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 /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]

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/!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Vide
MessageSujet: /! HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeSam 11 Aoû - 17:07


/!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Tumblr_m8dry9q52E1rpzp1t
Elle ferme les yeux, sourire aux lèvres, une main sur la bouche en contemplant la salle, se retenant de rire de bonheur. Ils avaient tous quitté leurs sièges pour se lever, applaudissant. La lumière s'était rallumée, diminuant le spot qui l'éclairait depuis bientôt une heure. Une heure de spectacle qui s'était passée comme toujours. Parfaitement. Les musiciens n'avaient pas commis d'imper, elle n'avait pas fait de fausses notes et comme à chaque fois qu'elle chantait, les hommes ne l'avaient pas quitté du regard une seule seconde. Hypnotisés. C'était bien le mot. Même si elle n'en avait pas conscience actuellement, à chaque note qui s'échappait de ses cordes vocales, le sexe opposé arrêtait tout autre activité pour être pendu à ses lèvres, attendant sagement qu'elle fredonne quelques mots. De son côté, elle avait toujours associé cette fascination à l'image que la presse avait créée autour d'elle, celle d'une femme inaccessible, belle et désirable, tout ce qu'elle n'était pas avant d'entrer dans ce monde auquel elle avait décidément du mal à se faire. Le public debout scande son nom de scène. La jeune femme est plus radieuse que jamais, ravie de l'effet qu'a pu déclenché son show dans le club. Et pourtant, le spectacle était loin de s'annoncer aussi bien. Quand le patron de l'établissement privé lui avait proposé d'intervenir ce soir-là, elle avait hésité longuement avant d'accepter malgré l'enthousiasme de son agent. Elle avait toujours eu peur de ce genre de représentation en comité privé où elle n'avait pas vraiment de moyen de s'échapper si la fascination qu'elle exerçait sur la gente masculine se retournait contre elle. Heureusement, tout se déroula pour le mieux. Un homme s'était avancé, lui apportant un bouquet de roses rouges. Elle lui tendit la main, acceptant un baise-main mais rien de plus. Il était très important de conserver une distance entre ses admirateurs et elle-même, pour éviter qu'ils ne la fassent tomber de l'idéal que son agent s'était acharné à construire autour d'elle. Un dernier geste à la foule, ample et gracieux, quelques baisers envoyés et enfin la chanteuse peut quitter la scène sous un tonnerre d'applaudissements. Le rideau tombe, marquant la fin définitive du show. Elle ne peut éteindre le sourire qui étire ses lèvres peintes en rouge avant d'aller remercier ses musiciens et de les féliciter. Après tout, sans eux elle n'aurait jamais pu assurer le spectacle. Ils avaient autant leur rôle à jouer qu'elle-même bien qu'elle était la seule à avoir le droit à une loge en coulisse.
La jeune femme se glisse sur le tabouret devant le miroir entouré d'ampoules électriques. Le bouquet glisse sur la coiffeuse blanche, au milieu des accessoires de beauté. Son reflet lui fait peur, elle ne s'y reconnaît même pas. Cette fille blonde, maquillée en pin-up, étriquée dans sa robe noire, perchée sur des talons trop haut pour elle ce n'est pas elle. Ce qu'elle aurait souhaité ? Réaliser son rêve et jouer à Broadway, avoir des rôles intéressants, peut-être même dérangeants, mais pas ceux d'une poupée blonde potiche, rôle qui commençait surtout à devenir celui qu'elle devait jouer dans sa vie. Pourquoi fallait-il qu'elle ait cette apparence de fille superficielle pour que les gens accordent une importance à son travail ? Celui-ci disparaissant souvent derrière des photos couchées sur papier glacé. Non vraiment, elle ne se reconnaissait pas. Fatiguée par ce jeu constant, elle enfouit son visage dans ses mains en soupirant. Tout aurait été plus simple si elle n'avait jamais accepté d'entrer à la Juilliard School, si elle n'avait pas chanté. Et pourtant, la scène était la seule chose qui lui donnait du plaisir, où elle pouvait être elle-même même si l'apparence qu'elle renvoyait n'était pas celle qu'elle aimait. La jeune femme se préférait largement quand elle était chez elle, sans strass ni paillette mais on a plus vraiment le choix d'être soi-même quand on est une célébrité. Mais un bruit sourd en provenant de la porte de sa loge la sort de ses pensées. Quelqu'un vient de frapper. Pourtant, son agent ne doit pas avoir fini de parler avec les hommes d'affaire présents dans le public pour achever la promotion de son nouvel album et aucun membre n'est autorisé à venir lui rendre visite dans sa plus grande intimité. Elle quitte son siège et enfile le fin peignoir de soie noire prévu à son effet. Devant la porte, elle tente d'entendre un bruit pour lui donner une piste sur son visiteur inconnu mais elle n'entend rien du tout. Un peu méfiante mais sourire aux lèvres, elle ouvre la porte.
« Je peux vous aider ? »


Dernière édition par Adella Moorehead le Jeu 16 Aoû - 9:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeSam 11 Aoû - 18:31


Roberto Dacosta était un homme très influant dans le monde de la nuit. Avec sa richesse qui était à présent devenu légendaire et son charisme qui lui coller à la peau, il pouvait faire venir qui il le voulait dans son club, pour soit qu’il donne une représentation où pour lui demander un petit service en échange d’une amitié durable. Et c’était ce qu’il avait prévu de faire ce soir en invitant la grande Adella Moorehead. Il avait prévu de faire un maximum de bénéfice tout en vérifiant une de ses suppositions sur la jeune femme. En effet, toutes ses connaissances qui étaient partie voir une des représentations de la jeune femme lui avait dit la même chose. Qu’elle était splendide. Pas même un homme ne s’était plein. C’était impossible d’avoir autant de succès, même le roi noir ne faisait pas l’unanimité et avait un tas d’ennemie. Préparant la représentation de la jeune femme avec beaucoup de cœur, si on pouvait qualifier ça comme ça, Lord Impérial avait prévu pour lui, de suivre la représentation dans une cabine insonoriser situer en hauteur dans le club. Car oui, il avait en quelque sorte une idée du pouvoir de la jeune femme et si il avait vu juste, ne pas entendre la voix de celle-ci quand elle chante l’empêchera d’être hypnotiser ou de l’adorer jusqu’à en mourir. Très minutieux, Dacosta lança un vinile et monta dans sa cabine et referma la porte. Il restait deux heures avant la représentation et la cabine qu’il avait installé exprès avait était bien installer. Tout se déroulait comme il l’avait prévu et c’était tant mieux.

Il fallait l’avouer, Roberto n’aimait pas les changements de plan brusque et rapide. Non pas qu’il ne savait pas prendre des décisions et s’adapter pour n’importe quelle situations. Non, ce n’était pas du tout ça. Notre milliardaire aimait juste prendre son temps, ne pas se presser car comme il le disait toujours, trop se presser vous fait perdre votre temps. Les préparations enfin terminé, le HellFire Club était fin prêt pour accueillir cette star montante qu’était la jeune femme. Roberto trouvait qu’elle avait du talent en ayant écouté son album. Ecouté un disque n’allait pas avoir le même effet qu’écouté la jeune femme chanter en chair et en os. Il fallait entendre vibrer sa voix et la voire se donner à fond sur scène pour devenir complètement gaga, même si rare son ceux qui ont réussis à faire plier le roi noir. Une fois complètement douché, il s’habilla. Un costume noir pour l’événement, quoi de mieux me direz-vous ? Et bien c’est exactement ce que Monsieur Dacosta avait décidé de porter pour ce soir. Un costume noir, chemise blanche et cravate d’un rouge sombre. El Gringo devait être sur son trente et un si il voulait avoir la chance de recruté la jeune femme dans son club. Si bien-sûr celle-ci avait le pouvoir tant espérer par Roberto. Et puis vint l’heure de l’ouverture. Lord Impérial était partie se placer à l’entrée du club pour saluer les personnes qui étaient invité à cette représentation unique. Le Talkie-Walkie de son videur sonna au moment de l’arrivé de Roberto. La jeune femme était enfin arrivé, pile à l’heure et notre chef de soirée aimait cette ponctualité.

Pour lui une grande star devait soigner son image. Elle devait être inaccessible et c’est ce qu’elle montrait à ses fans justement. Dacosta resta presque une bonne heure à accueillir ses invités jusqu’au moment où il fût prévenu par un de ses hommes de mains que le show allait commencer. Il n’en fallait pas plus pour le roi noir pour céder sa place et se diriger presque instinctivement vers la cabine d’où il allait suivre le spectacle. Il s’enferma seul dans celle-ci, mettant un de ses hommes de mains devant la porte pour empêcher quiconque de rentrer ou d’ouvrir la porte en plein show ce qui risquerait de prendre le milliardaire à son propre jeu. Le show passé, cette soirée avait tenu toute ses attentes. Une fois sortie de sa cabine insonoriser, le jeune homme serra une multitude de main et accepta une multitude de chèques comme guise de remerciement. El Gringo semblait se diriger vers la loge de la belle chanteuse car oui, il avait une proposition pour elle. Il avait vu de quoi elle était capable. Convaincre les gens, les hypnotiser seulement avec le son de leurs voix. Une femme fatale comme on dit. Une femme qui devait se sentir seul et entourer de faux-culs. C’était la réflexion même que le Brésilien s’était fait à lui-même. Une fois arrivé devant la loge de la chanteuse, il toqua un bon coup histoire qu’Adella entende. Il avait déjà en tête ce qu’il allait lui dire pour la convaincre. Il avait étudié chacune des réactions possible de la jeune femme et avait trouvé un contre à chacune d’elle. Roberto avait prévu le coup et était décider à recruter cette beauté fatale par toutes les ruses possibles et inimaginables. Puis la porte s’ouvrit et la jeune femme en peignoir demanda ce qu’elle pouvait faire pour aider notre milliardaire charismatique. Un sourire des plus merveilleux vint alors se lire sur les lèvres du jeune Dacosta suivie directement d’une réponse des plus délicate et polis, comme à son habitude.
    « Je pense que nous n’avions pas eu l’occasion de nous présenter. Roberto Dacosta, propriétaire du HellFire Club. Je suis venu avant tout pour vous remercier d’avoir accepté de faire une représentation dans mon club et aussi pour vous faire une proposition à l’égal de votre mutation car quelque chose me dis que vous valez beaucoup mieux que ça.. Puis-je ? »

Aviver la curiosité de la belle en utilisant le mot mutation. C’était le but du Roi Noir. Il avait finis son tour de parole en employant une question. La jeune femme allait elle accepter de faire entrer le beau brun pour qu’il lui fasse part de ses idées où allait-elle refuser ? A voir.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeSam 11 Aoû - 23:58


La jeune femme sourit à nouveau en découvrant le patron du club qu'elle n'avait fait que croiser pendant les préparatifs du show mais n'avait pas croisé son regard dans la salle parmi la foule de ses admirateurs. Au contraire, il avait disparu dans une petite pièce à part, apparemment pas initialement dans le club. Assez étrange d'ailleurs comme attitude pour quelqu'un qui avait tant tenu à la voir se produire dans son établissement. Elle lui tend sa main gracile pour serrer la sienne.
« Enchantée. »
Un nouveau sourire charmant mais pas spécialement amicale s'étire sur ses lèvres charnues. Elle est bien disposée à être polie mais à ne pas offrir plus de sa personne même à un directeur de club. Pas question de jouer sur ce terrain-là et de mélanger vie privée et vie professionnelle si on considère qu'avec la célébrité, la vie privée existe encore, chose dont elle commence très sérieusement à douter.
La belle blonde hausse des sourcils en entendant la suite des propos du charismatique patron du club. Une mutation ? Peu flatteur comme terme si il compte définir par là son chant. On l'a souvent affublé de toute sorte de nom mais rarement associé à celui d'une mutante et à ses yeux, c'était loin d'être flatteur. Pourtant, elle n'avait pas l'impression d'être si mauvaise que ça si on en croyait les critiques et même ses nombreux admirateurs. Et puis qu'est-ce qu'il voulait dire par le fait qu'elle valait mieux que ça ? Mieux que quoi ? Etait-ce une technique pour obtenir d'elle un contrat permanent dans son club ? Ce ne serait pas étonnant après le nombre de propositions qu'elle avait reçu ses derniers temps mais elle tenait à rester indépendante et à ne pas s'enfermer dans le rôle de la chanteuse de cabaret. Elle voulait encore pouvoir diversifier les horizons de sa carrière naissante afin de devenir une de celles qu'on oublie et pour cela elle s'était fixée une règle : ne jamais dépendre de qui que ce soit professionnellement. Sinon elle pouvait dire adieu au semblant de liberté qu'elle entendait bien conserver. La jeune femme lui fit pourtant signe d'entrer dans la loge, malgré son appréhension et son refus indiscutable sur une offre d'emploi. D'ailleurs, elle doutait de plus en plus de cette possibilité sinon pourquoi aurait-il choisi de ne pas assister au spectacle ? De toute façon, elle se voyait mal refuser l'accès à la loge au directeur de l'établissement, surtout si elle voulait espérer pouvoir réitérer ce genre de concert intimiste avec tout le gratin new yorkais.
« Entrez je vous en prie. On parle généralement de talent mais c'est la première fois qu'on appelle ça mutation. Original en tout cas. »
Elle lui fait à nouveau signe de prendre place sur le sofa de la loge alors qu'elle préférera regagner le tabouret de la coiffeuse pour s'asseoir face à lui, jambes croisées.
« Alors, de quoi vouliez-vous me parler M. DaCosta ? Que ce soit clair, je n'accepte aucune offre d'emploi permanent dans les clubs, peu importe la somme que vous me proposerez. Mais si vous souhaitez organiser à nouveau ce genre de concert, ce serait avec plaisir. Quoique je ne suis pas sûre que le spectacle vous ait plu vu la façon dont vous vous êtes caché. Je ne vous en veux pas, vous n'êtes pas obligé d'apprécier ce que je fais pour apprécier le bénéfice que vous tirez de ce genre d'événement. »
Loin d'être naïve sur le showbiz, elle savait parfaitement que quelques établissements, étrangement tous dirigés par des femmes, n'appréciaient pas sa musique mais lui demandaient malgré tout de faire des apparitions de temps à autre, afin de renflouer leurs caisses et celle d'Adella par la même occasion. Mais la jeune femme, un peu nerveuse de se retrouver ainsi seule avec le gérant du club a du mal à rester inactive même si sa nervosité ne transparaît pas d'une manière générale. Elle se lève rapidement du tabouret pour s'intéresser au seau à champagne qu'on a sûrement dû lui offrir aussi.
« Je vous sers un verre ? »
Deux coupes en main, elle attend sa réponse mais finira malgré tout par retirer le bouchon de la bouteille, ne serait-ce que pour se servir elle-même. Un grand verre pétillant était tout ce dont elle aspirait pour accompagner ce genre de discussion.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeDim 12 Aoû - 4:26


Le monde avait complètement changé. Les hommes avaient eux-mêmes changé. Ils n’étaient plus ce qu’ils étaient et la vérité n’était qu’un mensonge permanent. Dacosta était un des hommes qui avait sût lire tout ça avant que le monde ne change et avait sût tirer son épingle du jeu grâce à sa grande intelligence. Et le jeune Brésilien allait encore une fois prouver sa grandeur d’esprit en essayant de recruter la jeune femme dans son organisation. Il venait de finir ses quelques mots. Il avait employé le mot mutation pour prendre dans son jeu la chanteuse et le résultat tant attendu fût bien là. Adella fût tout d’abord intriguer puis elle montra un grand sourire et d’un simple geste montrait à notre gentleman qu’elle était ravie de le connaitre. Elle lui tendit sa main lui sourit donc pour finir par l’inviter à rentrer tout en faisant une réflexion sur le mot mutation qu’avait employé Roberto. L’étape numéro était un succès total. Le plan du roi noir se déroulé comme prévu et sans anicroches. Il devait à présent mettre en route l’étape numéro deux. Une étape assez difficile quand on ne connaissait pas vraiment les besoin de la personne en face de soi. Il entra dans la loge tout en essayant de regarder discrètement autour de lui pour gagner quelques informations, des-fois très utile, pour comprendre la façon de penser de la jeune femme. Une fois arrivé à coter du sofa, notre gentleman attendait que la jeune femme lui fasse un signe comme quoi il pouvait se mettre à l’aise pour enfin poser son joli petit fessier.

Sofa qu’il avait achetait il y bien longtemps et qui avait servi de chaise aux plus grandes personnalités dans le monde du Showbizness New-Yorkais. Lord Impérial s’était mis à l’aise. En effet, il était dans une position qu’il appréciait beaucoup. Assis, le dos droit comme une marche d’escalier et les jambes croiser l’une sur l’autre. La position de l’homme qui n’avait besoin de rien et qui avait déjà tout comme il aimait tant le dire. Car oui, Dacosta n’avait plus besoin de rien dans ce monde. Il avait sous ses ordres les hommes les plus influents de New-York, voire de l’Amérique entière. Un Club qui lui amenait des bénéfices énormes et ceux chaque soirs de la semaine et des mutants capable de plier n’importe quelle armées. Qu’avait-il besoin d’autre à part de la jeune femme pour renforcer considérablement ses plans pour l’avenir ? Car oui, même un homme comme lui avait des rêves pour le futur. La jeune femme repris la parole et retira le roi noir de ses pensées même si celui-ci ne montrait aucun signe d’une quelconque surprise. En parlant de surprise, c’était avec une surprise évidente que Dacosta écouta ce que la chanteuse avait à lui dire. Une offre d’emploi dans son club, de rémunération et de spectacle. Elle avait aussi parlé de la façon dont l’homme d’affaire était partie se cacher, comme elle le disait si bien, pendant son interprétation ce soir. Il fallait avouer que cette artiste ne manquait pas de courage et de culot. Parler à Roberto Dacosta de la sorte n’était pas donner à tout le monde, il fallait l’avouer.

    « Je vous arrête tout de suite, je ne suis pas venu marchander vos représentation même si les bénéfices de ce soir ont était plus qu’hallucinant grâce à votre remarquable prestation sur scène. Je ne suis ni venu vous proposer un contrat à plein temps, qui se traduira pour une artiste comme vous, d’être comme tenu en cage, car faire ses représentation sur une seul scène n’est pas fait pour un talent et une capacité aussi pur que la vôtre. » Reprenant son souffle, l’homme d’affaire effaça de son visage le léger rictus qu’il avait laissé entrevoir et repartie de plus belle avec sa voix des plus glacial. « D’autre part, sachez que je ne me cache jamais. » Reprenant un ton des plus calmes, il continua son explication. « Cette pièce me permettait en quelque sorte de contrer votre don si particulier. Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi les femmes ne vous aimez pas alors que tous les hommes sans exceptions sont dingues de vous ? »

Entre temps, la jeune femme s’était lever et avait proposé un verre à Lord Impérial. Champagne ? Qui refuserait un bon champagne. La bouteille que j’avais moi-même fait venir d’un fabriquant Suisse, spécialement pour la jeune femme. Un simple oui de la tête avait suffi à se faire comprendre et la jeune femme lui avait apporté son verre. El Gringo n’en avait pas finis avec cette discussion et compter bien finir de lui montrer les cartes qu’elle avait vraiment en main. Il voulait la mettre devant sa mutation pour lui montrer qu’elle n’était pas seule du tout et qu’elle pouvait en cas de pépin compter sur lui. Redressant la tête vers elle, Dacosta repris donc la parole sur un ton cette fois-ci des plus calmes.

    « Tu possèdes le don d’hypnotiser tous les hommes qui entende le son de ta voix lorsque tu chantes. Tu peux par la suite leurs faire faire ce qui tu souhaites. Si tu as envie de devenir une star et te faire aduler après chaque représentation, tu leurs fait donc t’aimer et ainsi de suite. C’est pour ça aussi que les gens t’aime pour ce que tu fais sur scène et sa influe sur ta vie privé, la supprimant presque automatiquement par la suite. Ce qui veut aussi dire qu’en ce moment même, je suis le seul dans ce club qui sache que tu n’es pas cette femme superficielle et inaccessible comme l’image que tu veux tant donner de toi aux gens. » Lord impérial avait parlé tout en utilisant sa matière grise mais il ne semblait pas tout à fait avoir fini. « Tu n’es pas la seule à avoir des capacités Adella. »

Voilà qui était si bien dis. Le roi noir était en train de gagner sa confiance petit à petit en se livrant le moins possible. Il fallait pour cela qu’Adella accepte de voir la vérité en face et pour une femme aussi sûre d’elle comme elle, ce n’était pas chose gagner. Et au cas où elle se mettrait à chanter et tenterais de laisser El Gringo seul, notre business man avait prévu un contre plus qu’efficace. A voir donc ce qu’Adella allait décider.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeDim 12 Aoû - 10:18


Le beau sourire de la blonde s'efface quelque peu quand elle reçoit la réponse froide du patron de club. Elle a bien conscience de se retrouver face à un des hommes les plus importants de New York mais elle est très loin d'être une petite fille impressionnable. Et puis elle n'avait rien à prouver à cet homme. Tout le reste du pays l'adulait, elle n'allait pas se formaliser pour une personne qui se permettait de lui parler de la sorte même si elle était blessée. Depuis toujours, les hommes lui avaient obéi au doigt et à l'oeil si on peut dire ça comme ça. Sur un seul mot de sa part, ils faisaient exactement ce qu'elle attendait d'eux. Si cela avait été amusant plus jeune, elle en était lassée à présent, cherchant celui qui saurait résister à ce qu'elle appelait charme mais qu'elle ignore être bien plus que ça. La jeune femme finit par tourner le dos à l'homme d'affaire pour s'occuper de débouchonner le champagne dans un ploc festif qui contraste avec l'ambiance froide qui vient de s'immiscer dans la loge. Sans se retourner, elle sourit légèrement, tentant de se détendre elle-même malgré sa nervosité qui ne cesse d'augmenter.
« Parce qu'elles sont jalouses et que mon agent s'est attelé de faire de moi un fantasme vivant pour tous ces hommes, peut-être ? Tout ça fait partie du jeu. »
Pour le coup, elle est vraiment persuadée de ce qu'elle raconte. Avoir une mutation ou ce genre de chose ? D'une part elle n'en a jamais entendu parlé et de l'autre elle doute d'en avoir une de la sorte. Elle ne fait que chanter après tout, chose la plus naturelle du monde pour sa part. Quoique, chanter n'est pas la seule chose qui enclenche ce don si particulier. Sa voix tout court, quand elle y met assez de conviction et de chaleur, peut provoquer des effets similaires même si ils sont grandement diminués par rapport à ceux qu'elle obtient quand elle chante auprès de la gente masculine. La belle blonde se tourne légèrement vers le patron du club, une main sur la taille avant de lui adresser un sourire charmeur.
« Vous ne trouvez pas que c'est plutôt réussi ? »
Essayer de détendre l'atmosphère pas pour le mettre à l'aise mais surtout pour la calmer elle-même et quoi de mieux que de plaisanter sur sa propre personne ? Elle se retourne à nouveau vers le seau à champagne et entreprend de verser le liquide pétillant dans chaque coupe, prêtant toujours une oreille attentive à ce que lui dit M. Dacosta. La mousse la force à attendre quelques secondes à chaque fois avant de pouvoir continuer à servir, quelques secondes de répit supplémentaire où elle n'a pas à se forcer à sourire et à paraître aimable au milieu de cette conversation qui ne la rassure plus du tout. A vrai dire, elle n'a qu'une hâte : le voir quitter cette pièce et pouvoir reprendre sa vie là où elle l'avait laissé. Si don elle avait, elle ne voulait pas en entendre parler et encore moins de sa part, un parfait étranger. Un léger rire lui échappe. Alors il pense vraiment dur comme fer que sa voix n'est pas suffisante pour hypnotiser les hommes et qu'il s'agit là d'un talent tout particulier, qui dépasse celui de la compréhension humaine ? Si c'est le cas, il est loin d'avoir fait le tour de ses capacités et risque lui-même de se perdre à son petit jeu. Cette théorie sur la bizarrerie de sa voix, elle l'avait formulé il y a longtemps déjà sans oser se l'admettre, associant ça à un coup de chance plus qu'à une mutation comme il l'avait si bien dit. Mais croire qu'il ne s'agissait que de son chant … grossière erreur. Même si les effets étaient moindres, effet il y avait. Et elle comptait bien s'en servir pour mettre un terme à cette discussion qui devenait dérangeante à son goût. La bouteille de champagne lui glissa des mains, retombant lourdement dans le seau plein de glaçons. Alors il y en avait d'autres ? Des gens comme elle, capables de choses impensables pour le commun des mortels ? Non, elle n'y croyait pas une seconde. Comment aurait-il pu tous se cacher dans ce cas ? La jeune femme se retourne, une coupe dans chaque main et sourire aux lèvres comme à son habitude.
« J'ai bien conscience que la compétition est dure dans le domaine artistique et que je ne suis pas la seule à avoir du talent mais j'ai de bons arguments en la matière. »
Elle lui tend une coupe avant de trinquer avec le patron du club. Si il est temps de stopper cette conversation, autant sortir le grand jeu.
« A cette soirée fort rentable pour vous dans ce cas-là. »
Mais elle ne retourne pas s'asseoir sur le tabouret de sa coiffeuse. Au contraire, elle choisit de se glisser sur le sofa au côté du grand brun, les jambes croisés et un coude sur le dossier pour pouvoir être tournée vers lui.
« Vous pensez me connaître mais vous êtes bien loin de tout savoir sur moi. »
Délicatement, elle fait courir ses doigts le long de son épaule large d'homme avant de s'approcher dangereusement de son oreille. A quelques centimètres de l'appareil auditif, elle va pouvoir expérimenter ce qu'il appelle mutation et qu'elle appelle talent ou bizarrerie selon les jours.
« Pourquoi vous inquiétez-vous ? Ce ne sont que quelques notes de musique. »
Sa voix sensuelle et légèrement chantante s'échappe en murmure de ses lèvres pleines. A ce qu'elle connaît de son pouvoir, l'homme ressentira pendant quelques instants un effet semblable à l'état de bien-être que provoque un ou deux verres de champagne en trop. Un état de béatitude heureuse qui néanmoins met la plupart des hommes à ses pieds.
« Vous devriez me laisser à présent. Je suis fatiguée. »
Le son de sa voix est toujours le même. Chaud et suave mais cette fois-ci il ordonne. Enfin, plutôt il suggère. Elle avait lu de nombreux ouvrages sur l'hypnose et y avait retrouvé des effets semblables à ceux qu'elle provoquait sur les hommes. Une chose avait retenu toute son attention : la suggestion hypnotique. Un individu plongé dans cet état second pouvait répondre à vos demandes si vous vous contentiez de le lui suggérer au creux de l'oreille et elle comptait bien y arriver pour mettre un terme à cette conversation.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeLun 13 Aoû - 16:27


Il fallait prévoir plusieurs coups d’avance quand on faisait une partie d’échec avec une femme fatal et Roberto en avait prévu une dizaine. Assis sur ce sofa en compagnie de la chanteuse, quoi de mieux pour un homme ? Etre assis sur un Sofa en compagnie d’une si jolie femme devrait exciter n’importe quelles hommes sur terre mais ce n’était pas le cas de messire Dacosta. Rien qu’au moment où il vit la dame se rapprocher, il mit en place sa protection. Il activa son pouvoir. La lumière de la pièce était en train d’être drainer mais, cela prenait du temps. Le temps que son doigt vint frotter l’épaule musclé du Brésilien et c’était déjà trop tard. Les cellules du corps de l’homme avaient déjà absorbé assez d’énergie lumineuse pour se protéger du pouvoir de la dame. Sa résistance avait grandement accru et son cerveau ne dégageait plus aucune onde. Et un cerveau qui ne dégage aucune onde ne pouvait en recevoir. S’il ne dégageait pas il n’allait pas recevoir, c’était plus que logique. Pendant ses quelques secondes, l’homme en costume noir fût privé de tous ses sens. Il était donc comme un morceau de gibier mais Roberto avait prévu le coup. Au moment où la dame eu finit sa phrase, la lumière de la pièce s’éteignit. En effet, il fallait absorber beaucoup d’énergie pour qu’il garde cette capacité et il en fallait tout autant pour y mettre fin. Dans une pièce confinée comme celle-là, il n’en avait pas beaucoup et donc, après avoir drainé toute l’énergie lumineuse de la pièce, elle serait plongée dans les ténèbres les plus profondes.

« Ne t’avise plus d’essayer de me manipuler. »

Dans les ténèbres les plus froids de cette pièce, la voix du seigneur des ténèbres se fit entendre. Une lumière ressurgit des ténèbres quelques instants après. Une ampoule avait survécu à la déferlante d’énergie et s’était rallumer. Roberto avait cessé d’absorber l’énergie ambiante, elle s’était donc logiquement rediriger vers les ampoules. On pouvait entendre une sorte de Bzz bzz comme si quelque chose était en train de s’électrifier. Les autres ampoules avaient complètement explosé sur la chaleur qu’avait dégagée d’un seul coup le prince des ténèbres. L’air sérieux, l’homme au costume était toujours assis sur ce sofa. Il n’avait pas bougé d’un pouce et pourtant, pendant les secondes qui venaient de s’écouler, Dacosta si il avait dût subir une attaque n’aurait rien pu faire. Mais la réaction des gens était calculable d’avance. Une femme aurait pris peur après le bruit d’explosion des ampoules et la pièce plongée dans le noir le plus complet. La femme fatale avait enlevé son doigt de l’épaule de Lord Impérial. L’énervement pouvait se faire sentir et la pression était désormais sur la jeune femme. Elle avait sûrement eu l’occasion de contrôler tous les hommes qui était venu lui parler et elle l’avait sans doute fait mais on ne contrôle pas le grand Roberto Dacosta et il fallait qu’elle le comprenne enfin. Le regard du Roi noir se faisait pesant sur la jeune femme et ceux malgré la lumière qui faisait des sienne de temps en temps. En effet, la seule ampoule encore en vie si l’on pouvait qualifier ça comme ça, dans la pièce n’était pas dans sa meilleure forme, tout comme la jeune femme qui n’avait nulle part où aller si Roberto décidait d’en finir avec elle.

« Avec mes nombreux contacts à broadway, il serait facile pour moi de t’avoir le rôle et la représentation que tu souhaites, où tu le souhaite et à l’heure que tu le souhaite. » El Gringo s’arrêta un instant puis tout en gardant son air sérieux et sûr de lui, repris la parole. « En contrepartie, rejoins-moi. Rejoins mon Club. Un club seulement réservé aux personnes influentes et aux personnes ayant des capacités intéressantes comme la tienne. Un club spécial que seuls les plus grands sont autorisé à rejoindre et tu y es invité. Si tu refuses par contre, je ferais en sorte de détruire ta carrière dans la chanson et de te détruire complètement avant de t’achever une fois pour toute. Tu viens de voir de quoi j’étais capable, tu sais donc que je n’hésiterais pas une seconde. »

Il fallait savoir comment parler avec une femme fatale. Ne pas la laisser prendre le dessus car si par malheur elle le prenait une fois, c’était la fin. Le roi noir avait des propos plutôt intéressant quand on regardait de plus près. Il proposait de faire monter la jeune femme dans les storting Blocs grâce à ses nombreux contacts et le tout pour presque rien. La jeune femme avait seulement à rejoindre son club et à se tenir prêt le jour où il l’appellera, car il l’appellera un jour. Un grand homme a dit un jour qu’un bon deal était un deal où les deux camps avaient autant à perdre et les deux camps avaient autant à perdre. Restait à attendre la réponse de la chanteuse. Elle n’avait pas le choix, où Roberto fera de sa vie un horreur.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeLun 13 Aoû - 19:21


Elle s'attardait à frôler son épaule, cherchant à reproduire le phénomène hypnotique sur le patron du club qui restait avant tout un homme. Mais l'effet ne fut pas vraiment celui qu'elle avait espéré pour mettre fin à ce tête-à-tête dérangeant. Les lampes de la pièce se mirent à grésiller d'une manière inquiétante avant de passer des ténèbres à la lumière à nouveau, comme si un faux courant s'était glissé dans le système électrique. Des ampoules du miroir, son regard repasse sur Dacosta, parfaitement immobile et semblant tout autant en tension que le reste de la pièce. Tout ça est surnaturel, elle n'arrive pas à y croire, si bien qu'elle se recule un peu dans le sofa, rompant tout contact physique avec lui. Et soudain le noir. Les lampes éclatent une à une dans un bruit inquiétant et la jeune chanteuse ne peut retenir un cri de surprise, se collant un peu plus contre l'accoudoir de cuir, cherchant à rester le plus loin possible de cet homme qu'elle commence un peu à redouter. La pièce est à présent plongée dans une obscurité qui est loin de la rassurer. Elle voudrait pouvoir partir en courant mais à vrai dire, elle n'est même pas sûre de réussir à retrouver son chemin dans le noir sans se prendre les pieds dans un des meubles de la loge spacieuse.
« Ne t'avise plus d'essayer de me manipuler. »
La jeune femme déglutit difficilement. Pourquoi ça n'a pas marché ? Qu'est-ce qu'il avait fait pour provoquer cette pénombre soudaine ? Pendant une seconde, elle avait cru en être l'unique responsable mais il était évident que sa « mutation » ne lui permettait pas ce genre de choses. Elle s'en serait déjà rendue compte le cas échéant. Il avait compris qu'elle était différente, ça ne servait plus à rien de se voiler la face à présent. Et par la même occasion de lui montrer qu'elle était loin d'avoir les impressionnantes de ce genre de capacité. Comment avait-elle pu passer à côté de tout ça ? Est-ce qu'ils n'étaient que deux dans ce monde à être capables de ces bizarreries ? Pas à l'entendre dire vu qu'il parlait d'un club réunissant ces gens. A présent, il ne s'agissait plus d'écourter la conversation mais de tirer son épingle du jeu et surtout de survivre. Comme l'homme l'avait formulé dans ses menaces, il n'hésiterait pas à la faire exploser comme il l'avait fait avec toutes les lumières de la pièce. Mais elle n'était pas décidée à se laisser faire de la sorte. La jeune femme avait parfaitement compris que si elle voulait se tirer de tout ça, il allait falloir la jouer finement. Malgré la noirceur de la pièce, une ampoule vacillante continuait de leur permettre d'y voir à peu près. Entre deux rayons de lumière, elle devinait clairement le regard de Dacosta braqué sur elle, bien plus froid qu'il ne l'avait été auparavant et clairement menaçant à présent. Loin de se laisser impressionner, la belle blonde le soutient, quittant son sourire artificiel. Si il voulait jouer à ce genre de jeu, elle n'en avait pas peur. Au contraire, la partie ne faisait que commencer. Il était différent au même titre qu'elle, avait ses capacité et elle les siennes, à ce compte-là, ils étaient égaux même si ses capacités à lui semblaient bien plus dangereuses dans l'immédiat. Elle attend patiemment la fin de ses menaces pour à nouveau étirer ses lèvres en un léger sourire. Elle ne compte pas mourir aujourd'hui mais bien profiter de la situation puisqu'il le lui permet.
« On ne m'achète pas avec des menaces. »
Elle n'est pas sûre de ce qu'elle dit mais sa voix est ferme et intransigeante. Elle peut remercier la Juilliard School et ses cours de comédie pour le coup.
« Tu comptes m'offrir ce que je peux avoir toute seule ? Je ne trouve pas que c'est une proposition très équitable. Si tu tiens tant à m'avoir dans ton club, il va falloir faire mieux. »
Il ne lui donnait pas le choix de répondre, eh bien dans ce cas-là, elle se le donnera seule. La belle blonde n'acceptera pas si facilement de se plier à la volonté d'un homme quand elle peut le faire plier à son tour, même sans user de son don.
« Tu n'as pas idée de tout ce que mon don pourrait t'apporter. Il vaut bien plus qu'une carrière musicale. »
Doucement, elle se rapproche de lui sans le lâcher du regard, quitte à entretenir une proximité dérangeante pour certains. Toutefois son corps n'effleure pas le sien, même si son souffle est si proche qu'il est fort probable qu'il caresse à présent le visage de Dacosta. Cependant, pas une trace de tentative d'envoûtement dans sa voix, les mots sont suffisants et la menace l'a calmé rapidement de ce côté-là.
« Imagine le jour où je donnerais un concert devant les troupes américaines lors des élections présidentielles. Des milliers d'hommes armés, un pays entier prêt à marcher pour toi sur un simple mot de ma part. Je peux te donner bien plus qu'une jolie prestation dans un club. Fais moi une offre en conséquence. »
Ses yeux clairs sont toujours plongés dans les siens, pas prêt de s'abaisser. A vrai dire, elle n'a pas la moindre idée de ce qu'elle avance mais pourquoi pas ? Si elle y arrive avec un homme, si comme il le dit, elle pousse les hommes à la désirer et à l'aduler, pourquoi n'arriverait-elle pas à faire de même sur une armée ? Si les mots lui viennent si facilement, c'est avant tout parce qu'elle y a pensé elle-même en prenant conscience de ses capacités. Il lui suffirait de charmer un futur président et de lui chuchoter à l'oreille ses moindres désirs pour faire régner à sa guise la paix ou le chaos sur le monde. Alors si il la veut dans son club si sélect, il faudra y mettre le prix.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMar 14 Aoû - 3:05


Il fallait prévoir une ambulance si la jeune femme continuait avec ses menaces à la con. Excusez-moi de ce mot grossier mais j’en avais marre. A la place du roi noir, je l’aurais déjà tué et je me serais débarrassé de son corps sans laisser aucune preuve. Mais voilà, un homme d’affaire n’abandonne jamais un business sans avoir reçu une réponse clair et la jeune chanteuse n’en avait encore donné aucune. En effet, elle ne cessait de tourner autour du pot. Elle ne cessait de jouer la femme fatal avec Messire Dacosta et ceux malgré les préventions que celui-ci avait eu à son égard. La partie allait donc ce terminé sur un échec et math. La jeune femme allait devoir assumer tant bien que mal les conséquences de ses paroles. On n’essayer pas de faire peur au milliardaire sans en payer le prix. Dire qu’elle pouvait monter une armée juste en faisant un show devant des militaire et qu’elle pourrait, si Roberto ne lui proposait pas plus que ce qu’il lui avait déjà proposer, leurs demander de le traquer et de le tuer n’était pas des choses à dire à un homme de sa trempe. Roberto se rapprocha alors de la belle. Il s’était tout d’abord levé du sofa il fallait le préciser pour ensuite s’arrêter à quelques centimètres de la chanteuse. Le sourire qu’il montrait auparavant sur le coin de ses lèvres avait complètement disparu au fur et à mesure que la peur de la jeune femme augmentait.

S’arrêtant à environs quelques centimètres de la jeune femme, Roberto ne put s’empêcher d’esquisser à nouveau un petit sourire sur le coin de sa bouche au moment où la jeune femme finit ses paroles. Il souriait non pas pour ce que venait de dire la jeune femme mais pour ce qu’il lui réservait. La main du célibataire qui était peut-être le plus prisée de New-York vint se poser dans le cou de la jeune femme. Au contact, la jeune femme pouvait sentir l’énergie du jeune homme s’en allait à petit feu vers elle. Dacosta avait fait le plein de rayon pendant la journée au cas où et avec son petit tour de passe passe de tout à l’heure, il lui restait encore assez d’énergie pour en finir si il le voulait avec la jeune femme. Il y avait un vieux dicton qui disait que trop s’exposer au soleil, on finirait complétement explosé. Un dicton qui disait vrai. Une trop grande exposition au soleil et c’était l’insolation. Insolation qui va du plus petit cas jusqu’au cas d’une insolation grave pouvant complètement tuer la personne. Adella se sentait déjà faible et Roberto le voyait. Il voyait la peur monter en elle tout en resserrant la prise qu’il avait dans son cou. Il n’était pas question pour lui de frapper une femme mais celle-ci avait bien besoin d’une leçon. Roberto était en train de faire chauffer l’extérieur du corps de la chanteuse de façon à ce qu’elle attrape une insolation. Les réflexes de survie d’un être humain diraient qu’elle devrait envoyer sa meilleur carte pour contrer le pouvoir de l’homme au costume noir mais ayant sa main sur son coups et plus précisément sur ses cordes vocales, elle ne pouvait donner le son nécessaire à sa voix pour qu’elle arrive jusqu’au cerveau et fasse tilt.

« Je pense que tu ne m’as pas comprise. Je t’ai déjà dit de ne pas essayer de me manipuler. Ceci n’était qu’un avant-goût de la mort imminente qui t’attend si tu continues de jouer avec moi. Je pense avoir était assez clair à présent. »

Lâchant prise, la jeune femme ne pouvait que tomber au sol. C’était pour ça qu’on employait la phrase tomber sur le cul car on pouvait dire qu’elle était tombée de haut et sur le cul. Dacosta n’aimait pas qu’on lui manque de respect et il n’aimait pas à avoir à se répéter. Il avait déjà prévenu la jeune femme une fois. Il lui avait conseillé gentiment de tenir sa langue et de ne plus essayer de le manipuler mais elle n’avait même pas pris la peine de l’écouter. Lord Impérial n’allait donc pas se gêner pour lui montrait de quoi il était capable. Se retournant en direction du fauteuil, il alla s’asseoir tout en croisant les jambes. El Gringo n’avait pas du tout lâché la jeune femme des yeux et tout en étant assis il la regardait souffrir. Il avait pris soin de ne pas faire monter sa température au-delà des 41 degrés Celsius pour ne pas risquer de la tuer. Ce n’était qu’un tir de répression et non pas un acte visant directement à la tuer, même si il avait voulu le faire, il ne se serait pas gêner et soyez sûr qu’il n’aurait eu aucun regret par la suite. La jeune femme avait seulement attrapé une insolation moyenne. La fatigue l’avait emparé tout comme des bouffés de chaleurs horribles mais après quelques temps elle lui passera.

« Je n’ai toujours pas eu de réponse à la proposition que j’ai formulé. Acceptes-tu de rejoindre mon club ? »
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMar 14 Aoû - 23:00


Son assurance commença à défaillir au moment précis où l'homme se leva pour se poster devant elle. Et si il décidait de sortir une arme de l'intérieur de sa veste ou de la faire éclater comme il l'avait fait précédemment avec les lampes ? Rien ne l'en empêchait après tout. Il ne devait y avoir plus personne à cette heure-ci dans les loges, les clients étant trop occupés dans le club tout comme son agent ou ses musiciens. Autrement dit, elle était définitivement seule et si homicide il devait y avoir, elle ne pourrait même pas espérer la présence de témoins. Pendant quelques secondes, elle se mit à imaginer les gros titres à l'annonce de sa mort soudaine. « Bewitch succombe à un arrêt cardiaque après un de ses concerts new yorkais. Le monde musical en deuil. » La panique montait progressivement en elle alors que son souffle se faisait plus saccager. Peut-être qu'elle aurait mieux fait de taire mais quand vous êtes habitués à obtenir ce que vous voulez en prononçant le plus banal des mots, vous en oubliez parfois qu'il faut réfléchir quand votre don n'a pas lieu d'être utilisé. Elle n'aurait même pas pu compter le nombre d'hommes qu'elle avait poussé à l'adorer en leur susurrant des paroles blessantes. Et eux ne faisaient qu'adorer tout ce qu'elle disait, approuvant chacun de ses mots comme si il s'agissait d'une parole prophétique. Certaines mauvaises habitudes étaient de toute évidence bonnes à perdre si elle comptait survivre à cette soirée mais elle s'en rendrait compte rapidement. Alors que la belle blonde reste silencieusement assise, attendant presque comme une condamnée à mort le supplice qui sera le sien, sa respiration se fait plus bruyante. Foutu stress qu'elle n'est pas capable de camoufler sous une apparence sereine. Son corps la trahit avant même que son mental n'ait fini de décroître. Délicatement, la main chaude de l'homme se pose dans sa nuque. Anormalement chaude. Elle fronce les sourcils alors que la peur est clairement inscrite sur son visage désormais. Impossible de savoir ce qui lui arrive mais elle sent que quelque chose est en train de passer de lui à elle, réduisant grandement ses forces physiques. Elle aurait envie de s'endormir, de se laisser submerger par cette chaleur alors qu'une nausée lui serre le ventre. Au début de son supplice, elle tente de se défaire de sa prise, luttant des deux mains pour desserrer ses doigts brûlants mais dès qu'elle tente de se débattre, la poigne de Dacosta se fait plus forte, l'empêchant tout bonnement d'émettre le moindre son. Finalement, elle abandonne la lutte, totalement à la merci de son tortionnaire et commençant à succomber à sa propre température corporelle qui de celle d'une grippe mal soignée passe tout doucement à celle qui causerait sa mort. Les mots de l'homme ne sont même pas compréhensibles. A la limite de l'évanouissement, elle s'accroche vainement à son poignet de ses deux mains frêles alors qu'elle a quitté depuis un moment le cuir du sofa. Le supplice sera bientôt terminé, il suffit qu'elle s'endorme et tout cela ne sera plus rien. Une insolation dans une loge, la situation sera cocasse. Au moins, elle ne quittera pas ce monde d'une façon ordinaire.
Mais alors qu'elle ferme les yeux et abandonne ses dernières résistances, la belle blonde ne peut que sentir le sol se rapprocher dangereusement d'elle-même. Incapable de tendre les bras pour ralentir sa chute, elle s'écroule à terre. Son corps la brûle toute entière, particulièrement à la gorge comme si la poigne de Dacosta l'enserrait encore. Lentement, elle recouvre ses capacités physiques alors que sa chaleur corporelle baisse d'un ou deux degrés. Cependant chaque muscle la fait souffrir si bien que se redresser pour s'adosser sur le canapé est à lui seul un nouveau supplice. Haletante, les cheveux défaits, elle tente de retrouver son calme malgré les vagues de chaleur qui continuent de l'assaillir. Rapidement le peignoir de soie noir glisse le long de ses épaules, la laissant dans sa robe de concert de la même couleur si bien que dans l'obscurité, on ne distingue que la peau diaphane de ses épaules, son visage et ses jambes interminables ainsi que sa chevelure blonde qui tombe en cascade devant ses yeux. Encore un effort et elle peut enfin s'asseoir à même le sol, le dos contre le cuir du canapé. A travers le rideau blond que forme à présent sa coiffure, elle pose son regard d'azur sur la silhouette de l'homme.
« Ce n'est pas une proposition si tu ne me laisses pas le choix. »
Une autre façon de dire qu'elle accepte contre son gré et avant tout pour protéger sa vie. Mais une chose l'effraye. La voix qui s'échappe de sa bouche est rauque et grave, rien à voir avec celle douce et claire qui a tant d'effet sur les hommes. Et si il avait détruit à tout jamais ce qu'elle aimait le plus chez elle, ce qui la faisait vivre et surtout qui la rendait unique. La jeune femme se racle la gorge mais elle est sèche. Heureusement, une coupe de champagne survit toujours sur une table basse. Peu importe à qui elle appartenait, la blonde n'est plus à ça près. Le liquide la brûle tout autant que la surcharge de chaleur dégagée précédemment mais elle adoucit un peu ses cordes vocales malmenées. Son regard est haineux même si le patron du club ne doit pas beaucoup s'en soucier. Une fatigue extrème la traverse alors qu'elle tente en vain de s'asseoir sur le sofa. Peine perdue, elle restera à terre pour le moment. Tenant des deux mains la coupe de cristal pour éviter qu'elle ne lui échappe, elle plonge ses yeux dans l'ombre de la boisson pétillante.
« Et qu'est-ce que tu vas faire maintenant ? Me mettre en vitrine et expliquer aux journalistes que j'accepte de bon cœur de rester ici pour toi ? »
Un ricanement lui échappe alors qu'elle descend le reste de la coupe d'une traite. Ses forces lui reviennent à présent même si elle sent toujours son corps bouillir sous sa peau fine. Enfin, elle réussit à se relever non sans peine, abandonnant ses chaussures à talon. Heureusement, le mur réceptionne son épaule quand elle manque de tomber à nouveau. Dos à Dacosta, elle plonge la main dans le seau à champagne et récupère quelques glaçons qu'elle enveloppe dans la manche de son peignoir de soie. Un soupir de soulagement lui échappe quand elle l'applique précautionneusement sur sa gorge brûlante puis sur son front.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMer 15 Aoû - 4:06


Le charme légendaire du roi noir avait encore opérer. Son charme ou plutôt sa persuasion qui n’avait aucune limite. Les mots du jeune milliardaire dis, la jeune femme tomba au sol et son peignoir de soie noir tomba lui aussi. La jeune femme devait être complètement fatiguée, dénudé de force et ses membres devaient la faire atrocement souffrir. Dacosta n’eut pas de réaction particulière mais il se dit intérieurement qu’il était peut-être allé un peu fort avec elle. Il avait peut-être surestimé la demoiselle et son talent mais il fallait avouer qu’il aimait sa façon de s’accrocher à la vie et sa combativité. La regardant, son regard changea. Il n’avait plus ce regard noir et froid envers elle. Il sortit son regard empreint de compassion même si au fond de lui, il ne ressentait rien du tout. Puis la chanteuse répondit, à sa façon au roi noir. Elle avait raison d’un coter et c’était pour ça que Lord Impérial esquissa un autre sourire, plus décontracté que d’habitude. Il avait enfin la réponse qu’il attendait depuis le début de cette journée. La chanteuse acceptait d’utiliser son don et son talent pour les profits des mutants du monde entier. Elle acceptait d’être loyal au roi noir et de respecter chacun de ses ordres. C’était une nouvelle recrue et elle avait un potentiel énorme pour lui. Les plans qu’ils avaient en tête ne seront que plus faciles à réaliser avec l’aide du talent hypnotique de la jeune femme.

Dacosta savait prendre soin de ses amis et la jeune chanteuse était devenue son ami où une de ses connaissances comme il le dit si bien, au moment où elle accepta son offre. Malgré que pour le moment, elle se sentait complètement bloqué n’ayant pas eu le choix d’accepter cette proposition, Roberto savait que ce n’était guère la vérité et qu’il lui avait laissé le choix. Il s’était aussi montré plutôt gentil avec elle malgré ses écarts de conduite et les phrases poussés qu’elle avait prononcées et il croyait fermement qu’elle devrait se montrer plutôt heureuse d’être encore en vie à l’heure actuelle. El Gringo ne lâcha pas la belle du regard et eu comme un moment de compassion. Non, ce n’était pas du tout le mot. Dacosta n’éprouvait aucuns sentiments. Disons plutôt qu’il voulut aider une de ses connaissances qui avait l’air d’avoir besoin d’un coup de main. En effet, Adella complètement vidé de son énergie par l’insolation qu’elle venait d’attraper essayer tant bien que mal de remonter sur le sofa mais rien n’y faisait. Décidément Roberto était peut-être bien allé trop fort avec la belle. Il se rapprocha alors de la jeune femme sans pour autant se presser pour tendre ses deux mains vers elle comme pour lui dire qu’il allait l’aider. Un sourire des plus ravageurs sur son visage, le beau ténébreux des îles allait effectuer sa première bonne action de la journée après plusieurs actes plutôt mal vue.

« Laisse-moi t’aider. Maintenant que tu fais partie de mon club, tu fais partie de ma famille. »

Entre temps la jeune femme eu le temps de plonger sa main dans le sceau pour y prendre quelques glaçons pour essayer de faire chuter sa température. Si vous voulez mon avis, ce n’est que peine perdu. Faire chuter sa propre température avec des glaçons était une chose impossible. Elle avait besoin de repos et c’est tout. Elle prit les mains de Roberto et le jeune milliardaire fit un pas pour prendre appuie mais voilà qu’il se prit le pied dans le sceau à glaçon qui fut utiliser plutôt et renversa celui-ci au sol. Malheureusement, ce n’était pas la seule chose que le beau brun renversa. En effet, vu qu’il était en train d’aider la jeune femme à se relever et qu’il perdu l’équilibre à ce moment-là, sans pour autant lâcher prise il tomba en compagnie de la jeune femme sur le sofa. Oui mais voilà, les deux mutants ne tombèrent pas l’un à coter de l’autre mais l’un sur l’autre. Roberto Dacosta s’était donc retrouvé allonger sur la chanteuse alors qu’il ne voulait que lui venir en aide. Les deux étaient donc nez à nez et Dacosta ne semblait pas vouloir bouger même si il ne ressentait rien du tout envers la jeune femme qui avait manifestement trop bue. Profiter d’une femme complètement bourré s’était mal mais Roberto était le mal incarner. Et puis l’alcool ne faisait plus effet sur elle avec la décharge de chaleur qu’il lui avait envoyé tout à l’heure. Le champagne passait sûrement au sein de son organisme comme de l’eau plate et rien d’autre.

« Reste à savoir quel rôle tu détiendras.. »

Alors que le roi noir souriait, son regard était plongé dans celui de la jeune femme. C’était véridique. Restait maintenant à savoir quelle rôle allait bien pouvoir jouer la jeune femme au sein de la ‘famille’ du Brésilien ? Il avait sans doute une idée en tête alors que leurs deux corps étaient collés l’un contre l’autre et que chacun pouvait sentir les pulsations de l’autre. Qu’allait-elle bien pouvoir répondre et surtout comment allait-elle réagir avec un homme aussi dangereux que messire Dacosta allonger sur elle ? La chanteuse n’était pas si inaccessible que ça après tout et Roberto avait su trouvé la faille..
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMer 15 Aoû - 14:47


Alors qu'elle applique les glaçons sur sa gorge douloureuse, elle se laisse glisser sur le sol, fatiguée par les efforts que lui ont demandé ces quelques pas. Sa tête touche bientôt le mur alors qu'elle retient les larmes de couler le long de sa joue. Il faut vraiment être une idiote pour se mettre dans des situations pareilles et se rendre toute seule prisonnière d'un psychopathe capable de vous faire bouillir dans la minute si vous ne lui donnez pas ce qu'il exige. Mais mieux valait de pas y penser pour le moment sous peine d'être capable de continuer d'enchaîner les tentatives désespérées pour s'échapper de ce cauchemar et une fois de plus risquer sa vie. Affaiblie, elle ne prend même pas la peine de lever les yeux vers les mains tendues de Dacosta. A vrai dire, elle redoute un nouveau contact physique et les dégats irrémédiables qu'il pourrait causer sur son organisme. A croire que l'homme d'affaires avait oublié qu'Adella était loin d'être une armoire à glace et qu'au contraire son corps de femme demandait une certaine délicatesse et non de se comporter comme un rustre. Dans un effort qui lui semblait démesuré, elle attrape le seau à champagne pour le poser à côté d'elle. Si les petits blocs de glace n'allaient pas faire chuter sa chaleur corporelle, ils avaient au moins l'avantage de la soulager un peu aux endroits les plus douloureux de son corps à savoir son cou. Même si l'homme semble plus condescendant à son égard, il n'aura le droit qu'à un regard noir de sa part, la jeune femme étant peu décidée à pardonner la tentative d'assassinat à son égard. Cependant, quelque chose la décida à ravaler sa rancoeur et à accepter cette aide bienvenue vu son état. Un seul mot à vrai dire. Une famille. Alors était-ce vraiment ce que lui apporterait ce club ? Une véritable famille ? Non pas qu'elle n'en avait jamais eu. Elle connaissait son père même si son histoire avec sa mère restait voilée de mystère. Elle avait aussi eu la chance de connaître sa grande sœur avec qui elle avait vécu pendant toute sa scolarité à la Juilliard School. Mais sa carrière musicale l'avait grandement éloigné de tous les membres de sa famille biologique, la laissant un peu seule dans ce monde de strass et de paillettes. Elle adoucit un peu son regard dur sans même sans rendre compte alors qu'elle prend ses mains pour se relever. Elles sont toujours aussi chaudes mais cette chaleur semble sans danger à présent. Après tout, on ne fait pas de tord à sa famille non ? Et peut-être qu'elle pouvait le prendre au pied de la lettre puisqu'il n'avait pas hésité à lui faire comprendre que ce qu'il disait, il s'y tenait fermement. Peu assurée sur ses pieds, elle chancelle un peu pour trouver son équilibre mais c'est peine perdue. Dans une suite de tentatives pour rester debout, ils se retrouvent tous les deux à chuter, elle essayant de se rattraper comme elle peut et lui se prenant de rechef les pieds dans le seau à champagne. Elle reste immobile quand elle se rend compte qu'elle se retrouve écraser sous lui dans le sofa. En fait la situation est assez comique quand on y pense. Le grand Dacosta vient de perdre l'équilibre d'une manière assez loufoque et malgré l'aspect dramatique des événements précédents, elle ne peut se retenir de rire. Pire que ça, elle sent le fou rire monté en elle, ses émotions sûrement bousculées par toute cette suite pittoresque qui les amène à se retrouver l'un contre l'autre. Au contact du corps du brésilien, elle semble reprendre des forces comme si l'énergie qui avait failli causer sa perte peu de temps auparavant ne lui était plus que bénéfique maintenant qu'ils avaient conclu appartenir au même clan. Elle finit par réussir à calmer ses rires, le dos de sa main tentant de camoufler ce sourire persistant qui entrait tellement en contradiction avec la minute précédente. Mais que voulez-vous ? La célébrité mettait ses nerfs à rude épreuve et la rendait un peu névrosée, capable de passer du rire aux larmes en peu de temps même si elle ne le montrait pas de prime abord. Et puis, la quantité de champagne qu'elle descendait tous les jours devait grandement aider à ses brusques changements d'humeur. Même si il s'agissait de Dacosta, se retrouver dans cette position ne l'impressionnait pas beaucoup. Elle n'était pas aussi naïve qu'elle aimait le faire croire et certainement pas à son galop d'essai dans les relations humaines. La jeune femme n'abandonne pas son sourire même quand la discussion reprend. Son rôle ? Si déjà il lui force la main pour appartenir à une organisation, elle entend bien ne pas être qu'un pion parmi tant d'autres. Ce n'est pas son genre d'accepter son sort avec passivité. Au contraire, elle comptait bien s'élever au plus haut et ne pas se contenter du grade le plus insignifiant. Son sourire se fait charmeur alors qu'elle se permet de passer un doigt le long de sa joue jusque dans sa nuque.
« Et à quoi avais-tu pensé en me demandant de te rejoindre ? »
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeJeu 16 Aoû - 5:59


Depuis la nuit des temps, l’homme et la femme se livrait un combat qui ne trouvera sans doute aucun vainqueur. Des hommes brisaient les cœurs des femmes et les femmes faisaient de même avec les hommes. Un jeu qui n’allait pas cesser aujourd’hui puisque Roberto semblait vouloir assouvir quelques-unes de ses envies sans pour autant attacher trop d’importance à la chanteuse qu’il venait de recruter dans son club. Allongé sur ce corps qui en faisait rêver plus d’un, Dacosta sentait l’excitation monté en lui tout comme il sentait que la jeune femme était plutôt réceptif à ses envie d’homme. Preuve à l’appui, la jeune femme fit frotter son doigt le long de la joue du Brésilien jusqu’à ce qu’elle arriva sur sa nuque. Elle était intelligente et Roberto adorait les femmes qui savaient se débrouiller par leurs propres moyens et s’adaptaient pour survire. Il en avait la preuve sous les yeux, ce genre de femmes n’était pas éteint et il allait pouvoir prendre du plaisir seulement pour le plaisir. Car oui, avoir des sentiments n’était pas du genre de notre beau brun. Il n’avait aucun ami. Grandissant tout seul à cause de sa capacité qu’il ne réussissait pas à contrôler, il avait toujours fait peur aux gens qui l’entouraient et aussi loin qu’il puisse se souvenir, il avait toujours vécu seul. La solitude était donc sa seule et unique amie et il n’allait pas changer ça maintenant.

La jeune femme finissait sa phrase alors que la main d’El Gringo glissa le long de sa svelte silhouette pour s’arrêter sur sa cuisse. Il était donc temps de sortir le grand jeu. Dacosta commençait doucement à écarter les cuisses de la demoiselle pour y placer son bassin. Une de ses mains était bloquée derrière le dos de la chanteuse et quand il finit de positionner son bassin, il se leva entrainant ainsi la dame avec lui. Les oiseaux avaient pour habitude de danser avant l’heure de leur reproduction et c’est en quelque sorte ce que fit l’homme au costume noir. Ses yeux toujours plonger dans ceux de la demoiselle dans ses bras, il écrasa plutôt violement celle-ci contre la porte d’entrée histoire de montrer qui était vraiment le chef ce soir. Elle allait se plier à la volonté de l’homme de plus dangereux des Damnés et allait assouvir le plus lointain de ses désirs. Une fois plaqué contre la porte, Dacosta se laissa esquisser un sourire alors que sa main droite vint tourner deux fois la clef présente sur la porte d’entrée même si avec le poids de la chanteuse et celui du Roi Noir, ce n’était pas gagner pour quelqu’un de réussir à ouvrir la porte. C’était une assurance, au cas où quelqu’un viendrait les déranger dans leur futur fait et gestes. Le regard de Lord Impérial ne changea pas du tout. Toujours aussi sérieux, il plaça de nouveau sa main droite en dessous de la cuisse de la jeune femme histoire qu’elle ne tombe pas alors que son autre main se baladait librement en lui caressant le front, le nez, la bouche et puis commençait sa route en direction du décolleté de la chanteuse.

    « Et si tu me montrait plutôt tes talents histoire que je me décide du rôle que tu joueras.. »

Un ton toujours aussi ferme et froid mais cette fois-ci, on pouvait y lire une sorte d’excitation dans la façon que Roberto eu de le dire. La jeune femme était complètement à la merci de Dacosta. Il pouvait en quelques instants décidé du repos éternel ou non de son âme mais ce n’était pas ce qu’il voulait dans l’instant présent. Sa capacité à réfléchir avait laissé place à son instinct animal. L’homme ne répondait plus à aucun de ses sens sauf celui de l’excitation et Adella semblait se comporter pareil. Soudain la main du milliardaire vint s’accrocher à la robe de la chanteuse et en une fraction de seconde la déchira violemment. Le regard des deux tourtereaux était toujours en train de se croisé alors que Dacosta ne voulait pas du tout faire le premier pas. C’était à la jeune femme de l’embrasser et non pas à lui. Faire le premier pas était une sorte de faiblesse pour lui. Il avait déjà bien entamé les choses puisqu’elle se trouvait dans une position plus que favorable. En effet, plaqué contre la porte de sa loge, accrochée au roi noir, les jambes écartées autour de sa taille et ses mains s’accrochant à sa nuque, elle n’aurait pas une autre occasion de l’embrasser et tous deux le savaient. Sa robe déchirer seulement au-dessus de son foie laissait apparaitre son soutiens gorge rouge foncé et la majeur partie de sa poitrine. Une poitrine qui en faisait rêver et fantasmer plus d’un était en possession ce soir de Roberto Dacosta. Nous avions donc un Roi Noir excité comme jamais et une chanteuse qui pouvait le sentir comme on dit vu que leurs deux corps étaient collés l’un contre l’autre. Ne lachant toujours pas la belle du regard, le roi noir jeta quelque coups d’œil rapide au décolleté de la belle et toujours son sourire à la bouche ne fit aucun autre geste. C’était au tour de la jeune femme d’agir, Roberto n’allait pas tout faire quand même et il lui avait demandé de lui montrer quelques-uns de ses talents..
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeJeu 16 Aoû - 17:15


L'excitation liée au danger, l'adrénaline, un peu trop de champagne, autant de raisons qui la pousse à ne pas se braquer quand il pose une main sur sa cuisse en prenant ses aises sur elle. Sa façon de se comporter manque de pudeur et de délicatesse mais son entrevue avec Dacosta lui avait suffi pour comprendre qu'il ne faisait pas dans la dentelle, que ce soit dans les affaires ou dans les relations humaines et il ne ferait sûrement pas une exception pour elle. Cependant, elle ne lui en tiendra pas rigueur. Un sourire s'étire sur ses lèvres quand il la soulève avec facilité pour la plaquer contre la porte de la loge. Croisant ses jambes dans son dos, elle n'a aucun mal à sentir l'effet que son corps offert lui fait. Comme quoi, elle n'avait pas tort. Il avait beau posséder un pouvoir impressionnant, il n'en restait pas moins un homme avec ses failles et faiblesses. Et comme tous les hommes, il aimait à lui faire comprendre qu'il était le seul à maîtriser la situation mais là encore, il se trompait. Adella avait su apprendre avec le temps qu'il n'y a pas meilleur moyen de contrôler un homme qu'en jouant avec ses désirs physiques et messire Dacosta ne tarderait pas à en faire l'expérience. Il voulait croire qu'il tirait les ficelles de ce jeu ? Eh bien qu'il reste sur ses certitudes. Il pourrait même continuer à le croire après ce qui se passera dans cette loge, la jeune femme sait parfaitement qu'elle a déjà gagné en le poussant à suivre son instinct purement animal. Chacun de ses gestes, la façon dont il la dévisage, il manque cruellement de douceur. Sûrement qu'il n'a pas dû fréquenter beaucoup la gente féminine pour s'y prendre d'une manière si gauche ou que les femmes qui ont accepté de passer du temps avec lui étaient bien trop payées pour se permettre de lui faire remarquer. Dans un mouvement de réflexe, elle tente de cacher son soutien-gorge dénudé par un nouveau mouvement de violence de la part de Dacosta mais c'est peine perdue, surtout si elle ne veut pas tomber, et elle se raccroche tant bien que mal à la nuque de l'homme. La jeune femme lui adresse un nouveau sourire en voyant que de toute évidence, la vision qu'il a d'elle est loin de le laisser indifférent.
« Tu aurais pu simplement me demander de la retirer. »
A croire qu'il ne savait composer qu'avec violence et que personne ne lui avait appris la subtilité et la délicatesse. Et bien soit, Adella pouvait s'avérer très bon professeur quand elle le voulait et la leçon est sur le point de commencer. Elle délie ses jambes et pose pied à terre, se défaisant de la main de Dacosta sans pour autant émettre l'envie de s'éloigner de la proximité que leurs deux corps entretiennent. Rapidement, le restant du tissu fin noir tombe au sol révélant une lingerie hors de prix qu'elle avait déniché dans une boutique parisienne. Celle-ci, il n'a pas intérêt de la déchirer à moins d'être prêt à allonger le prix pour lui en trouver une d'aussi bonne qualité ! Ses yeux pétillent de malice quand elle pose sa main à plat contre son torse avant de le pousser doucement en arrière. Quelques pas et il finit enfin par fléchir les genoux pour atterrir sur le sofa. Elle ne le quitte pas des yeux quand elle l'enjambe pour venir s'asseoir sur ses cuisses. Il aura beau croire qu'elle est la soumise de l'histoire, il est bien loin de la vérité même si comme tous les hommes, il n'en a sûrement pas conscience. D'ailleurs si il tente de poser ses mains sur elle, il ne tardera pas à voir ses poignets immobilisés sur le dossier du canapé d'une poigne ferme et assurée contrastant fortement avec son attitude frêle et désespérée de tout à l'heure. L'attrait du jeu n'a fait que lui redonner des forces et la facilité d'une femme à éveiller chez son partenaire le plus naturel et élémentaire des instincts l'a toujours fasciné. Sans le quitter du regard, elle approche dangereusement son visage du sien mais à quelques millimètres de ses lèvres, elle s'immobilise, se contentant de poser son front sur le sien. Elle ne craquera pas la première, il peut en être sûr. Elle veut le voir dans ses retranchements les plus secrets, ceux qu'il n'ose même pas imaginer lui-même, le pousser à reconnaître la faiblesse de son corps face à l'expérience de la jeune femme. C'est donc sans le quitter du regard qu'elle lui retire sa veste avant de s'attaquer à sa cravate et aux boutons de sa chemise. Contrairement à lui, chacun de ses gestes est accompagné d'une caresse délicate, faisant frissonner sous ses doigts experts chaque parcelle de peau qu'elle dénude avec soin. Le torse de son ex-tortionnaire enfin mis à nu, elle repasse ses mains autour de sa nuque, plongeant ses ongles dans sa chevelure sombre et rapprochant encore son visage du sien sans pour autant effleurer ses lèvres qui lui font sûrement autant envie qu'à lui. Son bassin se colle au sien dans un mouvement aussi doux que sensuel alors qu'elle menace à nouveau d'aller chercher le premier baiser. Bien sûr, elle n'en fera rien. En parfaite tortionnaire du désir, elle attendra sagement que son torturé succombe le premier au feu dévorant qui naît entre leurs deux corps.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMar 21 Aoû - 0:12


L’excitation était à son paroxysme et pourtant, le roi noir avait encore un contrôle parfait de son corps. L’adrénaline ne prenait pas le dessus sur lui. Pas depuis longtemps déjà. La chanteuse le repoussa pour le faire tomber sur le sofa, avant de venir s’asseoir sur lui. Et même avec ça, rien. Roberto restait de marbre, ne montrant aucun signe d’excitation particulière. Et pourtant, elle était bien présente l’excitation. La jeune femme lui attrapa les deux mains avant de les plaquer contre le sofa. Elle faisait preuve de la force en compagnie de Dacosta ? Un sourire vint parcourir ses lèvres avant de l’embrasser langoureusement. Il avait céder ? Ne vous dites pas ça. Roberto en bon manipulateur sait faire le premier pas quand c’est une obligation pour lui. Et en bon séducteur, ce baiser fut accompagné d’une de ses mains parcourant doucement les cheveux de la jeune femme. Leurs enlevantes toutes attaches pour les laisser se balader au grès du vent. Torse nu, le chef des damnés souriait toujours. Il manipulait à sa guise la jeune femme. Elle croyait qu’il avait céder mais en aucun cas. Il avait fait l’homme intouchable au tout début de l’entretient exprès pour qu’elle se laisse tenter et c’était le cas. Il avait subjugué la chanteuse et l’avait à présent dans son lit sans le moindre effort. Il réfléchissait ensuite à ce qu’il pourrait bien se passer alors que son autre main commença à détacher le soutiens gorge de la jeune femme, qui avait l’air d’être hors de prix soit dit en passant.

C’était décidément une femme qui avait bon gouts. D’abord le soutien-gorge et puis Roberto. Les Brésiliens attirent toujours les femmes, ça aidait un peu. Même si il fallait le dire, avec un physique comme le sien, le roi noir n’avait pas besoin d’aide. Le soutien tomba alors sur les genoux de la chanteuse.. D’un geste doux et calme, Dacosta le pris pour le poser ailleurs. Il embrassait toujours la jeune femme, leur baiser avait duré et une fois terminé, il posa son front contre le sien tout en commençant en enlevant sa veste, sa chemise qu’elle avait fini de déboutonner et sa cravate. Puis d’un geste toujours aussi doux et calme, il porta la chanteuse pour la faire allonger sur le sofa, s’allongeant ensuite, torse nu, sur elle. La jeune femme ne portait plus qu’une culotte et rien d’autre. Roberto toujours sourire au coin des lèvres fit mine de vouloir l’embrasser pour esquiver au dernier moment vers son cou. Il savait jouer des femmes. Il savait comment les faire jouir et comment leur faire faire ce qu’il voulait qu’elle fasse. Il commença alors à lui faire quelque baiser dans le cou accompagné de petites caresses sur ses attributs du haut. De beaux attributs féminins il fallait quand même l’avouer. El gringo commença ensuite à descendre petit à petit en continuant ses baisers jusqu’à ses même attributs avec lesquels sa langue jouait au plus vertueux des jeux. Il savait comment faire frémir une femme avant même l’acte final et il venait de le faire.

La chanteuse frémissait de plaisir. Roberto pouvait le sentir, le voir. L’entendre. Elle tremblait de plaisir alors que le beau mâle vint remonter jusqu’à ses lèvres. Il osait tout. Il n’était pas manipulable, il jouait simplement la comédie du mec qui était tombé sous le charme. Après tout, pour une partie de jambe en l’air, un homme serait prêt à tout non ? Arriver au niveau des lèvres, il croqua en plein dedans. Un croc doux et indolore, qui avait seulement pour but d’exciter un peu plus la chanteuse. Tout cela accompagner d’un léger coup de bassin, et le tour était jouer. Les deux étaient encore habiller et pourtant, les coups de bassin du brésilien au garde a vous faisait des ravages. Après lui avoir mordue la lèvre, il recommença a l’embrasser tout en revenant à leurs position initial. Elle était donc sur lui alors que leurs deux bassins étaient collés. Dacosta commença à enlever sa ceinture mais s’arrêta pour attraper la jeune femme par les cheveux. Continuant à l’embrasser, il la tirait doucement par les cheveux histoire que le plaisir et l’adrénaline fusionne. Son autre main ne cessait de parcourir son corps. Partant du coup, elle descendit doucement vers son bassin et commença à caresser quelque peu la culotte de la jeune chanteuse. Il venait de lui faire ce qu’elle voulait qu’on lui fasse pour qu’elle ensuite, lui fasse la même chose. Sa main continua ses caresse, s’attela même à entrer à l’intérieur. Tout était permis ce soir et en bon manipulateur, Roberto n’allait pas se gêner. Il attendait que la jeune femme se décide à lui faire plaisir à son tour en lui enlevant ce qu’il lui reste d’habit pour pouvoir enfin entamer les choses sérieuses alors que leurs deux bouches ne faisait plus qu’un dans la fougue qui les avaient envahi.
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MessageSujet: Re: /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta]   /!\ HOT - No light without shadows [PV Roberto DaCosta] Icon_minitimeMar 21 Aoû - 23:03


Sûre de mener le jeu jusque là, la jeune femme se laisse surprendre par la douceur du baiser qui contraste en tout point avec la violence de leur rencontre. Mais elle n'est pas dupe pour autant. Nul doute qu'il sait parfaitement ce qu'il fait et qu'il ne vient pas de lui donner raison pour ses beaux yeux. Enfin, pas que pour ses beaux yeux. Le contact de ses boucles blondes dans son dos mêlé au doigt du business man dans sa chevelure la fait frissonner, provoquant un nouveau rapprochement de leur corps si cela était encore possible. Les mouvements doux, presque tendres achèvent ses dernières résistances. N'importe qui serait bien stupide d'oublier que sous la femme froide et manipulatrice se trouvait avant tout une fille désespéremment seule et qui ne demandait rien d'autre qu'un simulacre d'attention et d'amour -l'amour physique réussissant la plupart du temps à lui faire boulier sa désespérante solitude. Mais pas question d'avoir l'air de se jeter à corps perdu dans ce brusque rapprochement. Jouant sur une fausse réserve, elle fait mine de lutter contre ses baisers appuyés alors qu'elle n'oppose aucune résistance quand le bout de lingerie tombe sur ses cuisses. Un jeu dangereux de contradiction s'anime en elle, se laisser aller ou tenter de reprendre le dessus. Mais puisque pour l'instant il semble décider à vouloir prendre les choses en main, autant voir ce qui l'attendait et où cette délicatesse retrouvée allait l'emmener.

Allongée sur le dos dans le sofa, elle passe ses mains dans les cheveux de son amant potentiel avant de les glisser dans son cou pour à son tour, appuyer plus fortement ses lèvres contre les siennes et approfondir un baiser qu'elle aimerait plus impulsif. Malheureusement, elle n'a pas les commandes de l'esprit de l'homme qui la surplombe mais peut-être qu'en fin de compte, c'est bien ce qui lui donne tellement envie de franchir le pas. Au premier contact des lèvres chaudes de Dacosta sur une parcelle de son corps autre que celle de sa bouche, elle se contente de frissonner en fermant les yeux. Mais les choses se corsant, elle ne peut retenir quelques gémissements étouffés alors qu'elle passe ses mains sur ses épaules larges, ne sachant si elle préférait les pousser plus bas ou le ramener à ses lèvres pour lui voler un baiser. Et à sa grande surprise, elle n'aura même pas à faire de choix puisqu'il quitte sa poitrine pour mordre sa lèvre inférieure. Le geste n'est pas blessant, au contraire, il joue sur un parfait mélange de violence et de douceur, arrachant un nouveau soupir à la belle blonde. Il ne faisait aucun doute que l'excitation était réciproque à en croire leurs deux bassins qui refusaient obstinément de se décoller même quand elle bascula à nouveau au dessus de lui. Et quoiqu'il en dise, même si il gardait le contrôle de la situation pour le moment, il devait bien reconnaître que la blondinette était loin de le laisser indifférent et que même si elle ne l'avait pas envoûté par ses cordes vocales, son charme naturel avait tout aussi bien fait l'affaire pour le mettre dans de bonnes conditions. Et on pouvait très franchement douter que Dacosta se soit contenté d'une fille qui ne lui plaisait pas pour partager ce genre de moment intime. Pris dans une passion commune, les deux mutantes redeviennent pour un temps, peut-être quelques heures, un homme et une femme dans leur nature la plus primitive.

Alors que la main de l'homme s'aventure dans un terrain autrement plus dangereux, elle se détache légèrement de ses lèvres avant d'étouffer un nouveau soupir dans un baiser plus passionné que les précédents. Ses doigts toujours perdus dans la chevelure brune s'en détachent pour suivre la direction des derniers remparts séparant les deux corps motivés par une seule et même envie. Un nouveau combat s'opère entre eux mais qui heureusement ne joue avec la vie ni de l'un, ni de l'autre. A son tour, elle glisse sa main gracile contre la chaire palpitante qui gonfle encore entre ses doigts. Les rythmes s'alternent, d'un mouvement rapide et appuyé à un geste lent et caressant, roulant de sa naissance à son extrémité. Cependant, elle veille toujours à ne pas dépasser un certain stade d'excitation, ne souhaitant pas écourter un jeu qui commence si bien. C'est au tour des lèvres palpitantes de la jeune femme de s'aventurer pour venir caresser le cou de Dacosta, remontant lentement jusqu'au lobe de son oreille, le mordillant un peu sans cesser le travail de ses mains expertes.
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