La chasse est ouverte (Libre)

Sujet: La chasse est ouverte (Libre) Ven 23 Aoû - 17:01

Rare était les nuits ou Médérick ne dormait pas. Parfois, il lui arrivait d'avoir envie de voir le sang couller. Quand sa rage atteignait l'appogé tant attendu, l'être méchant et vorace sortait en lui. Attaquer, traquer et tuer des gens et ce, dans le seul but de laisser passer sa rage. Il adorait utiliser ses pouvoirs à des fins personnel, dans le but de détruire. Sous ses aires d'homme sage et respectueux se cachait la bête qui ne demandait que sa liberté. Cette nuit, elle avait pris le dessus, cette nuit le mutant allait faire couller un bain de sang.

Se dirigeant dans les ruelles de la ville, il s'amusait à noyer les clauchards. Il aimait aussi les poignarder, le corps à corps étaient plaisant, mais lorsqu'il en devenait trop dangeureux pour lui, il laissait tomber les règle de loyauter en combat singulier et utilisait ses pouvoirs. La mort n'était pas un cadeau qu'il avait envie de recevoir, mais qu'il adorait offrir.

Il lui arrivait parfois de tomber sur des mutants et lorsque se faisant, il risquait sa peau, mais jamais il n'abandonnerait un combat. Même s'il s'agissait du mutant le plus puissant. L'orgueil de L'homme était beaucoup trop grand pour qu'il n'accepte la défaite. Perdu dans ses pensées, il en sortit rapidement lorqu'il reçu droit sur la colone vertébrale un coup. L'homme se rétourna la rage au visage. Personne ne l'attaquait de dos.

-Tu viens de signer ton arrêt de mort, espèce de petit con.

Par chance pour Médérick qui n'avait pas envie de devoir se concentrer sur l'eau se trouvant dans le corps de l'autre. Malheureusement, lorsqu'il faisait ça souvent il tombait dans l'inconscience. Une flaque d'eau se trouvait à quelques mêtres de lui. Il fut un peu surpris lorsqu'une boulle de feu se dirigea droit sur lui, il leva la main et un mur d'eau le protégea tel un bouclier. Puis d'un autre geste de main envoya une rafale d'eau assez puissante à fin que l'autre homme soit propulser contre le mur de brique qui se trouvait à gauche. La ruelle n'était pas très large et l'autre homme tomba rapidement dans les pommes. Médérick s'approcha de lui et lui mentionna avant de le poignarder en plein coeur.

-Tu n'aurais pas du jouer avec moi. La prochaine fois choisis bien ton adversaire. Ha suis-je bête, il n'y aura pas de prochaine fois. MEURT!

L'homme reprit sa route, attendant de trouver une autre victime à poignarder. L'envie de voir le sang était très forte en lui se soir, pour ne pas dire vital.

Sujet: Re: La chasse est ouverte (Libre) Sam 24 Aoû - 4:08

C'était la panique en elle, et bien plus que ça. Helena pouvait le sentir, en elle, tout au fond de son coeur, de son âme, que son frère n'était pas bien. Ce fameux lien qui uni les jumeaux sans doute, cette inexplicable chose que même les scientifiques n'arrivaient pas à expliquer. Le lien qui unissait la mutante à son frère étaient bien plus fort que quoi que ce soit. Si fort, que la peur grondait en elle, comme le tonnerre gronde après les éclairs. C'est sans doute pourquoi la jeune femme courrait dans les rues de la ville, cherchant sans savoir où, comme si elle suivait un chemin qu'elle avait déjà traversé. Elle avait quitté sans y penser, guidé par la ferme conviction que quelque chose n'allait pas. Médérick n'était plus dans l'appartement, lui qui ne la quittait que rarement. Pourquoi la nuit ? Pourquoi ce soir ? Helena n'avait que faire des raisons qui poussaient son frère à la quitter, elle avait besoin de lui, plus encore que son corps n'avait besoin de sang.

Seulement vêtu d'un jean et d'un t-shirt, la dangereuse mutante n'avait pas prit le soin de recouvrir le reste de son corps, n'ayant que faire des morts potentiels, tant qu'elle retrouverait son précieux ami. Rapidement, ses pas la menèrent vers un cadavre qui l'horrifia. Elle porta une main à ses lèvres, le visage inquiet, le coeur battant. Cette sensation qui l'avait envahi ne l'avait pas trompée. Quelque chose clochait chez son frère. Autour du cadavre gisait une petit flaque d'eau, preuve que le liquide était sans aucun doute responsable de la mort du pauvre homme. Helena resta un instant sans bouger, incapable de savoir ce qu'elle devait faire. Pourquoi ? Qu'était-il donc arrivé ?

Sur ses questionnements, la jeune femme continua son chemin, décidé à arrêter son jumeau. Quelques rues la séparaient encore de l'aquakinésiste. Elle le rejoint rapidement, pour y trouver un homme au visage si sombre, qu'elle en eu peur.

- Érick !!

Cria-t-elle affolé.

- Mais qu'est-ce qui te prend ? J'ai... j'ai trouvé un ... cadavre plus loin et ....

Elle cessa de parler, comprenant bien qu'elle ne serait pas écouté. Il y avait quelque chose en cet homme qu'elle ne reconnaissait pas. Il n'était pas son frère, du moins pas celui qu'elle connaissait. Depuis toujours, Helena avait sentit ses démons grandir, croître en lui d'une manière qu'elle ne comprenait que trop bien. Mais le voir ainsi, le visage si glacial, cruel... Quelque chose de plus fort que la douleur grugeait le coeur de son aimé, et cela atteint le sien.

La mutante fit un pas vers son frère, tendant la main comme pour le toucher, mais elle se ravisa. Bien qu'il fut le seul être à pouvoir survivre à son poison, Helena comprit qu'elle ne devait pas le toucher. Elle abaissa donc la main, impuissante, et lui souffla d'une voix trop peu sécure:

- Frérot... ?

La douleur continuait à ronger ce mal intérieur. Toute la magie du monde n'aurait su rammener l'homme à la réalité. PErdu dans ses propres pensées, c'était comme s'il ne contrôlait plus rien, mais il était pourtant bien la, il agissait sans savoir. Sentant la rage qui prenait possession de ses mains, de sa vie, de son pouvoir. Il était prêt à tuer n'importe qui essairait de barrer sa route, même sa douce moitier, Helena. Son regard se posa sur sa soeur, une rafale de souvenir commença à hanter son cerveau, malheureusement trop faible pour changer quoi que se soit à la situation.

Toute la rage des années passé qu'il n'avait pas pu exprimer, toute ses douleurs enseuvlis au fond de lui. Il avait du rester fort et penser à tout. Pour être certains que lui et Helena puisse vivre le plus normalement possible.

-Toute ses années ou j'aurais du utiliser mon pouvoir pour prendre le contrôle.

Avait-il murmurer. Aujourd'Hui tout allait changer, aujourd'hui il allait semée le trouble dans toute la ville. Traquant et tuant tout ceux qui voudront barrer sa route. Ce soir, il ferait couller un vrai bain de sang public. Quelle idée de fou, il savait, mais pourtant elle lui tantait tout de même et de toute évidence il était bien partit pour celà. Un moment de luciditer eu tout de même raison de lui et il tomba en genou se tenant la tête, comme s'il avait en lui un démon qui ne voulait plus sortir.

-Haaaaa, haaaa. Quitter ma tête espèce de monstre.

Avait-il hruler avant de redevenir l'être méchant, imprudent et violent qu'il n'avait pas l'habitude d'être. Une voix murmurant dans sa tête lui disait d'attaquer sa soeur

-Helena, pars d'ici ou je vais te tuer.

Flashback Avril 1957

Médérick parcourait les rues de la ville à la recherche de sa soeur. Pourquoi avait-elle fugué? Quelle raison avait-elle eu de partir si loin. Connaissant bien sa soeur, il savait bien qu'un évènement terriblement grave avait du se passer. Une chose certaine, il était la pour elle et il la retrouverait. C'est assis sur le sol dans une rue entrain de pleurer qu'il l'a trouva.

-Helena, n'ai pas peur. Peu importe ce qui c'est passé. Je serai toujours la pour toi. Je t'aime ma soeur, rien ne pourra jamais nous séparé.

Pourquoi ce moment précis, pourquoi ce souvenir? L'homme ne comprenait plus rien. Il était bien la, présent, mais ne contrôlait aucunement ses fais et gestes. La seule certitude, il avait en lui un être qu'il ne connaissait pas, un être qu'il ne voulait pas connaître. Le monstre de son enfance peut-être. Qoi qu'il en soit, il n'avait d'autre choix que d'obéire à ses impulsions.

Soudainement, un homme passa par la. Avant même qu'il n'ai le temps de règler le problème de sa soeur, il sauta sur l'homme dégaina son poignard et le poignarda à plussieurs reprise dans le coeur. Se faisant il avait lâcher au même moment un rire des plus sataniques. Il se tourna vers sa soeur pour la suite. Levant la main il s'amusa à détruire, envoyant une rafale d'eau, sur tout ce qu'il était possible de voir. Les poubelles, les chaises et tables. Malheureusement un petit chat qui passait par la perdit aussi la vie.

Continuant d'approcher de sa soeur, son couteau bien en main, un large sourir au visage. Il arrivait à voir les images du massacres dans sa tête, il voyait le corps de sa soeur inerte, morte sur le sol. D'ou venait ses images, comment pouvait-il imaginer une chose aussi terrible. Il en était maintenant sur, quelqu'un usait de son mental. Un mutant surement très puissant pour le contrôler et le forcer à faire des meutres. Médérick posa le regard sur sa soeur et un petit, désolé se fit entendre avant qu'il ne pose son regard au ciel et retourne le poignard contre lui. Il ne voulait plus être méchant, ce soir il avait tué assez de gens. Malheureusement se moment du lucidité disparu. L'aquakinésiste, sentait par contre que l'autre mutant s'affaiblissait. Les moments de lucidité était beaucoup plus claire, mais malheureusement il n'avait toujours pas pris le dessus.

-Aide moi avait-il dit à sa soeur.

Puis, après ces paroles plein d'espoir il leva les mains et envoya des jets d'eau très puissant en direction de sa soeur. L'homme s'attendait à ce qu'elle les évites. Médérick ferma les yeux et attendit quelques secondes avant de les réouvrir. Il avait peur de ce qu'il venait de faire et souhaitait plus que tout au monde ne pas avoir touché sa soeur.

Sujet: Re: La chasse est ouverte (Libre) Dim 25 Aoû - 5:13

Helena était bien plus forte qu'elle n'y paraissait. Son corps, longtemps fragilisé par son absence de contact avec le monde, fini par trouver la résistance en de nombreux entraînements tout au long des dernières années. Combat de rues, technique d'auto-défense, de certains arts martiaux. Sans être une machine à tuer, la mutante était très aisée en combat au corps à corps, et ses techniques n'étaient plus à sous-estimer. Souvent, elle s'était vue défiée au sein de la confrérie, n'hésitant jamais pour offrir une petite raclée bien méritée à ses confrères machos.

Pourtant, son agilité surprenante et ses réflexes décuplés par les nombreuses séances à la gym ne lui vinrent pas en aide au moment de la rafale de son frère. Helena ne comprit pas d'où l'eau venait, et même si elle aurait pu éviter le pire, elle resta figée ainsi, horrifiée par les paroles de Médérick. Impuissante, elle assista à la scène le coeur transpercé d'une brûlante lame. Son corps fut projeté contre la vitrine d'une boutique, éclatant le verre autour d'elle, tranchant sa fine peau qu'elle n'avait prit le temps de couvrir.

Se relevant difficilement dans le mélange d'éclats de verre et d'eau, la jumelle regarda son frère, le visage déformé par l'incompréhension, cette absence de réponse qui lui pesait lourd. Au fond de son regard cerné de noir, on y lisait la terreur, une peur sans nom, mais surtout, une douleur qui ne lui semblait pas soutenable.

- Érick !! Non !

Elle tendit une main devant-elle, suppliante, titubant en tentant de se remettre debout malgré le coup qui l'avait sonnée. La tête vrombissante, le crâne douloureux, Helena ne remarqua pas le sang qui lui coulait sur les jambes ni ces larges bouts de la vitrine qui étaient toujours plantés dans son dos. Toute son attention était dirigée vers sa seule famille, l'unique raison de sa vie maudite.

- Qu'est-ce que tu fais ?

Cria-t-elle, impuissante, les larmes perlant à ses yeux sans avoir le courage de les quitter.

- Qu'est-ce qui se passe ? J-Je comprends pas, mon amour. Parles-moi !

Helena faillit tomber en descendant de la vitrine, s'accrochant à la bordure où elle trancha la peau douce de sa paume. Elle fit un pas vers son frère, affaiblit par la puissance du jet qu'il avait dirigé vers elle, et par l'impact violent qui lui avait laissé un mal de tête vrillant. Son visage inquiet s'accrocha à celui de son jumeau, ses prunelles noisettes perchés aux siennes. Elle le questionna du regard, cherchant des réponses en autre chose que les mots simples.

Faisant quelques pas vers lui, elle cru perdre pied, mais son corps la supporta malgré tout. Elle parvint à lui, posant une main contre sa joue, la caressant, tandis que ses autres doigts s'accrochaient au col de la chemise de son frère, de peur de tomber.

- Médérick...

Il voyait sa soeur, mais sans pour autant l'aider. Le monstre qu'elle devait vaincre se trouvait au dela des limites de l'âme et du corps de Médérick. Il n'avait plus le contrôle sur rien. Il sentait l'amertume, la méchanceté et la rage se nourir au sain de lui et devaitn absolument faire quelque chose. Malheureusement, il devait poser toute espoire sur sa soeur, lui, il ne pourrait simplement rien faire. Quelques secondes seulement après qu'Helena se soit accrocher à lui, l'homme la poussait sur le sol.

-Tu n'as pas encore compris que tu allais mourir, petite saute. Cette date marque l'anniversaire de ta mort, tu ne survivras pas à ma prochaine attaque, je vais te détruire et plus jamais n'aurai l'impression de traîner un boulon comme toi. Depuis toujours tu t'es accroché à moi, nétant pas capable de survivre par tes propres moyens. Parle moi d'une chose bien que tu ai déjà fait, par ce que moi j'y pense et je ne vois rien. Je ne veux plus de toi dans ma vie et la seule façon c'est de te tuer bien sur.

Avant de lancer ce qu'il croyait être sa dernière attaque, il savoura les derniers moments ou il pouvait regarder sa soeur droit dans les yeux. Savourer le moment ou la douleur, la peur et le dernier reguin d'espoir dans l'oeil de l'être que l'on s'apprête à tuer. Connaissant sa soeur, il savait bien que son coeur l'empêchait de renoncer, mais peu importe celui de Médérick était enfermer sous une montagne de glace, il en prenait même plaisir.

-Tu sais Helena, je ne pensais jamais prendre tant plaisir à tuer quelqu'un. Surtout pas le même sang que moi, mais l'effet est , vivifiant. Peut-être irais-je tuer nos parents par la suite, qui sait. Tu devrais cesser de pleurer, car pour moi tes larmes deviennent des armes. Bon peu importe, bonne mort.

Médérick concentra son pouvoir et réussis par se fait même a prendre possession de tous l'eau qui parcourait les tuyau des immeubles près d'eux. D'un légé coup de main, l'eau ce liquide puissant, détruiti les mur de brique et se propulsa sur la jeune femme, entraînant avec lui une multitude de débrits, tel que de la brique, du bois. Quelle chance pour la jeune femme qu'il n'y avait à cet endroit aucun réseau électrique.

Médérick lâcha un petit Adieu avant de définitivement quitter l'endroit et continuant de se diriger dans la direction ou sin instinc lui disait d'aller. Il avait toujours cette envie cruelle de tuer, tuer et encore tuer. Donner la mort à tout le monde, détruire toute la ville. Quelques petitsm plans tranquil pour la soirée qui était encore si jeune.

Sujet: Re: La chasse est ouverte (Libre)