner ce qu’il avait derrière la tête. Il comprit toutefois rapidement les capacités de l’autre : l’acidité, ou si ce n’était pas ça, quelque chose dans le genre, était probablement ce qui avait détruis le couvercle et aussi ce qui était venu à bout du court souffle de la vie de l’homme, toujours étendu dans la ruelle, à quelques pas de lui seulement. Le corps fragile réagit instantanément lorsque l’autre se décida enfin à se rapprocher un peu dangereusement de sa personne. Soubresaut, il se raidit :

« J’T’AI DIT DE RESTER LO-… !! »

Évidemment, il n’eut pas l’occasion de terminer sa phrase que l’autre se saisissait brutalement de lui, sans le ménager un seul instant. Un peu brutalement, il tenta de se reculer vainement, de ne pas se laisser prendre aussi facilement, mais il n’était tout de muscle ou de force, ce qui semblait apparemment être tout le contraire de l’autre. Mais qu’est-ce qu’il lui racontait celui-là ? Ou plutôt qu’osait-il donc lui raconter dans une situation pareille ! Ça ne pouvait pas lui arriver parce que ceci n’arrivait qu’aux autres. Personne ne venir l’aider ? Il rêvait en couleur, là, tout simplement parce qu’il y avait toujours quelqu’un à recherche, quelque part, pas trop loin. Et s’il ne lui aurait pas voulu de mal, il ne l’aurait pas attrapé de cette manière, il l’aurait laissé filer ou du moins aurait tenté de le clamer ou de discuter avec lui autrement que par la manière forte, n’est-ce pas ? Stas ne savait pas très bien, dans l’état actuel des choses, s’il devait se donner le droit de le croire ou pas, s’il choisissait de lui laisser le bénéfice du doute ou s’il ne le faisait pas. Le jeune rêveur avait la réputation d’être toujours trop gentil, trop naï, surtout, envers les gens qu’il rencontrait. Et probablement qu’il lui pardonnerait facilement le tord qu’il lui causait à l’instant. Parce que c’était dans sa nature. Mais pas maintenant. Maintenant, c’était de la panique, à l’image d’une douche froide qu’il se prenait de plein fouet, n’y croyant ni ses yeux ni ses oreilles. Et l’autre poursuivait en le menaçant littéralement s’il causait le moindre problème. Ce n’était absolument pas pour plaire au jeune Russe, en tout cas.

La respiration plus forte, il hésita à crier de nouveau. Brusquement, son attention fut attirée par quelques éclats de voix, non loin, qui semblaient bien, eux, avoir entendu tout le tapage qu’il avait créé. Mais avant qu’il n’ait eut la chance de leur signaler davantage sa présence, l’autre l’entraina brusquement, usant de force, lui laissant s’échapper qu’un unique son de protestation avant de piquer une magnifique plonge dans un trou noir, puant et particulièrement répugnant. La chute, toutefois, ne fut pas des plus agréables. Lorsque tout son poids, du moins, fut amorti par la seule chose possible : son propre pied, dont la jambe droite s’était littéralement replié sous lui, sentant la cheville se tordre, il ne pu s’empêcher de hurler de nouveau. Comme si ce n’était pas suffisant, il se faisait menacer, violenter, il assistait à un meurtre en direct, il se foulait la cheville droite et en plus il se faisait kidnapper ! Ce n’était décidément pas sa meilleure journée. Il grommela quelque chose de plutôt indescriptible avant de pester à voix haute contre l’odeur. Non seulement tout ça, mais en plus de sentir le chien mouiller, il empestait l’étron humain. Stas n’avait jamais été du genre méchant, mais il ne pu retenir une pensée haineuse envers l’autre, même s’il la regretta aussitôt, comme s’il avait s’agit d’une malédiction à éviter à tout prix. Il opina toutefois du chef : il n’avait de toute évidence plus vraiment le choix… Vu ce qu’il l’avait déjà forcé à faire, il ne voulait pas spécialement connaître la suite de l’histoire. Aussi se contenta-t-il de lancer un regard mauvais et boudeur qu’il ne garderait probablement pas éternellement avant de lui déclarer sur un ton des plus froids qui lui soit permit de faire :

« En quoi mériterais-tu que je t’écoutes. »


Mériter d’être écouter, oui, c’était exactement la question à poser. Avec Stas, il fallait toujours mériter son attention, et celui-ci était mal partie pour l’obtenir, bien que la violence semblait tout de même avoir certains effets sur lui…
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeMer 22 Juin - 22:30


Même si le jeune homme face à lui avait clairement dit à Jonathan de rester loin, celui-ci n’avait pas écouté et avait quand même préférer l’entrainer avec lui, alors la chute dans le long trou ne fut pas bien long, Jonathan atterrie sur ses pieds, mais l’autre non et se foula la cheville, alors il l’aida à se lever et l’entraina plus loin, lorsqu’il furent dans l’une des anciennes cachette de Jonathan, celui-ci alluma l’une des rare bougie qui restait et attacha le jeune homme avec des cordes et l’assit sur le plancher et alla s’adosser à une table. Tout les deux se trouvait dans une pièce sombre qui n’était éclairer que par une petit bougie qui serait bientôt sombre, alors Jonathan croisa les bras, le contact de l’acide ne le dérangeait pas, car son corps y était habituer, il vivait avec sa tout les jours, sa se promenait dans ses veines, sa avait toujours la couleur du sang, mais c’était belle et bien de l’acide à 100%. Jonathan resta à cette endroit et ne bougea pas, puis il fini par dire.

-Je ne te dirais qu’une chose. Tu n’auras pas le choix de m’écouter, tu es ici justement pour sa, de comprendre mes raison, par la suite tu jugeras, mais tu devras d’abord m’écouter et surtout ne jamais, je dis bien jamais, dire à qui que se soit ce que tu à vue aujourd’hui….

Jonathan le regarda quelque instant, il savait que ce jeune homme ne voudrais pas l’écouter, mais de toute façon, c’était obliger, car il ne pourrait pas se boucher les oreilles et si jamais il tentait de lui faire perdre son temps ou de faire venir des humains et serait forcer de l’entrainer encore plus loin, alors il serait peut être mieux pour le jeune homme de ne pas crié et d’écouter Jonathan jusqu’à la fin, de toute façon ce ne serait pas bien long, alors il devait absolument écouter ce que le jeune mutant avait à lui dire.

-Tu sais, ce soir je devait rentré à la demeure ou je vit, mais voila, je suis passé dans cette fameuse ruelle ou tu ma croisé, je marchait tranquillement, mais soudain un groupe d’homme me suivit et le chef m’attaque, il me planta sa lame de couteau dans la paume de ma main droite….Je me suis défendu, je les tuer, si je n’aurais rien fait, il m’aurait tué de sang froid et sans aucune raison, alors quand leur chef est tomber au sol, les autres membres de se gang son venu vers moi pour m’attaquer, je me suis défendu encore et voila où tu est arrivé, pensant que j’avait fait ce geste de sang froid.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeJeu 23 Juin - 19:29


Il aurait, s’il avait pu, tout fait pour s’éloigner le plus possible de cet individu qu’il trouvait alors particulièrement nuisible. Le jeune homme, malgré tout, semblait quand même se montrer un tant soit peu sympathique avec lui, ce qui faisait qu’il ne savait plus très bien comment réagir. D’abord, il l’aidait à se relever après la chute plus que catastrophique dans laquelle il l’avait poussé. Bien qu’il ne l’excusait pas et qu’il le boudait royalement, en fait. C’était de sa faute s’il s’était foulé la cheville, après tout. C’était de sa faute s’il était là ! Sur le coup, oui il était en colère, oui il le boudait comme il n’avait encore jamais boudé personne, oui il était furieux. Furieux de se retrouvé dans cet état, furieux de le voir tenter de brimer le peu de liberté qu’il avait déjà. L’autre l’entraina plus en profondeur dans les ténèbres de la bouche de la terre, dans cette odeur pestilentielle qui le prenait au nez, lui donnant un mal de cœur effroyable. Le mains de l’autre se décidèrent à faire du corps fragile et innocent ce que bon lui souhaitait. Pour un kidnapping, s’en était bel et bien un… Il avait fait glisser une corde franchement solide autour de lui de manière à l’immobiliser, le ligotant littéralement comme s’il avait s’agit de la chose la plus naturelle à faire avec lui. Dans toute cette histoire qui sortait totalement du côté absurde de son existence, Stas se demanda : était-il réel ou l’avait-il crée de toute pièce ?

Pourquoi lui ? Qu’avait-il d particulier pour que ce type qu’il ne connaissait pas tienne à tout pris à lui parler ? Ou était-ce simplement à le faire taire ? Ce n’était pas gagné à l’avance; pourquoi se tairait-il après ça ? Il n’avait aucune raison de garder tout pour lui. Stas lui répondit par une moue boudeuse et détourna les yeux pour ignorer la moindre attention qu’il lui portait, toujours furieux par ce qu’il lui faisait subir. Il n’avait même pas pensé à craindre quoi que ce soit, aussi étrange cela puisse-t-il être. Parce qu’il ne voyait le mal partout, qu’il ne croyait pas qu’il puisse lui causer davantage de mal, malgré tout ce qu’il avait déjà fait contre sa personne. Il ne l’avait pas lui-même blessé physiquement, même s’il l’avait peut-être un peu trop secoué au goût du jeune Russe. Lorsqu’enfin l’autre se tut définitivement, le brun ne pu faire autrement que darder un intense regard sur lui, comme s’il avait tenté de le foudroyer des yeux, ce qui n’était techniquement pas possible.

« C’pour ça que les humains traquent les mutants ! Parce que les mutants en tuent comme tu l’as fait ! Comme si vraiment ça te dérangeait ! T’en as rien à faire des autres, tu ne penses qu’à toi et à toi seul ! La preuve, tu m’as trainé de force ! Je n’ai pas de raison de me taire et je ne le ferai pas ! Tu n’as aucun droit sur moi, AUCUN ! »

Était-ce normal de se montré sur furieux, pour lui ? Disons que c’était principalement la terreur qui le faisait agir ainsi, parce que la mort était quelque chose qu’il refusait d’appréhender. Et le côté philosophe du garçon l’obligeait à parler, pour évacuer, pour se débarrasser de cette sombre terreur qui l’aurait noyé s’il avait tout gardé en silence.

« Il faudrait que quelqu’un soit assez brillant pour arrêter pour que tout redevienne normal. T’étais pas obligé de le tué. T’es resté là à attendre qu’il te fonce dessus ! Pourquoi t’es pas partie ? Pourquoi tu n’as pas fuis ! Ça aurait épargné une vie ! Une vie sur qui comptaient peut-être d’autres gens ! Tu n’avais aucun droit, tu te prends pour Dieu ? T’es qu’un crétin parmi tant d’autres ! Insignifiant ! »

Il refusait d’admettre la défaite et se mis à bouger, tentant de se libérer, grognant, pestant à voix haute pour lui faire comprendre que rien ne l’empêcherait de la traduire en justice s’il en avait envie. Il n’était pas question qu’il reste ici indéfiniment longtemps…

« DÉTACHES-MOI ! » se remit-il à hurler, sans se soucier de rien d’autre que de sa propre liberté. Stas, le gentil, doux, accueillant Stas, se montrer agressif ? Il ne fallait vraiment qu’une chose pour qu’il agisse ainsi : qu’il le haïsse profondément. Certes, ça ne durait pas éternellement parce qu’il était trop bon de nature, même si trop de bonté fini toujours pas tuer la bonté.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeSam 25 Juin - 23:43


Toujours adossé à la table de bois, Jonathan fixa le jeune homme qui était assit et qui était attacher par une corde bien solide. Bon, le jeune mutant y avait été un peu fort, mais c’était peut être le seul moyen pour que le jeune homme l’écoute sans tenter de se sauver et qu’il attire d’autre gens. Et puis, maintenant que Jonathan avait créé un petit carnage en haut, il était peu probable que les humains croit l’autre, car Jonathan se serait sauver et aurait laissé le jeune homme seul et donc il aurait surement été traité en coupable.

Mais bon, après avoir raconter sa version des faits Jonathan ne dit rien de plus, laissant le temps au jeune homme de tout entré dans sa tête…enfin ce ne devrait pas être bien long, les gens séduisant sont souvent rapide dans la faculté de compréhension et bien qu’il aurait voulu faire autrement, Jonathan se sentait un peu mal de lui faire subir se qu’il était en train de vivre, mais le côté bête de Jonathan l’avait un peu contrôler, comme pour le combat, il aurait pu fuir, mais il était rester, il ne devait pas avoir peur de se battre
.

« C’pour ça que les humains traquent les mutants ! Parce que les mutants en tuent comme tu l’as fait ! Comme si vraiment ça te dérangeait ! T’en as rien à faire des autres, tu ne penses qu’à toi et à toi seul ! La preuve, tu m’as trainé de force ! Je n’ai pas de raison de me taire et je ne le ferai pas ! Tu n’as aucun droit sur moi, AUCUN ! »

Jonathan regarda le jeune homme après ses paroles. Il le comprenait, mais il avait tord sur toute la ligne. Bon il était d’accord qu’il n’avait aucun droit sur lui, mais bon, il devait faire le gars qui se foutait de tout, alors il devrait continuer à le traiter comme cela.

-Ils nous traquent tout court. Notre seul existence est un affront pour eux, le monde change, les mutants son de plus en plus nombreux croit moi. Ils ont peur de nos pouvoirs, de voir des gens devenir comme nous, même si nous ne faisons rien, il nous attaque. Je ne tue pas par plaisir au contraire, j’aurais voulu épargner la vie de cette homme, mais au fond de moi, je savais que jamais il ne lâcherait prise, en le laissant en vie je mettais la vie de nombreux mutant en danger. Ils m’auraient suivit jusqu'à la demeure ou je vis et aurait tué tout les mutants qui se trouvait la. En sacrifié un pour en sauver plusieurs.

Jonathan le regarda un court instant, puis il se redressa et regarda sa plait sur sa main droite. Il avança alors tranquillement vers le jeune homme et tout en marchant il écouta se que lui dit celui-ci.

« Il faudrait que quelqu’un soit assez brillant pour arrêter pour que tout redevienne normal. T’étais pas obligé de le tué. T’es resté là à attendre qu’il te fonce dessus ! Pourquoi t’es pas partie ? Pourquoi tu n’as pas fuis ! Ça aurait épargné une vie ! Une vie sur qui comptaient peut-être d’autres gens ! Tu n’avais aucun droit, tu te prends pour Dieu ? T’es qu’un crétin parmi tant d’autres ! Insignifiant ! »

Il avait raison, quelqu’un devait arrêter cela, mais qui? Personne n’oserait le faire, de plus, les gens ou plutôt les humains traitait les mutants comme des monstre, alors pourquoi les laisser nous dicter notre conduite? Puis soudain, le jeune homme lui dit de le détacher. Bon Jonathan allait justement le faire, alors c’était une bonne chose.

-Tu sais, je te les dit, j’aurais pu l’épargner et croit moi, il n’a plus aucune famille. Ne t’inquiète pas, je ne suis pas le responsable, juste celui qui a venger sa famille. Et oui, cette homme à assassiner sa famille, il à tué ses propres enfant. Il na pas eux de peine en le faisant, non juste du plaisir. Quand il à découvert que je l’avait vue, il ma suivit et voila ou nous en sommes arriver à nous croisé toi et moi.

Jonathan se pencha, puis avec le peu de sang qui coulait encore, il fit fondre la corde et aida le jeune homme à se lever, puis il dit.

-Je sais, nous sommes partie sur de mauvaise base, mais si j’aurais pu te l’expliquer autrement et si tu m’aurait laisser la chance de parler avant de hurler, tu aurait pu éviter tout cela.

Puis il regarda la cheville du jeune homme et dit.

-Sa va allez pour ta cheville?
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitimeVen 1 Juil - 16:41


Spoiler:

Il grogna, pesta, jura, se débattit, bougea et tira tant bien que mal jusqu’à se rendre compte que ce n’était pas possible et frappa les pieds au sol de frustration. Stas ne se montrait jamais énervé et c’était sans doute bien la première fois qu’il réagissait avec autant de fureur. Il se demandait vraiment ce qu’il croyait… Que Stas serait plus sage qu’une image ? Qu’il ne dirait pas un seul mot ? Qu’il ne raconterait rien ? Le jeune Russe était trop honnête pour garder quoi que ce soit de ce genre pour lui. Son subconscient autant que sa conscience le lui interdisait formellement. Il était fou. Voilà le seul résultat que l’autre en obtenu. Fou parce qu’aucune humain ne les traquaient. Et aucun humain ne les traquaient parce qu’ils ne connaissaient pas leur existence pour commencer. N’importe quoi, donc, le jeune rêveur se refusait obstinément d’écouter quoi que ce soit désormais. Borné et buté, il s’était décidé. Peu importait la suite des évènements. Aux paroles suivante, il se concentra pour ne pas explosé en injures en tout genre contre lui, sans toutefois résister à l’envie de les penser sans outre forme de procès, lui lançant un regard foudroyant comme s’il espérait qu’il comprenne exactement les pensées qu’il broyait à l’instant même, devant lui, en sa désagréable compagnie. S’il avait pu l’épargné, c’est qu’il était simplement le plus incroyablement malade mental qu’il avait rencontré pour ne pas le faire.

Il cessa toutefois de gesticuler lorsqu’il en vint à le détacher de ses liens un peu trop lourds pour lui. Il refusa toutefois catégoriquement l’aide pour se relever et le repoussa vivement avant de se redresser lui-même. Et en plus, il l’accusait. Le brun portait tout le tord sur lui comme s’il avait s’agit de la chose la plus normale qui soit, sur un ton léger comme si plus rien n’avait la moindre importance !

« Oui. Tu as raison. Tu n’es qu’un monstre. »


Déclaration brutale qui ne lui ressemblait pas le moindre du monde. Que pouvait-il faire de plus. Il n’allait quand même pas se mettre à courir en hurlant à tout va de nouveau, l’autre l’aurait bien assez rapidement rattrapé dans l’état physique dans lequel il se trouvait de toute façon. Jusqu’à ce que, brutalement, tout redevienne calme en lui, posant un intense regard non plus de haine mais bien d’une force intérieure qu’il ne se connaissait pas. Car l’autre avait sans aucun doute, pour lui, été le plus faible des deux. Si le jeune Stas n’avait pas l’habitude de diminuer, réduire en ridicule les gens qui l’entourait, il n’avait nullement envie de faire croire à l’autre qu’il était quelqu’un de bien puisque ce n’était pas le cas.

« Tu restes ici, et tu me laisses partir. » lâcha-t-il sur un ton, cette fois, d’un calme olympien qui le différenciait grandement des hurlements qui avait passé son temps à pousser un peu plus tôt seulement. Si le jeune Russe n’avait que plus ou moins conscience de son premier don de mutant, il n’avait encore jamais réalisé les capacités du second dont il prenait pour la première fois connaissance : celui d’implanter une idée claire comme de l’eau de roche dans l’esprit de quelqu’un d’autre. Il voulait partir et refusait que l’autre le suive. Alors… Il répéta sa phrase, sur un ton plus sévère, qui ne voulait pas de résistance.

« Tu restes ici, et tu me laisses partir. » Comme si le répéter plusieurs fois pourrait finir pas devenir convainquant… Il inspira un coup, se redressa malgré la douleur flagrante au niveau de sa cheville. Il était mutant sans même vraiment s’en rendre compte, ne croyant tout ça que pour de la fausseté évidente.

« Je vais rester ici et je vais le laisser partir. » L’idée était claire, maintenant, logique, comme si elle ne faisait rien de plus que venir de l’autre. Aussitôt, il se détourna pour quitter les lieux tant bien que mal, comme s’il se sentait rassuré par la certitude que ça fonctionnait parfaitement. Et il s’assurerait de ne plus le croiser, c’était une promesse qu’il se faisait.
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MessageSujet: Re: Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas)   Lorsque le combat nous mênes à une rencontre (Stas) Icon_minitime


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