Au coup par click [PV Candice]

Sujet: Au coup par click [PV Candice] Jeu 9 Aoû - 7:35

Le ciel était beau et clair et, sous l'effet du soleil qui s'était levé depuis quelques heures, il était en train de devenir d'un de ses bleus qui annonce que la journée commence bien. À travers New York, le monde avait déjà commencé à prendre la route et les oiseaux matinaux poussaient leurs derniers cris pour aujourd'hui. Un rayon de soleil passant à travers la fenêtre de sa chambre, Robert se réveilla avec un petit grognement de mécontentement. Après avoir prit un moment pour ouvrir les yeux, il regarda l'heure qu'il était. Un peu tôt comme réveil se dit-il en se rendant compte qu'il était encore habillé des mêmes habits de la veille et, donc, qu'il devait s'être effondré mort de fatigue dans son lit et pour cause. Il avait travaillé tard à l'Interval et avait décidé de rentrer à l'Institut puisque son contrat du lendemain se trouvait plus proche de là que de son appartement qu'il partageait avec son cousin.

''Allez, debout mon vieux.'', dit-il à voix basse pour lui-même

Bâillant un bon coup en s'étirant, il se leva, troqua sa tenue de la veille pour des vêtements sports (jogging, t-shirt) et fit attention à ne pas réveiller ses colocataires de chambre en sortant de la pièce. Traversant tout l'Institut et en sortant, il se dirigea vers le grand parc et se mit en position pour le départ de sa course. C'est alors qu'il fit tout le tour du parc en moins de temps qu'il faut pour dire Supercalifragilisticexpialidocious. Plus ou moins satisfait de son temps établit, il recommença par trois et même par cinq fois sa course. Épuisé, il rentra à l'Institut et s'en alla dans la cuisine où il se servit un bon petit déjeuner.

*Je ferais mieux demain.*, pensa-t-il en s'en allant prendre une douche bien méritée

Pendant les heures qui suivirent, il prépara son équipement photographique en vérifiant qu'aucune pièce ne manquait et que tout marchait bien ainsi qu'en écrivant un article pour le journal dans lequel il travaillait. L'heure de son rendez-vous approchant à grands pas, il embarqua tout son équipement dans l'une des deux voitures de son cousin (qui lui permettait d'en emprunter une des fois) et prit la route vers le New York bondé et achalandé là où se trouvait les fameux nouveaux bâtiments que l'on appelait des lofts. Derek, son cousin, avait trouvé ses nouveaux bâtiments assez intéressants et comptaient en acheté un pour lui-même et même peut-être en acquérir d'autres, mais bon, c'était ses histoires un peu spéciales à lui dont il ne voulait plus être mêlé. Bref, rendu devant la bonne porte du bon loft, il sonna et attendit qu'on vienne lui répondre. Ses valises de travail à ses côtés, il se sentait nerveux. Le contrat pour lequel on le payait n'était pas de ses commandes qu'il avait l'habitude de faire. Mais si on le lui avait demandé, c'était sûrement parce qu'on appréciait son travail et son talent malgré son jeune âge dans la profession. Et puis, même s'il devrait montrer plus d'assurance que sa nervosité qui deviendrait sûrement de plus en plus grande, il se trouvait quand même chanceux.

*Il y en a qui serait jaloux que je la rencontre et surtout de quelle façon je vais travailler avec elle.*, pensa-t-il avec un petit sourire en coin

Robert allait bientôt rencontrer en personne Candice Rothfield, cette mannequin qui avait fait ses preuves et qui les faisait encore, Candy le doux bonbon comme il l'avait déjà entendu de la bouche d'autres photographes. Était-ce dit d'une bonne ou d'une mauvaise façon? Il n'en savait rien, mais peut-être qu'il en apprendrait un peu plus là-dessus lors du shooting photo. Mais bon, pour l'instant, nervosité, fébrilité, excitation et professionnalisme régnaient majoritairement en lui. Les secondes s'écoulant comme des minutes pour lui, il décida d'essayer de se relaxer, mais il ne pouvait ni courir ni se laisser aller à quoi que ce soit d'autres de physique. Il ouvrit une de ses valises et en sortit son appareil photo et commença à prendre des photos des alentours et de tout ce qui l'entoure. Malgré tout ce métal gris et ses bâtiments, il trouva que le paysage était quand même beau et il se dit que la vue vu d'un peu plus haut devait être à couper le souffle.

Le grand jour était enfin arrivé. Candice attendait effectivement cette journée avec grand impatience, tant son travail lui tenait à cœur. Aujourd'hui, la demoiselle avait une séance photo avec un jeune photographe amateur qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle avait déjà hâte de rencontrer. On n'avait dit que du bien à son sujet : jeune photographe bourré de talent, d'imagination, ambitieux et déterminé, aimant sa profession et ce que celle-ci lui permettait de faire et de découvrir. Candice s'était donc levée de très bonne humeur ce matin-là, et aussitôt debout, la jeune femme avait foncée dans sa salle de bain pour se laver. Elle prit une douche bien chaude et se lava doucement, prenant son temps pour nettoyer chaque centimètre de peau.

Ensuite, le maquilleur et la coiffeuse devait arriver pour s'occuper de la préparer. Candice avait cependant posée une unique condition à ce shooting : choisir ses tenues et accessoires elle-même. La jeune demoiselle se dirigea donc vers son dressing et se mit à choisir des tenues de tout type : des robes de soirées, des robes d'été, des robes de cocktail, des petites tenues peu affriolantes, des petites tenues plus osées. En ce qui concernait les chaussures, la jeune mutante n'hésitait pas une seconde : elle décida de prendre toutes les paires de chaussures et de toutes les disposer dans le salon. Quelqu'un frappa à la porte. Candice enfila une serviette qu'elle attacha au dessus de sa poitrine puis alla ouvrir. La déception fut grande lorsque la jeune femme vit la coiffeuse et le maquilleur arriver. La mutante fit donc signe aux deux de rentrer puis ferma la porte derrière eux.

Le maquilleur opta tout d'abord pour un maquilla assez fort, marquant le contour des yeux de la jeune femme avec un noir gras et étalé. Ses yeux bleus ressortaient comme deux saphirs. Ses lèvres étaient d'un rouge si vif qu'on aurait pu croire que la jeune femme saignait de la bouche. Son teint était plus contrasté en revanche. Une peau pâle devait rester au naturel. Le maquilleur appliqua alors seulement un peu de poudre rosée sur les pommettes de Candice tout en laissant place à la coiffeuse. Cette dernière opta pour un chignon frisé qu'elle commença tranquillement. Après avoir bouclé les cheveux de la jeune mutante, la coiffeuse débuta le chignon. Ce dernier se termina une heure plus tard. En se regardant dans le miroir, Candice se trouvait jolie, et elle aimait ce que les deux professionnels avaient faits d'elle. Elle ressemblait vraiment à un modèle photo, et c'était ça qu'elle recherchait à chaque fois. Après avoir enfilée une petite robe noire au décolleté plongeant, Candice mit une escarpins rouge vif pour rappeler ses lèvres.

Lorsqu'elle eut finit de se préparer, la sonnerie retentit. Personne ne se déplaça pour ouvrir la porte, et la jeune mutante était entrain de fumer une cigarette pour se détendre, l'angoisse montant en elle un peu plus à chaque seconde qui passait. Après qu'elle eut fumé sa cigarette, et ce très rapidement, Candice alla se laver les mains, les dents et mit un peu de parfum pour éviter que la personne attendant devant la porte ne sente la mauvaise odeur. Lorsqu'elle arriva à la porte, la jeune femme respira profondément et se calma. Elle ouvrit la porte et ne trouva personne devant. La jeune femme se rendit donc dans le couloir et trouva là un jeune homme prenant des photos. Elle reconnût immédiatement le photographe qui devait s'occuper d'elle aujourd'hui, enfin de son shooting. C'était Robert Marshall, un séduisant jeune homme au sourire ravageur et corps athlétique. La jeune femme se mit à sourire, puis s'approchant du jeune homme, le tapota calmement.

- Robert Marshall ? Je suis Candice Rothfield, la modèle dont vous devez vous occuper aujourd'hui, je veux dire, dont vous devez prendre des photos. Vous n'avez qu'à m'appeler Candy, comme tout le monde fait. Enchantée et très heureuse de vous rencontrer ! Dans le cadre du, hum, travail bien entendu !

Jamais la jeune femme ne s'était sentie aussi mal. Elle avait eue du mal à parler, ses pensées ne sortaient pas comme elle le voulait. Se retournant et rentrant dans le loft, Candice se tapa la tête dans un mur puis appela Robert afin qu'il puisse rentrer et s'installer.

- Robert, faites comme chez vous ! N'hésitez surtout pas à vous mettre nu ! Je veux dire, à vous mettre en tenu ! Installez vous donc dans le salon !

L'appareil photo prit au vif un homme qui poussait la porte à une femme. C'était une de ses photos qu'on disait piquée au vif de la réalité et qu'il aimait bien prendre. Robert prenait une photo par-ci, une autre photo par-là et se demandait de quoi aurait bien l'air les négatifs qu'il développerait par lui-même ou les photos finales qu'il se ferait faire développer par un ami plus passionné par le développement de la photo que personne d'autre qu'il connaissait. Il sourit à cette pensée et se demanda si Walter, son dit ami, avait pour première idée de tête à développer des photos ou bien était autre chose que son inconscient et son conscient, d'un commun accord, lui disaient de faire. Continuant de regarder dans le viseur et en appuyant sur le bouton déclencheur, il n'entendit pas Candice s'approcher de lui tellement il était concentré sur sa présente passion en cours. Par contre, lorsqu'elle fut à côté de lui, il ressentit sa présence, mais pas assez pour qu'il s'arrête. Ce ne fut que lorsqu'elle le tapota calmement qu'il tressaillit quelque peu et qu'il mit en arrêt ce qu'il faisait. Lorsqu'elle prononça son nom complet, il abaissa son appareil photo, se tourna vers elle et eut du mal à garder sa bouche fermée. Il l'avait déjà vu auparavant en photo, mais sa beauté révélée était bien plus bouleversante en vrai. Ne réussissant pas à prononcer un premier mot, il ne fit que hocher positivement la tête. Elle lui faisait un drôle mélange d'effets hypnotique, paralysant et troublant, mais cela devait être dû à l'éclat frappant de ses yeux et de ses lèvres, à sa coiffure indéniablement indémodable, à la rosée du matin qui avait l'air de s'être déposée sur ses joues, à la pâleur agréable de sa peau et au décolleté plongeant. Ce devait aussi être dû au fait que de rencontrer des stars telle qu'elle lui donnait l'impression d'avoir atteint les portes de l'Olympe, comme s'il était Héraclès et qu'il avait gagné son droit de passage, ou un semblant possiblement temporaire, parmi elles les vedettes qui faisaient tourner la tête à toute la planète.

''En.. enchanté aussi.'', réussit-il à dire seulement

Mais que faisait-il? Pourquoi avait-il du mal à parler normalement? Ahhh... les premières fois avec les vedettes, c'était toujours une sorte de choc, comme une sorte de première fois par laquelle il fallait qu'il passe par-dessus. Avec les hommes, ça passait après un moment. Avec les femmes, c'était toujours un peu plus long... surtout lorsqu'il faisait face à des créatures de rêves. Il ne remarqua pas que Candice était malaisée puisque son propre malaise l'aveuglait de tout signe venant de lui et surtout venant d'elle. Son inconscient décida de lui sauver la mise et de le faire sourire. Ainsi, il ne passerait pas pour une autre de ses personnes qui perdaient contenance devant quiconque avait un statut élevé. Une chance qu'il s'occupait ainsi de lui-même, que son inconscient avait développé pour lui. Cela lui permettait d'échapper à la honte qui pouvait le bloquer dans son professionnalisme. En même temps, quelque chose en lui le poussait à lui dire qu'elle était belle, à la complimenter de la façon dont elle était renversante... mais il se tut, les mots décidant de rester coincés dans sa gorge.

*Allez mon vieux, reprends-toi. Si tu ne le fais pas, personne ne le fera pour toi... surtout avec ce qui s'en vient.*, se dit-il en essayant de trouver le courage qu'il y avait en lui

Tandis qu'il se motivait à être celui qu'il devait, qu'il devrait être, la délicieuse créature qui l'avait approchée se cogna la tête et au lieu d'en rire ou de s'en moquer, il trouva cela plutôt normal. Cela le rassura, l'apaisa quelque peu et lui permis de reprendre ses esprits. Après tout, c'était vrai, les hauts placés étaient aussi humains et normaux qu'eux ou plutôt autant qu'eux autres puisqu'il ne faisait plus vraiment partit de ces humains qu'on définissait comme normaux. Entendant son nom par la mannequin, il fut gêné de remarquer qu'il était encore à la même place. Se reprenant, Robert se mouva jusque dans l'intérieur du loft avec ses valises qu'il avait ramassé au passage... et s'arrêta à nouveau lorsqu'elle lui dit qu'il pouvait se mettre nu. Elle se reprit aussitôt, mais les mots lâchés dans la nature avaient déjà atteints ses oreilles. Pour avoir prononcée de telles paroles, elle devait sûrement être fatiguée. Avoir un métier comme elle en avait, ce ne devait pas être reposant deux secondes. Il espéra grandement qu'elle serait quand même capable de faire tout le shooting sans s'endormir... quoi que...

*Voyons, à quoi je pense moi. Je suis là pour travail, pas pour le plaisir.*, pensa-t-il en essayant de se convaincre

Robert ouvrit ses valises et commença à installer son équipement en ne se faisant pas prier pour le faire. Tout en même temps, il porta un regard en biais vers la demoiselle et il remarqua que le maquilleur et la coiffeuse étaient en train de lui refaire une beauté. La petite bosse qui avait commencé à apparaître était en train de disparaître grâce à la magie du maquillage et la coiffure redevenait indéniablement indémodable comme si elle n'avait jamais été dérangée. Il voulait demander si elle allait bien, si elle n'avait pas trop eu mal, mais il se demandait comment elle réagirait à de telles paroles. À première vue, miss Rothfield paraissait être une de ces femmes vraies et authentiques, souriant à tous et chacun et aimant son public et ses fans.

*Ah et puis m***e.*, se dit-il

''Est-ce que vous allez bien? Si vous voulez, on peut attendre encore un peu pour prendre les photos afin que vous puissiez vous rafraîchir et vous relaxez un peu. Vous êtes une belle femme et c'est un honneur de pouvoir vous prendre en photo.'', dit-il

S'écoutant parler, il trouva que les paroles qu'il venait de prononcer n'avait pas trop de liens entre elles. Mais, trop tard, il ne pouvait pas les reprendre. Il tourna la tête vers son équipement se cachant ainsi de la milady et cachant le rouge qui commençait à lui monter aux joues. Et au cas où quelqu'un dans la pièce remarquerait sa réaction, il alluma un spot de lumière. Ainsi, cela pouvait faire comme si c'était une réaction normale à l'éclairage d'ambiance... qui, finalement, paraissait plus irréaliste qu'autre chose. Respirant silencieusement un bon coup et tout son équipement d'installer, son appareil photo en main, il tourna la tête vers le bonbon des photographes. Il était prêt, gonflé à bloc et il réussirait son contrat comme il le fallait.

''C'est quand vous voulez. On va commencer par quelques photos dans votre robe et on enchaînera avec la suite du programme prévu.'', dit-il

Robert avait parlé comme un professionnel. Il paraissait comme tel et confiant, mais il avait eu un peu de mal à annoncer que la suite du programme serait que l'exquise femme devrait paraître sauvage et se dénuder. Se dénuder, se mettre à nu. Combien d'hommes paieraient cher pour être à sa place? Et ce encore plus qu'il la verrait dans son plus simple appareil dans sa tenue d'Ève.

*Ne pas baver, ne pas baver, ne pas baver. Ni trembler, ne pas trembler, ne pas trembler.*, se dit-il en arrivant à se convaincre... pour l'instant

- Est-ce que vous allez bien? Si vous voulez, on peut attendre encore un peu pour prendre les photos afin que vous puissiez vous rafraîchir et vous relaxez un peu. Vous êtes une belle femme et c'est un honneur de pouvoir vous prendre en photo.

Robert était un garçon fort gentil mais également fort flatteur. Effectivement, seulement quelques minutes après être rentré dans le loft du mannequin, ce dernier avait commencé à s'installer tout en expliquant à la jeune femme qu'elle pouvait se relaxer encore quelques minutes si elle en ressentait le besoin. De plus, le jeune homme avait demandé à cette dernière si elle allait bien malgré la bosse qui commençait à pousser sur son front. Fort heureusement pour elle, les professionnels étaient encore présents et s'attelaient à dissimuler la légère blessure de la jeune femme. Candice se sentait bien, le stress avait beau monter en elle, elle allait bien. Elle se sentait prête à être prise en photos et appréciait déjà beaucoup le photographe. Ce dernier lui signala que la séance débuterait quand le mannequin le souhaiterait. De plus, les premières photos seraient prises dans la tenue actuelle de la jeune femme. Candice s'alluma une cigarette et sa cacha dans sa chambre, demandant maquilleur de prévenir Robert qu'elle s'était éclipsée quelques minutes afin de faire le vide et de se mettre en conditions, au calme, seule. Elle fuma calmement, tranquillement, faisant en même temps le vide dans sa tête, faisant disparaitre chaque pensée parasite et négative qui pouvait lui passer dans le crâne. Lorsqu'elle fût prête, elle se leva, se dirigea dans la salle de bain, se lava les dents et alla en direction de Robert.

- Écoutez, Robert. Cela vous dérangerait-il que nous buvions d'abord un verre avant de débuter la séance photo ? J'aimerais d'abord que nous discutions tout les deux afin de mieux nous connaître et d'être plus en confiance.

Le maquilleur et la coiffeuse sortirent du loft et allèrent probablement faire un tour afin de laisser les deux jeunes gens ensemble, tranquillement. Candice alla chercher du champagne qu'elle confia à Robert afin qu'il l'ouvre. Elle sortit ensuite de coupe et les disposa l'une en face de l'autre sur le comptoir. La chaleur étant trop élevée, la jeune mutante usa de son pouvoir discrètement afin de refroidir la pièce. La jeune femme prit les deux coupes et alla s'asseoir sur son canapé, faisant signe à Robert de la rejoindre. Candice avait une idée en tête. Le jeune homme lui plaisait, et elle voulait le lui faire comprendre avant de débuter la séance photo. Après tout, rien interdisait aux deux adultes de se rapprocher et de travailler ensemble !

- Robert, pourriez-vous ouvrir cette bouteille de champagne s'il vous plaît, et venir vous asseoir à mes côtés ? Ne vous inquiétez pas, c'est juste histoire de détendre l'atmosphère et d'apprendre un peu à se connaître avant de débuter la séance photo. Bien sûr, si vous n'avez pas le temps, dîtes le moi et nous commencerons immédiatement !

Candice s'alluma une cigarette face au jeune homme, chose qu'elle n'avait pas l'habitude de faire, et regarda Robert d'un regard charmeur, séducteur, tout en lui souriant. Elle espérait vraiment que le photographe allait la rejoindre sur le canapé et accepterait de boire un peu de champagne en sa compagnie. Après tout, cela ne signifiait rien d'important. Ce n'était qu'une discussion entre deux personnes autour d'une coupe de champagne dans un appartement se situant à Manhattan ! Candice fumait d'une façon assez provocante et souhaitait attirer l'attention de Robert. Elle qui avait l'habitude de faire succomber les hommes n'allait certainement pas en laisser filer un. Et, elle appréciait particulièrement celui qui se trouvait en sa compagnie.

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