Elle a rencontré ce mutant en se perdant... A la recherche d'une librairie Jean s'est retrouvé seule, dans le Queens sans savoir où aller, elle tomba sur le jeune homme qui lui rendit service en l'accompagnant récupérer les livres dont la mutante avait besoin, pour le remercier Jean proposa de se rendre dans un café, toujours indiqué par Pietro pour y boire deux chocolats chaud, apprenant tout deux à se connaître. Evitant tout deux le sujet commun la mutation, ignorant qu'ils l'étaient tout deux. Cherchant également un réveil que Jean avait éclaté le matin même il profita de l'occasion pour partir. Mais la mutante choisi de lui suivre et après certains sous-entendus elle décida de lui montrer ce dont elle était capable. Et Jean découvrit celle du jeune homme qui se déplaçaient à une vitesse infernale. En continuant de discuter avec lui elle découvre qu'il a une jumelle qui contrôle mal sa mutation, et elle lui avoue l'existence de l'institut, endroit qui pourrait l'aider à se contrôler et où ils n'auraient pas à se cacher, la mutante apprécie le jeune homme et s'il rejoint l'institut les deux jeunes gens auront l'occasion de se revoir et de voir où cette relation peut les mener.

Charles Xavier son mentor, Jean lui doit beaucoup, c'est grâce à lui et ses entraves que la jeune femme contrôle bien mieux ses mutations, sans blesser les gens qui lui sont proches, elle lui est redevable et très reconnaissante, pour tout ce qu'il a fait pour elle. Alors Jean essai du mieux qu'elle peut de rendre service, elle va aussi souvent le voir. Lui offrant une tasse de thé autour d'une conversation. Elle sait que depuis le départ d'Erik, le professeur Xavier ne va pas très bien et Jean tente du mieux qu'elle peut de lui remonter le moral. Et même si elle évite de rentrer dans la tête du télépathe bien que sa curiosité l'ait poussé à le faire. Si Jean tente cette tentative en sachant très bien qu'elle va se faire prendre, c'est pour trouver les mots justes pour aider Charles comme il l'as fait pour elle.

Octavien et Jean c'est une longue histoire. Elle l'a rencontré alors qu'elle errer dans les rues de New-York, faisant son petit chemin pour rentrer à l'institut quand elle tomba sur le jeune homme blessé. La jeune mutante en oublia même pourquoi elle était, préférant prendre des nouvelles du jeune homme afin de l'aider. Elle apprit sa triste histoire, une mère bien trop violente, alors Jean fait ce qu'elle peut pour lui changer les idées. Et sa mutation la fascine. C'est une des rares personnes dont la mutante se sent proche au point qu'elle n'hésite pas à se confier à lui. Et le jeune mutant en fait autant, sachant très bien qu'ils peuvent compter l'un sur l'autre.

Il avait accompagné Charles pour recruter la jeune femme, l'éloignant de cette maison qu'elle ne supportait plus avec des gens qui la pensaient malade, mais une de ses premières réactions fut de faire un petit tour dans la tête de l'homme pour voir s'il était vraiment et de quoi il était capable, par la suite il tenta de l'aider comme avec les autres, bien que ses mutations soient plus du ressort de Charles. Quand ce dernier quitta l'institut elle n'hésita pas une seule seconde pour rester aux côtés du professeur Xavier.

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION

DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION DESCRIPTION