Des cris résonnaient dans la nuit glacée dans un château perdu au fond de la lande gelée. Aleksandra donna naissant à la petite Rosalee. Bien vite l'enfant grandit, ses yeux d'un bleu pâle ressemblaient très pour très à ceux de sa mère, tout comme son visage. Que son grand-père lui expliquait en disant que c'était tout simplement un vrai finlandais, elle avait le sang-froid pour survivre au hiver rude de la région. Enlevée dans un cadre strict par une armée de précepteur, pour avoir la meilleure éducation possible.
5 ans, la petite passe beaucoup de temps avec son grand-père, puisque sa mère ne semblait pas attachée à Rosalee et son père la fuyait comme la peste. Le vieil homme devint alors son parent de substitution, lui donnant de l'affection, lui apprenant une quantité de choses. C'est lui qui lui donnait notamment l'amour du violon, appuyant pour qu'elle puisse prendre des leçons ainsi que l'amour de l'art. Cependant, la petite fille commence déjà à devenir distante avec les gens, tous les gens, sauf son grand-père. Quelques petites choses semblent déjà clocher, sa température corporelle trop froide. Que son grand-père lui expliquait en disant que c'était tout simplement un vrai finlandais, elle avait le sang-froid pour survivre au hiver rude de la région.
7 ans, le petit monde de Rosalee s'effondre, très tôt, on lui apprend la mort de son grand-père. Ses mains se serrèrent autour du bracelet autour de son poignet fait par le défunt. Elle se précipita dans le bureau de son grand-père ou elle trouva une lettre qui lui était destinée ainsi qu'un coffret. Bien plus tard dans la journée, on lui permit d'aller le voir sur son lit de mort, en entrant dans la chambre, elle prit soin de fermer la porte pour ne pas qu'on la dérange. Alors que la jeune fille avait réussi à tenir toute la journée pour ne pas pleurer, quand elle se tint devant le lit, les larmes se mirent à couler sur ses joues. Rosalee s'effondra à genoux la tête sur le lit, les mains agrippant le cadre du lit. Soudain, une tension se fit ressentir dans ses mains, elle connaissait ce phénomène, la température baissa violemment dans la pièce. Puis le lit gela, le jeune fille eu peur et se recula brusquement, elle n'avait pas touché le corps de son grand-père par chance. Son cœur se mit à battre plus fort, la peau s'empara d'elle. Ses mains en contact avec le sol firent geler celui-ci. Se relevant brusquement Rosalee pris, la fuite en sortant de la pièce en courant pour s'enfermer dans sa chambre
14 ans petite fille a bien grandis. Les quelques liens qu'elle avait avec sa famille on quasi disparut, il ne reste que les usages de politesses. À présenté sa famille entière est au courant de sa mutation et on prit soin de l'éviter, murmurant des horreurs dans son dos, même les domestiques n'osent pas la regarder dans les yeux, mais Rosalee n'en a cure. À l'image des landes gelée, la jeune femme est devenue froide et distante avec tout le monde, s'enfermant dans ses livres et ses leçons de violons. Cependant, ce n'est pas une gentille petite adolescente, en toute logique, elle n'a pas le droit de sortir du château, mais cela n'est que la théorie de nombreuses fois la demoiselle est sortie en cachette pour explorer le monde, laisser ses pensées libers et se sentir plus libres. Rosalee porte constamment le torque de son grand-père ce qui a le don d'énerver sa mère, elle trouve la tête de loup et celle de corbeau trop effrayantes trop masculine. Cependant, ce n'est pas une gentille petite adolescente, en toute logique, elle n'a pas le droit de sortir du château, mais cela n'est que la théorie de nombreuses fois la demoiselle est sortie en cachette pour explorer le monde, laisser ses pensées libers et se sentir plus libres. Petit à petit Rosalee à appris à gérer sa mutation, bien qu'elle lui échappe encore quand les émotions se font trop fortes. Profitant de ses sorties nocturnes pour s'entraîner du mieux qu'elle peut sans éveiller les soupçons. Elle sait au fond elle qu'une fois qu'elle maîtrisera sa parfaitement cela sera plus simple.
17 ans à l'aube de ses 18 ans, les tensions sont palpables. Les relations se sont encore dégradées avec sa famille. Cependant, sa mère l'obligait encore a assisté à ces stupides repas de famille. Affichant son visage glacial, elle assista au repas, celui-ci finit, elle décampa aussi vite qu'elle put. C'était sans compter sur sa tante et sa fille qui semblait lui vouer une haine sans bornes. Retournant à sa chambre, elles la coincèrent dans un couloir, une pointe de panique gagna Rosalee. Elle tenta de leur demander poliment de la laisser passer pour qu'elle puisse partir, mais la conversation sembla déraper, la jeune femme tendit la main pour se frayer un passage. Sa tante poussa un cri et sortit un couteau, elle ne vit que le reflet froid de la lame puis celle-ci se planta dans sa cuisse lui coupant le souffle. Suffoquant, elle mit ses mains sur sa plaie, sentant le sang couler sur sa jambe, Rosalee n'avait pas compris ce qui s'était passé, elle se sentit faiblir, bien sûr les deux femmes avaient pris la poudre d'escampette.
Quand elle ouvrit les yeux, la jeune femme était dans son lit un bandage autour de la cuisse, la douleur sembla disparaitre. La douleur fit alors place à la rage, une rage sourde, son lit se mit à geler. Respirant profondément, elle tentait de se calmer, mais se fut peine perdue, se levant rapidement elle mit des affaires dans une valise. A présent, il fallait qu'elle parte, c'était la goutte de trop, le maigre lien venait de se couper. Regardant par la fenêtre Rosalee vit que la nuit était tombée, c'était l'heure parfaite pour s'enfuir. Ouvrant la fenêtre, jetant son sac dehors et enjamba celle-ci oubliant la douleur de sa jambe.
19/20 /21/22 ans durant une longue période Rosalee voyage avec la grosse somme d'argent qu'elle avait pris avant de partir. Se laissant porter là ou elle avait envie, ses voyages lui firent rencontrer des gens spéciaux, mais aux formidables. Se posant parfois dans des villes pendant plus longtemps que d'autre, elle trouvait de petits travails pour vivre. Se servant de son joli minois à son avantage. Un jour qu'elle était posée sur le banc d'un parc son violon sur ses genoux, la jeune femme le regarda. Elle se souvint que son père détestait cet instrument, fronçant les sourcils, puis souriant la demoiselle savait où elle devait aller à présent. Fixant alors le ciel gris Rosalee savait qu'elle devait partir pour les États-Unis.
22 à Aujourd’hui . Rosalee est arrivé en Amérique, plus précisément à New-York. Sa première étape fut de chercher tout de suite un travail. Par chance elle trouva tout de suite un coffee shop qui venait tout juste d’ouvrir et cherchait des vendeuses, le patron assez avide de gagner vite de l’argent l’embaucha tout de suite sans plus chercher que cela. Aujourd’hui elle y travaille encore mais n’a pas spécialement nouée d’amitié avec ses collèges, elle fait son travail sans se soucier de tout cela. Avec cette emploie elle à pus trouver un petit appartement avec du cachet, les poutres apparentes, dans un vieux bâtiment. Ce n’est pas très grand mais Rosalee la plutôt bien aménager avec des meubles trouver cher des antiquaires à petit prix. La jeune femme à continuer à entrainement avec sa mutation, même si parfois cela lui échapper quand elle est vraiment fatiguer ou très à bout de nerfs.

Prénom : Henri
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Âge : Heu j'ai fini par oublier xD
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Comment as-tu connu le forum : J'étais déjà dessus
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