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 Quand la chance nous sourit.

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Quand la chance nous sourit. Vide
MessageSujet: Quand la chance nous sourit.   Quand la chance nous sourit. Icon_minitimeLun 26 Mai - 1:13



Il était posté dans la ruelle, dissimulé dans l'ombre surveillant une façade de maison bien précise, attendant que le mutant sorte de là. Ian avait traqué le mutant pendant un moment, l'observant aussi souvent que possible pour percer le secret de sa mutation et ce qu'on pouvait dire c'est qu'un mutant aérokinésite il n'en avait jamais affronté et comme il ne savait pas l'importance de ce pouvoir, il avait décidé de passer rapidement et - discrètement - à l'action, agissant en solo même en sachant que ce n'était pas la meilleure des idées, ils aurait dû prévenir son beau frère mais, l'ex Seal considérait qu'il avait assez de travail avec Viktor pour lui en rajouter une couche avec ce fameux mutant que Ian traquait, après tout il pouvait très bien agir tout seul. La porte s'ouvrit enfin sur le mutant et Ian eut un léger rictus, il allait passer à l'action. Il s'approcha alors doucement de lui une main posé contre le manche de son poignard, il n'avait pas apporté d'arme à feu, préférant la discrétion de l'arme blanche et s'il s'apprêtait à passer à l'action, l'homme de retourna vivement et bloqua toute action de Ian dont le poignet était enserré par la poigne du mutant, probablement un militaire ou tout du moins quelqu'un d'entraîner au combat au corps à corps. Un grognement de douleur s'échappa des lèvres de l'agent du gouvernement lorsque l'homme lui tordît le poignet, l'obligeant à lâcher le poignard, ripostant rapidement il se maudissait de ne pas avoir un peu plus fouillé sur le métier de l'homme. Mais il finit par reprendre rapidement le dessus et à attraper son poignard, s'apprêtant à le lancer, sachant qu'il ne louperait pas sa cible, ce n'était pas un talent, simplement le pouvoir de sa mutation. Mais une nouvelle fois tout ne se passa pas comme prévu, le mutant utilisa son pouvoir pour repousser Ian qui roula sur le sol, permettant à l'homme de s'enfuir en voiture.

L'ex Seal c'était rapidement relevé et était monter dans sa propre voiture, démarrant au quart de tour pour poursuivre le mutant qui venait tout simplement de le ridiculiser. Il c'était fait avoir comme un débutant, n'étant pas assez rapide pour l'éliminer avant qu'il n'utilise son pouvoir, mais maintenant qu'il sillonnait à grande vitesse les rues de la ville, il était bien décider à rattraper ce mutant et à lui dire ce qu'il pensait de tout ça. Mais il fallait croire qu'aujourd'hui la malchance le suivait, comme une ombre malveillante au dessus de lui, lui coupant l'herbe sous les pieds alors qu'il pensait enfin réussir à stopper le mutant, car il l'avait rattrapé, il lui suffisait encore un coup d'accélérateur pour pouvoir être à son niveau, mais ce n'était pas sans compter les passants et précisément une passante qui traversa juste devant Ian. Ses réflexes se réveillèrent instantanément, il freina avec force en tourna le volant sur la droite pour l'éviter, dans un crissement de pneu strident et un bruit sourd lorsque la voiture termina sa course contre un arbre. Un brin sonné par le choc, il reprit doucement ses esprits avant de voir qu'une fumée noire n'annonçant rien de bons sortait du moteur, il blêmît et se détacha rapidement, s'y prenant à deux reprises il finit par ouvrir sa portière et à se jeter au sol à temps avant que les premières flammes ne montre le bout de leur nez et que le moteur explose presque au même moment. Prix d'une quinte de toux, il se recula, toujours au sol et contempla ce qu'il restait de la voiture avant de se rappeler que s'il se retrouvait comme ça c'est parce qu'il avait évité une passante, il porta un regard autour de lui espérant qu'elle s'en était sorti...
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Quand la chance nous sourit. Vide
MessageSujet: Re: Quand la chance nous sourit.   Quand la chance nous sourit. Icon_minitimeDim 29 Juin - 4:10


Ce n'était pas son jour. Depuis les petites heures timides du matin, ça ne l'était pas. En vérité, depuis la veille. Elle s'était contrainte à s'enfermer dans son minuscule appartement, vide de tout, vide d'elle-même, vide d'objets, vide de souvenirs et d'avenir. Son pouvoir s'était déclenché la veille et n'avait pas cessé de la harceler depuis. Elle avait fuit la ville. Elle avait fuit la civilisation pour s'enfermer, quelque part, sur elle-même, loin, aussi loin que possible, s'isolant du monde chaotique dont elle seule était la cause. Elle s'était roulée en boule sur le matelas improvisé qu'elle avait laissé au centre de la pièce sombre. Sombre; l'ampoule venait de lui éclater au-dessus de la tête. Elle avait été contrainte d'entrer par l'escalier de secours après avoir arraché malencontreusement la poignée de sa porte et avoir cassé la clé dans la serrure. En entrant par la fenêtre, elle s'était vu incapable de la refermer, les barres sur lesquelles elle coulissaient normalement s'étant mystérieusement rouillées entre temps. Elle avait passé ça nuit là, à sentir les ressorts de son matelas lui percer les côtes agressivement. La nuit. Le matin. Du moins, jusqu'à sentir son estomac crier famine. Elle s'était résignée à sortir et constatant que tout allait pour le mieux, elle pris la direction du premier café à proximité. Elle rêvait d'un muffin géant plus gros que sa tête et plus savoureux qu'une montagne de gelato coloré. Un coup, son regard fut porté sur un panneau qui l'attira comme une mouche sur une lanterne, l'autre coup, elle avait déjà trois pas d'effectué sur la chaussée. Il n'y avait vraiment que très peu de trafic et en prenant un minimum garde à l'endroit où elle traversait, elle s'était tout de même aventurée sur le bitume quelque peu tête en l'air qu'elle était.

Mais il y avait eu cette voiture monstre fonçant à toute allure qui l'avait évité la première, lui permettant de poursuivre, curieuse, en l'observant s'éloigner, son chemin vers une montagne de sucre et de calories. Elle n'avait pas pensé que, roulant à une vitesse pareille dans ce quartier, il était très probable qu'il soit poursuivit par on ne savait trop quelle forme d'autorité un peu vexé. Il y avait eu le crissement de pneus qui lui écorchèrent l'oreille interne. Elle avait tourné ses traits horrifiés sur le pare-choc dangereusement près d'elle. Elle s'était mentalement préparé à se prendre le métal en pleine gueule. Mais l'homme au volant avait décidément eu plus de bon jugement qu'elle dans ses réactions et avait tout mis en œuvre pour éviter la collision fatale. Elle avait vu le monstre mécanique dévier de sa trajectoire en moins d'une seconde, rouler à vive allure pour emboutir violement un tronc d'arbre beaucoup plus solide que sa propre carcasse qui se froissa instantanément. Elle avait fait quelques pas vers le véhicule, du moins, juste assez pour apercevoir l'homme qui le quittait un peu précipitamment, d'en voir les flammes rapidement avaler les métal et si elle s'était éloignée un peu sur le coup, d'observer la boule de feu engloutir la carcasse dans un boum assez violent.

Elle n'avait pas réfléchit davantage en se glissant rapidement devant l'homme assis sur le bitume, inquiète. Ça avait été un sacré accident et il était miraculeux qu'il semble aller bien. Elle s'était rapidement accroupie près de lui, comme la chose la plus naturelle du monde. Puis, si elle nota les égratignures, lui décrocha un drôle de sourire.

«Tout va bien? Ce fut assez violent. Je suis tellement désolée de m'être trouvé en plein milieu du chemin. Ils ont déjà appelé du secours. Je m'appelle Jodi! »

Elle avait l'impression de raconter tout ça d'un seul bloc, par anxiété, peut-être, ou simplement par insouciance d'elle-même. Ou peut-être parce qu'on lui avait appris qu'il valait mieux toujours parler avec un accidenté...
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Quand la chance nous sourit. Vide
MessageSujet: Re: Quand la chance nous sourit.   Quand la chance nous sourit. Icon_minitimeDim 10 Aoû - 1:17


Il avait fixé les flammes dévorer lentement le métal de sa voiture, il avait légèrement sursauté face au bruit de l’explosion qui le ramenèrent bien malgré lui à la guerre, à ce qu’il avait vécu, au traumatisme de quelques missions qui avaient mal tournées. Et même si le mutant ne le montrait pas forcément, ce qu’il avait vécu au Vietnam l’avait marqué, il en avait jamais parlé, il savait qu’il aurait dût au moins parler des combats à Neal, il savait que ça aurait pût l’aider à ne pas avoir quelques rares cauchemars seul dans son lit… Mais comment dire à son beau frère qui traque les mutants que la mission qui l’as le plus perturbé est celle où un vieil ami à subit une importante transformation mutante ? Et qu’il ne veut pas traquer ce mutant, parce qu’il a une dette envers lui, parce qu’il lui a déjà sauvé la vie et parce que c’était son ami… ? Un mouvement près de lui le reconnecta à la réalité, il tourna son regard vers la jeune femme rousse en face de lui, il nota son expression inquiète et son petit sourire et l’écouta parler, tout simplement. Il n’avait pas tellement besoin des secours, n’ayant pas grands choses malgré l’impact, si je n’ai quelques égratignures et un mal de tête qui commençait à être assez désagréable, mais il ne s’en faisait pas et c’était l’une des rares fois probablement qu’il remerciait cette deuxième mutation, celle de pouvoir guérir plus rapidement qu’une personne normale, il savait que son entaille à l’arcade dont il sentait le sang couler librement allait être bientôt guérit. Et il ne savait pas pourquoi mais il eût un léger rictus à l’écoute de ses excuses, peut-être parce qu’il trouvait ça inconscient d’avoir traversé sans regarder, qu’il aurait très bien pût réagir trop tard pour éviter la rouquine et que des excuses ne changeraient finalement rien à la situation surtout que l’homme qu’il poursuivait était maintenant loin d’ici, probablement décidé à disparaître ou tout du moins à se faire tout petit pour éviter de se faire repérer, tant pis Ian avait perdu un mutant aujourd’hui et se promis mentalement de ne plus commettre une erreur aussi stupide. Portant une main à l’arrière de son crane il le massa légèrement comme si son douloureux mal de tête allait s’estomper, et il finit par ouvrire la bouche, histoire de répondre à la jeune femme et éviter de l’inquiéter plus que ça.

- Ne vous inquiétez pas, je vais bien, j’ai vu bien pire qu’un accident vous savez… Les secours ce n’était pas la peine. Il marqua une légère pause en entendant les sirènes se rapprocher de leur position. Je m’appelle Ian… La prochaine fois faites attention où vous mettez les pieds vous n’aurez peut-être pas autant de chances.

Au moment où il termina sa phrase l'ex Navy Seal aperçut les voitures de secours se garer rapidement, une équipe de pompier venait éteindre le reste des flammes qui embrasaient la voiture tandis que quelques ambulancier étaient déjà au chevet de Ian qui leur répétait que tout allait bien. Il refusa d'abord poliment qu'on l'emmène à l'hôpital avant de commencer à doucement s'énerver, se montrant probablement assez persuasif et en forme pour prouver que tout allait bien. Et les ambulanciers finirent par repartir après lui avoir placé un sparadrap sur sa blessure à l'arcade, lui arrachant un drôle de soupire agacé. Observant quelques secondes la dépanneuse emmener loin de lui la carcasse de son véhicule, il se tourna vers la jeune femme qui était étrangement restée là.

- Dites moi... Jodi, vous ne savez pas s'ils font du bon café et des bonnes pâtisseries dans cette boutique ? Je pense qu'un bon café me ferrait du bien avant de rentrer chez moi... Ce n'est pas la porte à côté maintenant que je n'ai plus de voiture...

Il avait indiqué d'un signe de tête le bâtiment non loin d'eux qu'il ne connaissait pas encore, après tout New-York n'était pas sa ville natale et ça faisait que quelques mois qu'il était arrivé dans cette ville alors autant demander quelques renseignements à la rouquine auprès de lui.
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Quand la chance nous sourit. Vide
MessageSujet: Re: Quand la chance nous sourit.   Quand la chance nous sourit. Icon_minitimeDim 7 Sep - 23:06


La prochaine, peut-être n'aurait-elle pas autant de chance. La prochaine fois, peut-être se fera-t-elle heurter de plein fouet. Ce commentaire eut un drôle d'effet sur elle, lui tirant un sourire parfaitement sarcastique. Il ne s'était pas rendu compte que ce n'était pas parce qu'elle s'était planté devant la carrosserie de sa voiture, qu'il avait eu un accident. En partie. Mais ça aurait pu s'arrêter à ça. Ce n'était pas logique qu'un véhicule explose ainsi pour si peu. Il ne semblait pas réalisé qu'il était presque parvenu à l'éviter facilement. C'était, selon son point de vu, tout autre chose qui avait provoqué tout ceci. Elle ne répondit pas, en bout de ligne, se contentant d'un petit air légèrement renfrogné, en se redressant lorsque les secours arrivèrent sur place, se reculant, observant simplement les dégâts, dans une drôle de réflexion perplexe. Elle observa les flammes mourir sur la voiture, avec une étrange impression de déjà vu, sans qu'elle ne parvienne jamais à mettre le doigt sur l'exacte souvenir. Ce n'était qu'une impression. Une impression terrible qui la faisait frémir, d'une certaine façon, sans qu'elle ne sache trop pourquoi. Une impression qui lui avait fait oublier de se pousser de la route, une fois de plus. De se pousser tout court, en vérité, comme si elle espérait que les jets d'eau lancés sur la carcasse pouvait réveiller quelques souvenirs embrouillés dans son esprit. Elle les observa travailler, en silence, pour finalement partir avec le métal brulé, puant, suintant. Et sans qu'elle ne sache pourquoi, elle culpabilisa. Comme si elle comprenait le regard de l'homme précédemment, sans trop savoir, tout à la fois, de quoi il retournait. C'était peut-être important, pour rouler à cette vitesse. C'était peut-être important et peut-être avait-elle tout gâché, dans la malchance qu'elle provoquait généralement lorsque l'on croisait malencontreusement sa route.

Puis il y eut sa voix, de nouveau, à sa gauche, qui la tira de ses pensées, l'obligeant à darder ses iris couleur d'un ciel d'orage vers lui, une fois de plus, un peu distraitement.

«Hum? » comme si tout ce qui s'était passé n'avait déjà plus d'importance, alors qu'elle perdait pied dans ses propres questions étrangères refoulées, alors qu'elle oubliait le pourquoi de tout ceci, alors qu'elle semblait l'oublié, lui aussi, une fraction de seconde, déconcentrée par quelque chose de pourtant si futile qu'un souvenir qui n'existait même pas dans sa mémoire. Elle suivit des yeux ce qu'il demandait, jetant un regard par-dessus l'épaule de l'homme pour apercevoir la dite boulangerie ou pâtisserie. Haussement des épaules avant de reporter son attention sur le bleu de ses iris.

«Je n'en sais rien. Je n'y ai jamais mise les pieds. Mais apparemment, je porte malheur, mieux vaut se tenir loin de ma personne ah ah. »

Légèrement vexée, sans doute, par les reproches qu'il lui avait faite. Elle le lui fit momentanément comprendre: elle culpabilisait pour l'accident et ce qui était arrivé, il n'avait nullement eu à le lui souligner, légèrement. Elle parvenait très bien à le faire d'elle-même. Et s'il demandait cela, elle fit mine qu'il pouvait très bien y aller seul, à présent, comme une gamine offensée. Une gamine qui voulait peut-être simplement éviter de provoquer d'autres malheurs un peu trop désagréables.

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Quand la chance nous sourit. Vide
MessageSujet: Re: Quand la chance nous sourit.   Quand la chance nous sourit. Icon_minitimeJeu 23 Oct - 23:01


Ian fixait toujours la jeune femme à ses côtés, maintenant qu'il avait perdu sa cible il n'avait plus grand chose à faire et ayant sauté son petit déjeuner, il est vrai qu'il commençait à ressentir le besoin du café et de se rassasier et puis peut-être qu'avec un peu de chance sa cible déciderait de repasser dans le coin pour rentrer chez lui, enfin l'ex navy seal en doutait, s'il avait un minimum de logique ou il ne ferrait pas cette erreur, mais bon on ne savait jamais après tout et puis l'espoir fait vivre comme on dit. Et la voix de Jodi brisa le petit silence qui c'était installé suite à sa question, le ton employé le fit doucement sourire sans qu'il ne sache pourquoi, peut-être était-ce ce ton vexé qui l'amusait légèrement sans que ce ne soit vraiment drôle. En fait si, il savait pourquoi il avait sourit, parce que ce petit ton lui rappelait sa soeur, il lui rappelait l'attitude que prenait sa petite soeur lorsqu'il disait quelque chose qui ne lui plaisait pas, et tout ce petit ton rehaussé d'une mine qu'il trouvait toujours adorable chez sa cadette et le faisait souvent céder. Il avait instinctivement porté sa main à son cou, là où pendait un pendentif accroché à une chaine en argent, dernier cadeau que sa soeur lui avait fait et qu'il garde précieusement sur lui, mais le souvenir de sa soeur avait quelque chose de douloureux maintenant qu'elle n'était plus là, il avait quelque chose de douloureux parce qu'il ne verrait plus cette petit moue vexée maintenant qu'elle était morte, tué par ces.. mutants qu'il chassait à présent même s'il en était un lui même. L'ex navy seal finit par secouer la tête, chassant les quelques souvenirs de sa cadette pour se concentrer sur la jeune femme, se décidant finalement, après quelques secondes de silence de lui répondre.

- Eh bah... Pour vous pardonner vous pourrez m'accompagner dans ce café.. Et puis question malheur, je commence à être habitué, ma vie est semé de malheur.

On aurait pût croire à une invitation cachée, mais il n'en était pas, du moins ça n'avait pas été dans les intentions du mutants, mais bon, avec réflexion peut-être qu'un peu de compagnie différente de ce qu'il avait l'habitude de côtoyer n'était pas déplaisante. Et sans attendre une quelconque réponse il marcha dans la direction du café, donnant un léger coup sur sa veste de costume pour ôter la poussière qui c'était invité dessus sans qu'il ne l'ai remarqué avant. Passant une main dans ses cheveux, il tourna légèrement la tête et ses iris bleus se posèrent sur Jodi qui visiblement avait décidé de le suivre. Il finit par pénétrer dans le bâtiment, l'odeur du café et des pâtisseries tout juste sorties du four lui rappelèrent soudainement sa faim, humant un instant les odeurs, il s'en délecta tout en regardant rapidement autour de lui, essayant de repérer une table qui pourrait lui permettre d'observer l'extérieur, il en repéra une bien vite sur sa droite et fût bien vite détourner de son repérage par la voix de la serveuse.

- Bonjour, je vous sert quoi ?

Ian se tourna vers elle, observant un instant la carte des cafés et autres pâtisseries et finit par se décider après quelques secondes d'hésitation.

- Bonjour, je vais vous prendre un café au lait et.. deux muffins à la framboise. Il se tourna vers Jodi Vous voulez quelque chose ?

Une fois qu'elle eût commandé ce qu'elle voulait, Ian paya le tout et se dirigea d'un pas décidé vers la place prêt de la fenêtre, se plaçant de sorte à avoir la vue sur la route. Posant son café et ses muffins devant lui, il en attrapa un et croqua dedans avant de porter sa tasse à ses lèvres pour boire une gorgée.

- Hum, ces muffins sont délicieux, peut-être que je devrais vous remercier dans un sens sinon je ne serais probablement jamais venu ici.
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