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 Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.»

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Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» Vide
MessageSujet: Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.»   Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» Icon_minitimeMer 9 Juil - 2:57


Cesar M. von Holstein
Gerard Butler


Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» Icon10

Prénom : Cesar
Second Prénom : Morgan
Nom de famille : von Holstein
Nom Mutant : Ghost
Date de Naissance : 1er janvier 1929
Lieu de Naissance : Au fin fond du Montana.
Origines : Allemande (d'où le ''von''. Mais ça vient d'un grand nombre de générations avant lui. Il n'en a gardé que le nom), anglaise (de sa mère) américaine.
Nationalité : Américaine
Cheveux : Brun
Yeux : Vert-bleu
Taille : 1m88
Pouvoir(s) : Illusions
Étude(s) : Il sait lire et compter, et c'est tout ce qui compte vraiment pour lui. Il étudie dans l'école cruelle de la Vie.
Métier : Cowboy, propriétaire d'un ranch familial au Montana (qu'il gère à présent et à contre cœur à distance), ex-magicien réputé, riche héritier et nouveau propriétaire d'un petit hippodrome d'entrainement, a participé à l'entrainement du célèbre Secrétariat. Il s'est tourné momentanément vers l'entrainement des chevaux de course.
Lieu de résidence : Il n'a pas abandonné sa grande maison campagnarde au Montana. À New-York, un petit studio aux fenêtres immenses qui lui permettent de voir dehors et d'avoir l'impression d'être un peu moins en ville.
Statut Social : Riche célibataire un peu paumé. Veuf, mais il n'en parle jamais.
Orientation Sexuelle : Bisexuel, mais n'a encore jamais eu d'expérience avec les hommes. Il ne sait pas trop quoi en penser et évite un peu le sujet. Il est davantage attiré par les femmes de toute façon.
Groupe : Club des Damnés (fou rouge)



QUI JE SUIS ?


L'air frais du Montana. Il y avait l'odeur bestial de l'animal, flanc doucement appuyé contre son épaule, comme pour s'assurer qu'il ne disparaissait pas dans la brume matinale qui flottait silencieusement sur le lac immobile, reflétant les montagnes comme un miroir parfaitement limpide. Une caresse sur l'encolure de sa monture qui lui fit décrocher un maigre sourire alors que leur ombre s'étirait doucement sur le sol rocailleux. Il se détacha de l'animal pour se glisser vers un vieux tronc d'arbre contre lequel il s'adossa, par habitude, comme si sa forme épousait parfaitement celle de son dos, ou qu'il en avait pris les contours, à force de le sentir s'appuyer matin après matin au même endroit. Cette vue là, elle était réelle. Plus réelle que toute la vie qu'il s'était construit jusqu'à maintenant. Plus réelle qu'il ne l'était lui-même parfois, perdu dans ses illusions, dans ses désillusions, dans ses souvenirs. Il était revenu au point de départ en reprenant le ranch à l'abandon de la famille. Plus personne ne tenait à s'en occuper. À vrai dire, plus personne ne demeurait ici. Il errait sur ces terres de son enfance sans plus âme à qui raconter ses historiques aventures. Il croyait s'être enfin rattrapé. Il croyait être parvenu à retrouver le calme après la tempête en revenant ici, dans la nature, en tête à tête avec l'odeur du bois, l'odeur du fois et de l'eau. Il n'y avait pas un seul voisin à moins de deux kilomètres de distance. Et il s'en contentait parfaitement. S'il voyait des gens, c'était parce qu'on s'entraidait, dans ce coin du monde, lorsqu'on avait des problèmes de clôture, d'électricité, de puits d'eau ou qu'une jument accouchait in extremis dans le pré. Il partait occasionnellement à la chasse au veau en fugue pour le ramener au bercail. Mais il était discret dans son petit paradis terrestre, à oublier hier, à penser à aujourd'hui et à ignorer demain comme s'il s'agissait encore d'un monstre.

Il était partie, fut une époque, le cœur léger. Il était revenu dévasté. Il était revenu pour oublier et reprendre pied, ou simplement pour prendre conscience que sa place été ici plus qu'ailleurs. Il était partie très jeune, avant d'avoir atteint l'âge adulte, en proie à des rêves de grandeurs, au rêve américain envahissant. En proie à sa passion grandissante pour un talent du spectacle qu'il avait jusqu'à maintenant fait partager qu'à sa famille et ses petits voisins fasciné: la magie. En mettant le pied dans la fabuleuse cité de New-York, il y avait sa place comme un maître pour attirer le regard. Et avant la vingtaine, il avait son spectacle à lui, promenant de ville en ville pour partager ses envies folles d'user de quelque chose qu'on ignorait: une mutation discrète qui se mêlait parfaitement à ses états d'âme, se mêlait parfaitement à son train de vie. Rapidement, on était venu des quatre coins de l'Amérique pour observer, s'illusionné dans son art, pour essayer de comprendre sans jamais vraiment y parvenir. Et il aimait ce niveau de célébrité pas trop étouffant, mais suffisant pour lui donner un certain prestige dans cet univers fabuleux. Treize ans. Il avait passé treize ans à émerveiller un public de ses scènes toujours plus fantastiques, toujours plus exagérées, toujours plus grandioses. Mais tout ce qui monte doit redescendre...

Il se souvenait encore de sa chevelure rousse, courte, un peu garçonnière. Il se souvenait de son sourire, de sa voix, comme s'il l'entendait encore, parfois, en songe. Comme si elle était toujours là. Comme si elle ne l'avait pas abandonné à son sort. Comme s'il lui avait encore tenu la main dans les moments difficiles de leur courte existence à deux. Les traits de son visage s'étaient estompés, dans sa mémoire, avec le temps, mais il se souvenait toujours de sa voix et de son odeur fleuris. Mais en dernier, il se souvenait de son regard fou. Il se souvenait de ses cris de rage. Il se souvenait de la douleur qui lui avait tordu les tripes, sur son lit d'hôpital, puis de l'absence. Ils auraient pu être bien, à trois. Elle avait fait fausse couche et avait sombré dans l'abime étrange de la psychologie fragile. Il ne l'avait plus reconnu. Pour la soulagé, il avait sans doute commis la plus grande erreur de toute son existence: plonger dans une vie courte d'illusions pathétiques en espérant se donner un semblant d'existence heureuse. Il lui avait fait croire que l'enfant n'était jamais mort. Il lui avait fait croire qu'il n'y avait que le meilleur. Il lui avait inventé toute une existence. Pendant une très longue année, il avait joué le jeu jusqu'à commettre l'erreur fatale: elle ne comprenait plus la différence entre ce qui était vrai et ce qui ne l'était plus. La nuit, elle était seule. Lorsqu'il était absent, elle était seule et elle se souvenait du vide laissé au creux de son âme. Elle se rendait compte, petit à petit, du ridicule de ce qu'elle croyait être vrai: il n'y avait pas de vérité. Il avait cru à quelque chose de bien. Mais après un spectacle, il l'avait trouvé debout dans le cadre de porte à le menacer d'une arme à feu, en le suppliant d'arrêter, en le suppliant de lui rendre son enfant. Elle était convaincue qu'il le lui avait enlevée, d'une manière ou d'une autre. Quelque chose s'était brisé. Quelque chose qu'il ne pourrait pas réparer de ses illusions. Quelque chose s'était brisé, et pas seulement pour elle; pour lui aussi. Elle avait fait feu sur lui. Et s'il était toujours suffisamment conscient pour l'écouté, il avait tenté de lui expliquer. Vainement. Il avait suffit d'un nouveau coup de feu pour qu'elle disparaisse dans le néant. Dans le néant de ses souvenirs amers. Juste une histoire qui avait mal tournée.

Revenir aux sources. Il avait l'impression que la tranquillité de son paysage natal effaçait la douleur, pardonnait ses erreurs. Il s'était mentalement promis de ne plus jamais user de sa mutation. Il avait abandonné le monde de la magie, frauduleusement, fabriquant une mise en scène spectaculaire dans le seul but de quitter la tête haute: il avait jouer sa mort en publique. Il avait joué sa mort pour mieux fuir ses responsabilités, pour mieux fuir ses bêtises et ses mensonges. Et il était là, maintenant, cowboy solitaire qui n'aspirait qu'à vivre au jour le jour, sans penser à hier, sans espérer demain. Il s'épuisait physiquement, au quotidien, pour ne pas penser, pour ne pas avoir à réfléchir, se contentant de ce que la terre lui offrait de mieux.


QUESTIONNAIRE


Le(s) pouvoir(s) en détail(s) : Illusions: à une époque, Cesar fut un très grand illusionniste. Il maitrise merveilleusement bien sa mutation et s'il a choisit de ne plus en faire usage, ça ne lui enlève rien. Ses illusions sont principalement visuelles et auditives, mais il parvient parfois à y mettre une petite touche physique (que ce soit douloureux ou non). Ses illusions n'ont pour seule limite son imagination et se révèle particulièrement réaliste: on s'y laisse croire, tant qu'elles ne sont pas trop exagérées. Elles perdurent tant qu'il est présent sur les lieux, sans forcément avoir besoin d'y mettre toute sa concentration. Dès qu'il quitte, elles disparaissent. Il peut les tenir pendant plusieurs heures, plusieurs jours, même, parfois. Mais s'il dort, elles se volatilisent. Il utilisait sa mutation principalement durant ses tours de magie.
Caractéristiques de mutants : Aucun, il a l'air parfaitement humain, dans toutes les situations.
Trois principales qualités : Humble, modeste, discret, attentif, calme (en apparence)....
Trois principaux défauts : Réservé, rancunier, entêté, pas du tout câlin, n'a pas un très grand sens de l'humour, est plutôt sérieux...
Signe(s) physique(s) particulier(s) : Il a une cicatrice un peu au-dessus du nombril, là où sa femme était parvenue à l'atteindre par balle.
Autres signes particuliers : Il a participé à l'entrainement du cheval Secrétariat. Son coureur préféré est Tidalium Pelo. Ne veut plus faire usage de sa mutation. Son père l'a renié à l'âge de quinze ans: il ne croyait jamais en entendre parler de nouveau. Pourtant, au décès de ce dernier, l'homme lègue à son fils tout son héritage faramineux. Il reçoit aussi, en héritage, un accès directe au Cercle intérieur du Club des Damnés. Il ignorait jusqu'alors les activités de son paternel. Cesar pourrait ne plus jamais travailler, mais il choisit de vivre avec modestie, presque comme tout le monde. Rester inactif le rend cingler. Il a gardé l'habitude de se balader en botte de cowboy dans la vie de tous les jours, toute autre chaussures classiques lui semble inconfortables. Lorsqu'il était dans le monde du spectacle, on le connaissait sous le nom de Ghost le Fabuleux. Il n'emploie aujourd'hui que son véritable nom, mais ne le donne qu'à très peu de gens. Il joue un peu de guitare sèche à l'occasion. Il a une très belle voix, mais déteste chanter en public. Il est revenu à New-York que très récemment. Il a été accusé du meurtre de sa femme, fut un temps, mais a rapidement été disculpé.




DERRIÈRE L'ÉCRAN


Prénom et/ou Pseudo : (a)
Ton Âge : vieille
Où vis-tu : Où il fait froid.
Comment as-tu connu le forum : J'y suis déjà (a)
Pourquoi tu t'es inscrit : Parce que D:
Es-tu vraiment motivé à jouer sur ce forum : mais oui D:
Jours par semaine de présence : Souvent (a)
As-tu lu et signé le règlement : presque (a)
Un mot pour la fin ? : Cupcake
Dernière chose ! Votre personnage est : inventé <3


Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» Icon10




Dernière édition par Cesar M. von Holstein le Mer 9 Juil - 19:59, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.»   Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» Icon_minitimeMer 9 Juil - 15:39


CUPCAKE *pan* (reeeeuuuuuuh)bienvenue avec Butt-ler  Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.» 3538566494 et bon courage pour ta fiche !
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Cesar M. von Holstein «A tree alone doesn't make a sound when it falls in the deepest forest.»

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