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 Douleur par rebonds ft. Clyde Carver

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MessageSujet: Douleur par rebonds ft. Clyde Carver   Douleur par rebonds ft. Clyde Carver Icon_minitimeDim 17 Aoû - 22:46


Pour une fois que les choses allaient bien dans la vie de la jeune femme, elle avait envie de fêter ça. Sortie des cours en avance, un prof étant absent pour cause de séminaire, Julianne avait décidée d’aller s’offrir une petite glace, tout en marchant dans les allées de Central Park. Une glace vanille/fraise. Rien d’extraordinaire, certes. Mais, pour la jeune femme qui se rejouissait de plaisirs simples, cela valait tous les plaisirs du monde. Prendre du bon temps, profité d’une des douceurs de la vie sans avoir peur, sans être triste ne lui était pas arrivée depuis longtemps. Certes, il y avait eu l’histoire de la lettre, moins de deux semaines auparavant. On avait découvert qu’elle était une mutante par hasard et on l’avait menacé de la livrer aux flics si elle remettait les pieds à l’université. Mais Julianne avait fait la connaissance d’un autre mutant : un certain Godric. Et ce dernier avait appris à l’anglaise à prendre confiance en elle. Il lui apprenait encore. Comme il lui enseignait comment maîtriser son pouvoir, comment ne pas se laisser submerger par lui. Alors, c’était plus ou moins seureine qu’elle se dirigeait maintenant vers la fac le matin, tentant de passer outre les insultes et les regads sur elle. Certes, certains la blessaient encore. Mais, elle se répétait qu’elle était plus forte, que si elle avait réussi à survivre pendant quinze ans, ça n’allait pas être ces imbéciles qui allaient la détruire. Enfin, elle l’espèrait. . S’asseyant sur un banc avec sa glace, la jeune femme de dix-neuf s’était plongée dans la lecture dans de ses livres de cours, avait fait ses devoirs sur place, profitant du soleil sans s’apercevoir du fait que la nuit tombait sur la ville. Les passages devant son banc se faisaient de moins en moins nombreux au fil des minutes qui passaient et lorsqu’elle leva enfin les yeux, il faisait nuit noire. Seuls les lampadaires du parc et de la ville lui permettaient de ne pas être complétement aveugle. Un regard vers sa montre lui apprit qu’il était déjà vingt-deux heure trente. Rassemblant ses affaires, Julianne sentit la fatigue s’emparer d’elle. Une fatigue qui commençait à l’affaiblir. Elle le savait, si sa mère l’engueulait quand elle serait de retour à la maison, elle allait sans doute refaire une crise. Ca allait encore criser. Et ca ne rata pas… A peine fut-elle rentrée dans l’appartement que sa mère gueulait, lui reprochant de revenir tard. Comme si Julianne avait envie de passer du temps avec celle qui la prenait pour une folle. Si seulement Godric avait été là ce soir…elle aurait été directement chez lui, comme elle le faisait depuis quelques jours. Mais malheureusement…

- Tu sais quoi ? Vas te faire foutre ! Cria-t-elle à sa mère. Je ne vais plus t’emmerder longtemps. Je vais me trouver un logement.

Sur ce, elle était partie en claquant la porte, les larmes au coin des yeux, les solaires sur le nez au cas où ses iris décideraient de prendre une couleur inhumaine. Retournant donc dans ce qui était en quelque sorte sa seconde demeure – Central Park -, l’anglaise retourna s’asseoir sur un banc. Mais, cette nuit-là, elle ne se sentait pas d’humeur à rester immobile. Elle marcha donc dans les allées, sans réel but quand elle entendit un bruit au loin. Comme un cri. Curieuse, et bien que consciente du potentiel danger, elle s’approcha de la source de ce cri, ses sens en alerte, prête à prendre la fuite. Ce fut alors qu’elle vit la silhouette d’un homme blond. Se cachant derrière un arbre, elle ne put s’empêcher de regarder ce qu’il se passait.
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Clyde Carver
Clyde Carver

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Roi noir chez les damnés

Douleur par rebonds ft. Clyde Carver 165195tumblrmofmmmFRDn1qekck2o6250

▬ Date d'inscription : 07/12/2013
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▬ Célébrité de l'avatar : Joseph Morgan
▬ Âge du personnage : 23 ans
▬ Nom Mutant : Pain
▬ Pouvoir(s) : Torture mentale et physique
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▬ Métier/études : Propriétaire d'un night club le "Corvus Florensis" surnommé la plupart du temps le "Corvus"(Manhattan), Roi Noir.



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MessageSujet: Re: Douleur par rebonds ft. Clyde Carver   Douleur par rebonds ft. Clyde Carver Icon_minitimeSam 6 Sep - 16:20


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J'étais assis au bar à vouloir noyer une émotion bien particulière qui d'après moi me rendait faible, et je n'étais pas faible, c'était bien clair. J'avais voulu devenir quelqu'un c'était fait, j'étais un mutant accompli, patron d'un night-club, mais je n'étais pas que ça, ma position chez les damnés, mes confrères avaient récemment évolué, je n'étais pas un damné lambda, j'étais devenu le roi rouge du cercle intérieur et ça grâce à l'aide d'un autre mutant. Alors pourquoi ce soir, je ne me sentais pas bien ? Qu'est-ce qu'il me fallait de plus ? La richesse, je l'avais, une place importante, je l'avais... Alors quoi d'autre ?

En relevant les yeux je notais qu'un type n'arrêtait pas de me fixer à l'autre bout du comptoir. Ce genre de chose arrivait assez régulièrement, je ne passais pas inaperçu entre Zip qui slalomer entre deux verres d'alcool à présent vide, et ma réputation qui me précéder. Certains se faisaient curieux. Ils s'approchaient d'un peu trop près à mon goût en général et j'en profitais pour partir, évitant d'infliger ma mutation sans raison. Mais ce type me regardait comme si j'étais la proie et lui le prédateur, lui il devait vraiment ignorer qui j'étais, sinon il aurait compris que c'était l'inverse, j'étais le prédateur et lui la proie. Je rivais mes yeux sur les siens et se dernier pris ça pour un signe puisqu'il attrapa sa bière avant de descendre de son tabouret pour venir me rejoindre, je ne prononçais pas le moindre mot et pendant quelques secondes on resta silencieux, jusqu'à ce que ça ne convienne plus à l'inconnu qui s'approcha pour me glisser quelques mots à l'oreille.

- T'es un des leurs n'est-ce pas ?

- Oh je peux t'assurer qu'il n'y n'en a pas deux comme moi.

Je claquais mon verre à présent vide contre le comptoir avant de me lever de mon tabouret, de récupérer ma veste pliée sur le siège à côté du mien. Le voilà mon signal pour partir avant que ça dégénère pour ce pauvre type. D'un signe de tête, Zip donna un coup de bec sur la main de l'inconnu avant de voler pour se poser sur mon épaule, je souris face à la vision d'un Zip plus protecteur que d'habitude et je pris la direction de la sortie. Une fois dehors j'indiquais à Zip de rentrer seul, j'avais besoin d'être un peu seul, ce dernier ne tarda pas à s'envoler et je l'observais jusqu'à ce que je ne puisse plus le distinguer.

Pour changer je décider de prendre la direction de Central Park songeant à me poser sur un des bancs afin de faire le point. J'ignorais avoir était suivis jusqu'à ce que le type du bar, fasse exprès de me rentrer dans l'épaule pour me passer devant, il marchait à reculons pour pouvoir me faire face.

- Qu'est-ce qui se passe l'ami tu, ne veux pas discuter un peu ?

- Premièrement, je ne suis pas ton ami, ensuite qu'est-ce que tu me veux ? Je t'ai piqué ta place de parking ? Ou ta copine peut être ?

Son visage se durcit et j'ignorais si j'avais visé juste, mais ce type me plaisait de moins en moins et j'étais bien décidé de m'en débarrasser le plus vite possible, alors que le jeune homme voulu me coller un coup-de-poing, je me concentrais sur sa main jusqu'à ce que j'entende cette dernière craquer, sous la surprise et la douleur, il lâcha un cri avant se masser la main, même si ça ne servait à rien, il lui fallait un bon sac de glace plutôt.

- Bats-toi comme un homme !

- Me battre ne me dérange pas, je suis juste assez évolué pour ne pas avoir à utiliser mes poings contrairement à toi.

- Saleté de mutant !

Ce fut la réplique de trop, mon sourire en coin quitta mon visage et toute émotion que j'avais pu ressentir jusque-là se transforma en colère et cette colère en une rage que je ne connaissais que trop. Je regardais autour de moi pour m'assurer que personne n'était là, même si je m'en fichais, puis je me concentrais à nouveau sur le jeune homme sur sa gorge précisément et ce dernier porta ses mains contre cette dernière, comme s'il se battait contre une force invisible, chose qui n'était pas entièrement fausse.

- Tu disais ?

Il était à présent incapable de faire le moindre son, et je m'approchais de lui afin de lui glisser quelques mots à l'oreille comme il l'avait fait au bar.

- Hum... C'est bien ce que je pensais, la prochaine fois que tu t'en prends à l'un des miens comme tu dis. Assure-toi qu'il ne puisse pas te faire souffrir.

Mon sourire refit son apparition cependant, il n'était pas victorieux au contraire, j'avais pitié de cet être qui se pensait tellement menacer, qui avait tellement peur, qu'il osait faire des choses comme ça. S'en prendre à un mutant, c'était du délire.

- S'il y a une prochaine fois bien entendue.

Me sentant observer, je relevais la tête, à la recherche de la moindre personne ayant pu voir ça, mais si quelqu'un avait été témoin de ça, cette personne aurait fuit face au monstre que j'étais non ?

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MessageSujet: Re: Douleur par rebonds ft. Clyde Carver   Douleur par rebonds ft. Clyde Carver Icon_minitimeLun 8 Sep - 8:11


La discussion semblait animée entre les deux hommes face à elle. Et même si elle ne savait pas la raison de cette animosité, même si elle savait qu’il ne valait mieux pas qu’elle reste trop longtemps à les observer, la jeune anglaise ne put faire autrement que de rester collée derrière son arbre, bien trop curieuse pour les lâcher du regard. Julianne ne percevait que quelques mots – voire sons – de la discussion et ne comprenait pas tout ce qu’il se passait. Mais, elle s’en fichait. Après tout, elle ne connaissait pas ces hommes, donc ne s’interessait nullement à ce qui pouvait les dresser l’un contre l’autre. Alors, pourquoi restait-elle ici à les regarder ? Me demanderiez-vous. Et bien, par simple curiosité, là encore. La curiosité était un vilain défaut. Mais Julianne s’ennuyait trop fermement dans ce Central Park quasiment vide pour ne pas se laisser attirer par ce genre de spectacle. Et puis, temps qu’elle restait bien cachée, rien ne pourrait lui arriver, non ? L’espace d’un court instant, la jeune femme aperçut le visage du blond. Un visage qui la fit frissonner tant il était dur et plein de rage. Elle déglutit, sentit qu’il ne vaudrait peut-être mieux pas être vu de ce dernier. Se cachant un peu plus derrière son arbre, l’étudiante remonta la bandoulière de son sac de cours sur son épaule. Mais soudainement, ce dernier tomba à terre, aux pieds d’une Julianne soudainement effrayée et qui se tenait la gorge. Elle avait mal, si mal. Comme l’homme face à elle. Portant une main à son cou, elle tenta de reprendre sa respiration, s’adossa à l’arbre en massant sa gorge. Ses iris brillaient tant ils étaient dorés. Affaiblie par l’altercation précédente avec sa mère, Julianne était vulnérable ce soir-là. Vulnérable à toutes les émotions, les sensations autour d’elle. Et il avait fallu que la douleur se trouve dans son champ de perception. Elle ne savait pas qui était le blond, mais cela ne faisait plus de doute maintenant : il était celui à l’origine de ce mal, celui qui avait causé cette soudaine douleur, cette sensation d’étouffement dans la gorge de l’autre homme. Et cela sans esquisser le moindre geste. Un mutant, il n’y avait aucun doute. A moitié fascinée par cet homme dont le pouvoir semblait si destructeur, elle avait aussi terriblement peur. Pas vraiment de lui, mais de ce dont il était capable. Là où Julianne n’était que passive quand à son pouvoir, lui semblait le maîtriser entièrement, pouvoir en user même selon sa volonté, pour se défendre face à ceux qui lui causaient du tort. Julianne aurait tellement aimé pouvoir faire cela. Mais, à vrai dire, était-ce réellement possible quand notre don était l’empathie ? Elle ne le pensait nullement. Se reconcentrant sur la scène face à elle, Julianne vit alors que le blond regardait dans sa direction. Effrayée, elle se laissa glisser au sol, visage posé contre ses genoux, caché sous ses boucles brunes – une petite cachette que l’anglaise utilisait souvent, à vrai dire. La peur se mêla alors à la douleur, faisant s’infiltrer cette dernière dans tout son être. Elle se sentait mal, commençait à pâlir, à avoir un haut-le-cœur. Mais, elle ne fit pas un geste, tentant de se concentrer sur sa respiration haletante, audible. Trop audible peut-être pour être discrète. Pitié, qu’il ne s’approche pas d’elle !
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MessageSujet: Re: Douleur par rebonds ft. Clyde Carver   Douleur par rebonds ft. Clyde Carver Icon_minitimeJeu 11 Sep - 19:26




Visiblement le fait que je sois mutant ne plaisait pas à cet inconnu, encore s'il aurait passé son chemin, je ne lui aurais rien fait. Il aurait passé son chemin et j'aurais pris le mien, je n'avais fait que me défendre, mais quoi que je fasse, c'était toujours moi le coupable toujours les autres les victimes.

Seulement je sentais que quelque chose n'allait pas. Je ne ressentais pas la peine que je donnais mais je savais ce que je faisais et je connaissais leurs douleurs, rien qu'en croisant quelqu'un dans la rue, je pouvais savoir si quelqu'un souffrait d'une blessure physique ou non et je savais qu'autant, je pouvais faire de mal, autant je pouvais soulager. Mais je ne pouvais pas laisser les gens voir ça. Il me penserait faible et je ne veux pas être faible. Alors si tout le monde pense que je suis un monstre et bien peut être que j'en suis réellement un.

Mais là je sentais une douleur qui n'était pas la sienne. On n'était donc pas les seuls ici ? Je laisser l'homme qui ne m'intéresser à présent plus, s'il m'avait intéressé. Je m'avançais suivant la douleur ou je la sentais. Et je tombais sur une masse de boucles brunes.

- On dit que la curiosité est un vilain défaut mademoiselle.

C'était elle, la douleur. Elle n'avait pas l'air blesser et ça correspondait étrangement aux blessures que je venais d'infliger à l'autre type qui n'avait pas réellement demandé son reste en voyant ce dont j'étais capable. Peut-être que de cette façon il y réfléchirait à deux fois avant de s'en prendre à un mutant.

- Vous êtes chanceuse ça aurait pu être bien pire.

Je l'observais de la tête aux pieds comme pour m'assurer que ça n'avait pas été pire sur elle, c'était une jeune femme pas un homme et elle devait avoir la vingtaine ou pas loin, l'autre devait en trente. Je tendis ma main dans sa direction, avant de répliquer anticipant un refus catégorique.

- Vous pouvez prendre ma main, si je devais vous faire du mal ça serait déjà fait.

J'avais accompagné ma réplique d'un petit sourire avant de hausser un sourcil, c'était censé la rassurer ça ? Je n'avais pas mieux en tout cas. Réconforter les gens, éloigner leur peur je ne savais pas faire. Un cauchemar je pouvais le changer en le plus doux des rêves. Une douleur physique je pouvais l'apaiser. Mais interagir avec quelqu'un, avec mes amis oui avec des inconnus je ne savais jamais comment m'y prendre.

- Ou ne la prenez pas, je suis un monstre après tout.

Mon sourire se fut plus triste, plus simple. Mon intention ? Veiller sur elle pour m'assurer qu'elle ne soit pas un dommage collatéral, habituellement ça ne m'inquiétait pas plus que là. Mais je n'aimais pas faire des personnes qui passaient juste par là au mauvais moment des dommages collatéral. Alors je décidais d'être le plus franc possible qu'elle me croit ou non.

- Je voulais juste m'assurer que vous alliez bien.

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