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 "Three men, One street, How many possibilities ?"

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Clyde Carver
Clyde Carver

Administratrice
Roi noir chez les damnés

"Three men, One street, How many possibilities ?" 165195tumblrmofmmmFRDn1qekck2o6250

▬ Date d'inscription : 07/12/2013
▬ Messages : 254
▬ Crédit(s) : Rosen et tumblr
▬ Autre(s) compte(s) : Elvie Killers, Echo T. Hamilton (Lorna Dane), Garrett A. Macmillan
▬ Points : 178
▬ Célébrité de l'avatar : Joseph Morgan
▬ Âge du personnage : 23 ans
▬ Nom Mutant : Pain
▬ Pouvoir(s) : Torture mentale et physique
▬ Puissance : 5/10
▬ Métier/études : Propriétaire d'un night club le "Corvus Florensis" surnommé la plupart du temps le "Corvus"(Manhattan), Roi Noir.



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MessageSujet: "Three men, One street, How many possibilities ?"   "Three men, One street, How many possibilities ?" Icon_minitimeMer 28 Mai - 12:34







J'avais passé la soirée dans le night-club, j'avais tenté toute la soirée de recruter un mutant pour le faire entrer chez les damnés, seulement il était réticent et je n'étais pas vraiment des plus patient. Mais j'étais persévérant, je n'avais donc pas encore dit mon dernier mot. On avait tous un prix, il suffisait que je trouve le sien. Ou que je lui donne une très bonne motivation.

Quand le jeune homme voulut partir, je décider de le laisser partir sans rien dire, chose qui surprit le mutant, mais il saisit sa chance, ne sachant pas que j'avais tout de même envoyé Zip le suivre. Je me retournais vers le club et décider de retourner dans mon bureau, tout en faisant un signe à un videur afin qu'il me débarrasse de tout ce monde. Le temps de faire la comptabilité, je fermais le club plus tôt, mais j'ouvrais également plus tôt ce qui rétablissait légèrement les choses.

Je rejoignis mon bureau pendant que la sécurité se charger de vider le club. J'observais par la fenêtre quand une forme s'en approcha, une forme que je reconnaîtrais entre miles, Zip. J'ouvris la fenêtre et se dernier ne tarda pas à se poser sur mon épaule.

- Ce n'est pas trop tôt, un peu plus et je croyais que tu m'avais oublié.

J'émis un sourire, pendant que le corbeau émit quelques croassements pour montrer son désaccord, s'il était de retour, c'est qu'il avait trouvé le mutant. Et donc je pourrais employer d'autre moyen qui me serait impossible de faire quand mon night-club était bondé.

Je balançais ma veste sur mon épaule libre, il n'y avait déjà plus personne mise à part un agent de sécurité dans le club, bien. Je pressais ce dernier à partir afin de pouvoir m'en aller aussi.

Une fois le club fermé, je laissais Zip me guider jusqu'au mutant, mais quand je me rapprochais de ma cible, le corbeau fit demi-tour et tenta de m'empêcher d'avancer, ce qui signifiait une chose, des complications, je me plaquais contre le mur de la ruelle afin de pouvoir observer ce qui se passait sans être vu.

Zip avait raison, le mutant n'était pas seul, il se trouvait avec un jeune homme que j'avais déjà vu quelque part. Mais je voyais tellement de personnes entre les clients du night-club et ceux que je rencontrés pour le club des damnés.

- Je me demande bien ce qui se passe là-bas...

Je préférais donc attendre de voir si c'était un échange amical ou non afin de pouvoir intervenir, s'il ne voulait pas rejoindre les damnés, il ne m'était de plus aucune utilité...

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"Three men, One street, How many possibilities ?" Vide
MessageSujet: Re: "Three men, One street, How many possibilities ?"   "Three men, One street, How many possibilities ?" Icon_minitimeLun 7 Juil - 22:46


Quelques fêtards traînaient dans les rues par une de ces premières douces nuits de printemps. La plupart se tenaient bras-dessus, bras-dessous, s’appuyant les uns sur les autres pour éviter de tomber tandis qu’ils marchaient en zigzag sur les trottoirs.

Thomas les ignorait, gardait les yeux fixés devant lui, parfois les levait vers le ciel sans nuage où il pouvait imaginer des étoiles si ce n’était pour les lumières de la ville. L’homme appréciait ce moment de la nuit, lorsque tout le monde était chez soi, ou était en chemin pour rentrer après une soirée. Les rues étaient alors désertes et Thomas pouvait presque avoir l’impression d’être seul au monde. Il pouvait prendre son temps, flâner sans avoir de passants pour le bousculer, le presser de toute part.

C’est pourquoi, en sortant de l’opéra, il avait décliné l’invitation à rentrer en taxi pour prendre le temps de faire quelques détours à pied avant de retourner chez lui. Il se remémorait la représentation que lui et sa troupe venaient de donner. Le public les avait acclamés, comme d’habitude et Thomas ne doutait qu’ils continueraient de recevoir de bonnes critiques. Néanmoins, il repensait aux erreurs qu’il avait commises, ainsi qu’à celles de ses collègues. Marc avait d’ailleurs disparu avant que Thomas n’ait pu lui dire quoi que ce soit. Il devrait réussir à le prendre à part quelques minutes en arrivant le lendemain, songea Thomas.

Thomas avançait sans réfléchir et fut surpris par l’afflux soudain de passants – juste une petite dizaine, apparemment les derniers clients d’un night-club tout proche, réussit à comprendre Thomas en écoutant d’une oreille les conversations ivres.

Il se retrouva de nouveau seul, et Thomas se mit à réfléchir au programme de son futur récital de piano. C’est alors qu’il se fit bousculer plutôt violemment.

« Regardez où vous allez, lança-t-il à l’inconnu qui continuait de marcher à grands pas. »

Mais à ces mots, il se retourna et revint vers Thomas. Il avait l’air particulièrement agacé, presque énervé et s’apprêtait à passer ses nerfs sur Thomas. Celui-ci esquissa un sourire. Il était particulièrement de bonne humeur en cette nuit, ce n’était pas cet homme qui lui allait gâcher cela. Resserrant son écharpe tandis qu’une petite brise s’élevait, il ignora les insultes de l’homme, se contentait de le dévisager avec un sourire qui devait passer sans nul doute pour dédaigneux. L’homme éclata alors et commença à l’insulter, puis à le bousculer. Thomas tapait ses doigts contre ses cuisses, récitant une partition de piano – c’était un tic nerveux qu’il avait pris très jeune et dont il n’arrivait pas à se débarrasser – et ouvrit la bouche. L’homme s’arrêta un instant, apparemment satisfait d’avoir enfin une réaction de Thomas, mais cela fut de courte durée. Ses sourcils se froncèrent par la confusion alors que Thomas commença à chanter. Sa voix était grave, basse, et s’élevait peu à peu alors qu’un halo doré apparaissait autour de lui, épousait sa silhouette. Ce n’était qu’une douce lueur, qui aurait pu passer inaperçu s’il s’était trouvé sous un lampadaire. Mais les luminaires étaient à plusieurs mètres d’eux deux et l’inconnu observait Thomas, à la fois fasciné et terrifié.

Soudain la main de l’homme se referma en un poing qui s’élevait peu à peu. L’homme lâcha Thomas du regard au profit de son membre qu’il ne contrôlait pas. Il tentait de l’arrêter, mais Thomas avait pris le dessus. Sa voix se fit un peu plus forte, le halo doré s’accentua et le coup parti, atteignant l’homme à la mâchoire.
Thomas laissa échapper un rire froid dans la nuit.
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Clyde Carver
Clyde Carver

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MessageSujet: Re: "Three men, One street, How many possibilities ?"   "Three men, One street, How many possibilities ?" Icon_minitimeVen 15 Aoû - 23:21




J'observais la scène de loin, et j'eu bien raison, je n'étais pas le dernier pour la bagarre mais je préférais la jouer plus finement, voir mon adversaire, anticiper ses coups ou encore user de mes dons si je n'avais pas envie de donner de coups du moins physiquement. Là, le type que j'avais tenté de recruter s'en prenait à un autre. Et sa réaction ne se fit pas vraiment attendre, mais elle était assez inattendue, je devais bien l'avouer.
En effet au lieu de lui coller la droite du siècle le type c'était mis à chanter, et sous mes yeux je vis un halo de lumière l'entouré avant que le poing de la personne face à lui se lève et qu'il se frappe le visage lui-même, face à cette vision j'émis un rictus.

Et en l'entendant rire, je savais que c'était le moment pour sortir de ma cachette, mon corbeau sur l'épaule, je m'avançais vers les deux jeunes gens plaçant mes mains devant moi en signe de défense, mon fameux rictus toujours sur mes lèvres, je n'étais pas là pour me battre mais au besoin, j'étais plus que bien armé.

- Et bien moi qui pensais intervenir, il fallait que je tombe sur un charmeur.

Techniquement, je parlais de la mutation, ne connaissant pas plus que ça, le jeune homme, mais je me plaisais à tester les gens, savoir ce qui les mettait mal à l'aise, les pousser à bout afin de voir leur limite. J'avais pris cette habitude en grandissant et elle ne m'avait plus jamais vraiment quitté.
Je jetais un regard dédaigneux au mutant que j'avais tenté de recruter, ne lui trouvant plus rien intéressant, je me lasser vite, peut être trop vite.

- Je suis persuadé de vous avoir déjà vu...

Mais où ? Le club ? Les damnés ? Ailleurs ? J'étais tellement perdu dans mes pensées que j'ignorais la présence à nos côtés pour me concentrer sur l'homme que j'avais face à moi, je tendis la main vers le jeune homme dans le but de me lancer dans des présentations dignes de ce nom.

- Clyde Carver.

L'homme dont j'avais oublié la présence se racla la gorge et mon rictus quitta mes lèvres. Mes yeux prirent une teinte dorée et le même homme commença à se tordre de douleur, bien décidé à lui faire comprendre qu'il n'était plus le bienvenu et qu'il pouvait donc reprendre sa route et nous oublier. J'avais insisté afin de le faire partir et visiblement, ça fonctionner puisque l'homme en question commença à partir.

- Bien maintenant que nous sommes plus au calme, dites-moi tout...

Je relevais les yeux vers le premier jeune homme, mon bon vieux rictus sur les lèvres me concentrant à nouveau sur le jeune homme face à moi. J'aurais toujours le temps de trouver l'autre mutant si je m'en donnais la peine, mais il m'ennuyait déjà, alors je passerais à autre chose, les mutants à recruter ce n'était pas ce qu'il manquait...

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MessageSujet: Re: "Three men, One street, How many possibilities ?"   "Three men, One street, How many possibilities ?" Icon_minitime


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