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 — Joyce M. Mayers ; « homo superior »

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— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeMer 28 Mai - 1:14


JOYCE M. MAYERS
FEAT ALISSA GERAGHTY


— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Mini_5960530fYFyQv

Prénom : Joyce.
Second Prénom : Meryl.
Nom de famille : Mayers.
Nom Mutant : Mess.
Date de Naissance : 11 juin 1949 ; 24 printemps.
Lieu de Naissance : Paris, France.
Origines : mère française ; père américain.
Nationalité : française ; américaine.
Cheveux : châtains.
Yeux : bleus.
Taille : un mètre soixante douze (1m72)
Pouvoir(s) : choc mental.
Étude(s) : droit & sciences politiques.
Métier : étudiante ; bibliothécaire.
Lieu de résidence : New York.
Statut Social : célibataire.
Orientation Sexuelle : hétérosexuelle.
Groupe : mutante égarée.



QUI JE SUIS ?


« Plus vite. Plus vite.
Boule au ventre, respiration haletante. La peur & l'adrénaline s'écoulaient dans ses veines bouillantes. Elle sentait la pulsation de son coeur jusqu'à ses tempes. Un pied devant l'autre, à une vitesse rapide. Elle ne pouvait cependant pas courir. Trop de monde dans les rues à cette heure. C'était le meilleur moyen de déclencher une collision avec un passant, & de finir au sol. D'être statique, déboussolée & rattrapée.
Les rues de New York étaient toujours bondées le samedi. La foule se mouvait dans les avenues, dans les boutiques et cafés. C'était une danse perpétuelle. Une vague humaine. Un tsunami, même.
Il faisait beau, ce qui poussait les gens à prendre l'air. A sentir le soleil caresser leur peau, à voir le bleu des cieux, à profiter des terrasses, en somme. Cette journée printanière était d'une grande beauté. Etincelante, pour ainsi dire. Les nuages voguaient dans un ciel imprenable. Ils étaient d'un blanc pur et cotonneux qui donnait envie de s'y fondre.
Poussez-vous. Poussez-vous, à la fin !
Le brouhaha était incessant, comme toujours. New York était synonyme de bruit. Elle appréciait le bruit, habituellement. C'était une sorte de mélodie, un fond sonore qui tuait le silence. & Dieu sait que le silence, elle le détestait. Ces voix lointaines formant un bourdonnement, les cris des klaxonnes, les moteurs des taxis et des bus, les pas qui résonnent sur le bitume. Tout cela avait quelque chose de rassurant. Tout cela rendait la ville vivante. C'était son battement de cœur, son âme.
Merde, merde.
La jeune femme jeta un coup d'œil au dessus de son épaule.
Toujours là.
Elle se faufila entre une mère & sa fille, passa près d'une vieille femme & failli bousculer un enfant. Mais malgré ses stratagèmes, l'homme était toujours là, à la suivre.
Inlassablement.
C'était à ne rien y comprendre. Il s'était trouvé dans sa rame de métro, adossé contre la porte automatique, face à elle. Pendant tout le trajet, il ne l'avait pas quitté des yeux. Joyce — c'était son nom – se sentait oppressée, mal à l'aise & révoltée par autant d'impolitesse. Elle avait l'impression d'être une pièce de viande sur l'étale d'un boucher. Pourquoi l'avait-il regardé de cette façon ? Pourquoi tant d'insistance ? La jeune Mayers l'avait alors fixé droit dans les yeux avec colère & provocation, comme pour lui dire qu’elle n’avait pas peur. Mais cela n'avait en aucun cas eu l'effet escompté. Il avait continuer à l'observer sans faillir. & Joyce ressentit le malaise prendre ses tripes. Par chance, la prochaine station signait sa descente de cette situation dérangeante. Elle voyait son calvaire prendre fin. Mais ses suppositions s'évanouirent rapidement.
Lâche moi ! Bordel, lâche-moi !
L'homme la suivait & ne semblait pas s'en cacher. & elle n'arrivait pas à le semer malgré la foule. Ce qu'elle n'arrivait pas à comprendre. Quoiqu'elle fasse, il était toujours là, comme s'il anticipait ses mouvements. Il suivait sa cadence tout en lui laissant un peu d'avance. Joyce était à bout de nerf. La panique lui bouffait le coeur, lui grignotait l'estomac. Qu'est-ce qu'il voulait ? Elle avait peur de le savoir. Le type en question était grand, fin. Son visage était dur & dégageait une froideur impressionnante. Ses cheveux étaient noir de jais & tombaient sur ses larges épaules. Il semblait déterminé, ce qui avait le don de provoquer des frissons désagréables dans les membres de la jeune femme. Joyce avait la terrible sensation d’être une proie qu’on traque. Joyce continuait de se faufiler dans la foule, zigzaguant entre les passants. Elle devait tenir la distance jusqu’à la bibliothèque où elle travaillait. Elle y était presque.
Nouveau coup d’œil.
Bien sûr, il était encore là, à la suivre. Elle avait la gorge nouée, l’estomac compressé. Elle n’avait aucune issue.
Aucune.
Elle était coincée dans les rues de New York.
Quelle ironie, quelle absurdité.
Joyce prit la rue qui se dressait à sa droite, sans daigner se retourner. A quoi bon ? Il était là. Elle avait l’impression de le sentir. Ses battements de cœur & l’adrénaline qui possédaient ses veines lui confirmaient sa présence. L’instinct. C’est cette merveille qui vous alarme d’un danger. & cette alarme hurlait dans sa tête. Toute personne normalement constituée n’aurait pas pris cette rue. Elle était plus étroite que l’avenue sur laquelle elle circulait quelques secondes auparavant. & moins fréquentée, surtout. Il y avait beaucoup moins de passages mais elle n’était pas seule non plus. Ce qui la dérangea. Elle aurait préféré tomber sur une ruelle désertée. La jeune femme à la tignasse châtain arrêta sa course. Elle prit une forte inspiration pour se calmer, & prendre son courage à deux mains. Joyce était un être téméraire & parfois irréfléchi. En l’espèce, elle confirmait ces traits de caractère. Toute personne normale & censée aurait continuer sa route sur la grande avenue. Mais Joyce n’était pas toujours un être censé.
Elle était encore moins normale.

Joyce se retourna alors vers son traqueur, car c’est ce qu’il était. Il avait d’ailleurs cessé sa course, lui aussi & restait face à elle. Il avait veillé à conserver une certaine distance. Quelques mètres la séparaient de lui. De précieux mètres qui la sauvegardait d’une agression. & il la fixait de la même manière.
La colère fulminait dans son fort intérieur, glissait dans ses membres. Pour qui se prenait-il, ce con ? Un sourire se dessina alors sur ses lèvres fines. Elle ne sut en déterminer le sens. Joie, provocation, sadisme ? La seule chose dont elle était persuadée était que c’en était trop pour elle. Joyce n’avait jamais été doté de patience. C’était un terme qui lui était totalement étranger. Son visage était crispé par la rage. Plus aucune trace d’espièglerie ou de bonne humeur. Juste une colère sans limite & une désinvolture sans faille. La jeune femme s’avança vers ce qui lui semblait être son agresseur. Mais il était hors de question qu’il la touche. Elle prenait donc les devants & se trouva à moins d ‘un mètre de lui. Etonnement, il n’avait point bougé. Joyce le toisa tout en fronçant les sourcils. Ses mains attrapèrent le cuir de sa veste avec vigueur. « Qu’est-ce que tu me veux, sale connard ?! Hein, tu veux quoi à la fin ! », pestiféra-t-elle. Pour unique réponse, elle eut un sourire amusé. Mais la jeune femme ne se laissa pas démontée pour autant. Elle n’avait pas l’intention de laisser jouer ce type avec elle. Joyce le poussa alors aussi violemment qu’elle le pu. L’homme fut déstabilisé & recula de quelques pas en tentant de reprendre son équilibre. L’altercation attisa la curiosité de quelques personnes proches des deux protagonistes. L’homme fronça alors les sourcils. « Calme-toi, petite », souffla-t-il.
Les prunelles claires de l’interpellée s’écarquillèrent. Elle ne comprenait pas le comportement de cet homme. Mais il semblait se jouer d’elle & ce, d’une manière détestable. Elle sentait le ton provocateur. Elle s’approcha de nouveau de lui avant de le pousser une fois de plus. « Laisse-moi tranquille ! Arrête de me suivre ! », hurla-t-elle, à bout de nerf. Comme s’il allait l’écouter. Le brun semblait perdre patience. Son jeu prenait fin. Il fit un pas vers elle avant de lui attraper le bras avec force. Joyce grimaça de douleur tout en soutenant le regard de son agresseur.
Elle entendit une voix de femme les interpeler mais n’y prêta aucune attention. Elle était concentré sur son assaillant. & alors qu’il ouvrait la bouche, s’apprêtant à parler, son regard fut traverser par une lueur nouvelle. Il semblait désormais perdu.
Plongé dans une confusion totale.
Ses doigts relâchèrent sa prise. Joyce recula instinctivement d’un pas. L’homme, quant à lui, posa ses yeux sur elle & semblait ne pas comprendre les raisons de sa présence dans cette rue. Joyce aurait pu s’arrêter là. Elle était cependant trop énervée pour jouer la carte de la raison. Les mains de l’homme agrippèrent alors son propre crane tandis qu’un gémissement de douleur caressait ses lèvres avant de s’évanouir dans l’air. Joyce forçait sur sa concentration, dans le but de le faire souffrir le plus possible. Elle savait ce qu’il se passait. Savait la migraine qui prenait possession du cerveau de cet homme brun. Elle faisait glisser la douleur, le choc dans le crane de son traqueur. Elle se délectait de le voir tomber à genoux. Souffre. Souffre.
Un cri la ramena brutalement à la réalité. Elle était submergée par la colère & en avait oublié son entourage. C’est ainsi qu’elle réalisa que trois personnes la fixait avec une peur tangible. Ils étaient choqués, terrorisés. Ils ne comprenaient pas ce qu’il venait de se passer. Joyce, elle, savait.
L’homme était à ses pieds, recroquevillés. Les trois passants avaient été témoin de la scène & ne comprenaient pas comment il s’était retrouvé dans cet état sans que la demoiselle ne le touche. Un des passants fixait Joyce avec un air réprobateur et emplit de haine. Comme s’il savait.
Comme s’il se doutait.
Elle n’était pas humaine.

Joyce eut un sursaut de panique et tourna les talons.
Elle voulait fuir cet endroit où elle venait de se découvrir. De montrer sa vraie nature.
Ce don, si cela pouvait être ainsi qualifié.
Joyce n’avait rien contre lui mais évitait de s’en servir, du fait de ses effets néfastes. En cet instant, elle se sentait aussi confuse & perdu. Quelle ironie.
Cette vie est décidément d’une ironie incroyable. Elle ne comprenait pas pourquoi ce type l’avait suivi & était complètement déboussolée. Ces gens avaient tout vu. Allaient-ils deviner ? Ce passant, avait-il compris ?
Des milliers de questions voguaient dans son cerveau & aucune ne trouvait de réponse. Sans s’en rendre compte, Joyce était entrée dans la bibliothèque où elle travaillait. La voix de son patron – Sam – lui fit prendre conscience de sa situation. « Tu es en retard, Joyce ! Tu veux bien ranger les livres qui sont là ? ». Ses prunelles se posèrent sur la table que lui montrait son supérieur. Un tas de livres laissés à l’abandon. « Les jeunes sont vraiment irrespectueux parfois. Ce garçon a tout laissé en plan avant de détalé vers la sortie ! ». Joyce ne préféra pas répondre. Sam était un être bougon persuadé que la jeunesse n’était que décadence. Elle attrapa les livres un à un. Par curiosité, elle s’attarda sur le livre laissé ouvert. L'arrivée de l'espèce mutante, dans n'importe quelle région, a été immédiatement suivie par l'extinction de la branche la moins… « évoluée ».
« Tu as dit quelque chose, Joyce ?
— Non »
Joyce posa alors les livres qu’elle tenait en main afin de prendre celui dont été extraite cette phrase. Elle fut envahit par une étrange sensation ; un mélange d’excitation & d’appréhension. « Charles Xavier », murmura-t-elle.
Il y en a d’autres.




QUESTIONNAIRE


♣️ Le(s) pouvoir(s) en détail(s) : choc mental — « Ca y est, tu commences à le ressentir. Ce moment étrange. Tu n'es plus stable, ton esprit n'est plus stable. Tu te sens perdu, ailleurs, confus. Tu ne comprends plus, tu ne comprends pas. Tu perds tes facultés, tu ne peux plus réfléchir. D'ailleurs, sais-tu vraiment où tu te trouves ? Non. Tu as beau regarder autour de toi, connaitre cet endroit par coeur, tu n'arrives plus à te visualiser, à prendre conscience de ce qui t'entoure. C'est désagréable, n'est-ce pas ? De ne plus savoir ce que tu fous ici. Cette confusion qui t'agrippe le cerveau. C'est le désordre. Le bordel. & encore, tu n'as rien vu. & maintenant ? Ah, maintenant, tu fais moins le malin. Ca te fait mal, pas vrai ? Cette migraine qui te possède, cette douleur lancinante & aiguë qui raisonne dans ton crâne. Vas y, vas y, serre ta tête entre tes paumes, ça ne changera rien. Le malaise ne partira pas, la souffrance va te coller aux basques encore un peu. Profites en. La migraine prend de l'ampleur, te laisse aucun répit. Tu douilles, tu tombes à genoux. Tu supplies, tu cris. Oublie pas de respirer. Tu n'en peux plus. C'est à te rendre dingue. Ca te fait tourner de l'oeil, c'est insupportable. Allez, tiens encore un peu. Depuis combien de temps ressens-tu cette douleur ? Tu as l'impression que ça fait des lustres que cette migraine se balade dans ta tête, alors que ça ne fait en réalité qu'une minute. Juste soixante secondes. Le choc prend ses aises dans ton cerveau. & tu succombes. Tu t'étales sur le sol, ton cerveau en veille, noyé dans un coma »
♣️ Caractéristiques de mutants : /
♣️ Trois principales qualités : loyale ; attentive ; déterminée.
♣️ Trois principaux défauts : impulsive ; désinvolte ; rancunière.
♣️ Signe(s) physique(s) particulier(s) : cicatrice au bas du ventre — côté droit — du fait d'une opération chirurgicale (appendicite).
♣️ Autres signes particuliers : fan des Beatles ; déteste les tomates.



DERRIÈRE L'ÉCRAN


♣️ Prénom et/ou Pseudo : Jennou.
♣️ Ton Âge : 21 ans.
♣️ Où vis-tu : France.
♣️ Comment as-tu connu le forum : Google est mon ami !
♣️ Pourquoi tu t'es inscrit : Ca fait des lustres que j'ai envie de reprendre l'écriture et l'univers de ce forum me branche vraiment !
♣️ Es-tu vraiment motivé à jouer sur ce forum : WOUAIS  — Joyce M. Mayers ; « homo superior » 3476264577 
♣️ Jours par semaine de présence : 5/7.
♣️ As-tu lu et signé le règlement : Lu, approuvé (ouais bon pas le choix, ah !) & signé.
♣️ Un mot pour la fin ? : HODOR !
♣️ Dernière chose ! Votre personnage est : inventé.



— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon10




Dernière édition par Joyce M. Mayers le Jeu 29 Mai - 3:11, édité 9 fois
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Neal Mathesson
Neal Mathesson

Agent de la CIA

— Joyce M. Mayers ; « homo superior » 5824369dc2cec5733d59be897f103c7dbd188a

▬ Date d'inscription : 22/05/2013
▬ Messages : 316
▬ Crédit(s) : Billie Stevenson (avatar)
▬ Autre(s) compte(s) : Dylan J. Steinberg
▬ Points : 155
▬ Célébrité de l'avatar : Ed Quinn
▬ Âge du personnage : 38 ans
▬ Métier/études : Agent de la branche anti-mutants à la CIA



— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeMer 28 Mai - 2:29


Officiellement bienvenue o/
Courage pour la suite de ta fiche x)
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http://www.xmen-first-class.com/t3476-neal-mathesson-drawing-the http://www.xmen-first-class.com/t3506-carnet-de-neal-mathesson http://www.xmen-first-class.com/t3507-agenda-de-neal-mathesson

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— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeMer 28 Mai - 19:20


Merci  :luv: 
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Rosalee Leicester
Rosalee Leicester


— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Tumblr_nm13peEvGR1skjmhjo1_250

▬ Date d'inscription : 13/10/2013
▬ Messages : 301
▬ Crédit(s) : born to die ( avatar)
▬ Points : 207
▬ Célébrité de l'avatar : Katie Mcgrath
▬ Âge du personnage : 25
▬ Nom Mutant : Frozen
▬ Pouvoir(s) : Cryokinesie
▬ Puissance : 4-5/10



— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeJeu 29 Mai - 16:23


Bienvenue parmi nous  :x004: 
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http://www.xmen-first-class.com/t3478-damaged-people-are-dangero

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— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeVen 30 Mai - 13:28


Merci beaucoup ! :lol: 
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— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeVen 30 Mai - 20:19


Bonsoir et bienvenue sur le forum  :052: Je valide ta fiche, choix de pouvoir très intéressant — Joyce M. Mayers ; « homo superior » 3538566494 Bon jeu  :luv: 
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— Joyce M. Mayers ; « homo superior » Vide
MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitimeVen 30 Mai - 22:54


MERCI !  :016: :025: — Joyce M. Mayers ; « homo superior » 1230933153 :lol: :043: :nié: :foufou: (oui je suis enthousiaste)  :luv: 
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MessageSujet: Re: — Joyce M. Mayers ; « homo superior »   — Joyce M. Mayers ; « homo superior » Icon_minitime


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— Joyce M. Mayers ; « homo superior »

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