En ce samedi ensoleillé, Dorian s’accordé une période de repos et profité d’une longue promenade dans les avenue bondé de New-York. Cette gigantesque fourmilière était son foyer depuis de longues années maintenant ! Jamais il n’avait regardé en arrière… en fin de compte le seul héritage de son pays d’enfance était le fort accent dont il n’arrivait pas à ce débarrasser. Les vieilles habitudes on tendance à s’accrocher de toute façon.
Dorian était bien content de profiter de cette période d’accalmie ! Depuis qu’Enora avait quitté le garage, il était seul pour s’occuper de beaucoup trop de travail ! Les clients ce multiplié fasse à la très bonne presse du garage et le jeune homme ne conté plus les heures où il s’était tout bonnement endormie sur un moteur dégoulinant de graisse.
Il adorait la mécanique ! Voir comment les pièces en s’emboitant formé un tout à la fois simple et complexe ! Car après tout, ce n’était que quelques vis et morceaux de métal assemblé si et là… et pourtant, une fois rassemblé, ils devenaient de véritable bijou d’ingénierie. Magnifique. Si il était née dans un autre pays, avec une mère qui n’était pas juive et un compte en banque bien garnis, il aurait aimé rejoindre une grande école d’ingénieur, apprendre à construire des objets volants par exemple ! Heureusement pour lui, il était dépourvu d’ambition, seule la curiosité le faisait avancer.
De plus, il y avait tout ce qu’il fallait ici ! Des plantes, des arbres… beaucoup de monde pourraient ce demander pourquoi il ne travaillerait pas comme paysagiste par exemple… mais quel serrai l’intérêt ? Il avait certes un dont avec les végétaux mais dans la mécanique il exploité autre chose qu’un pouvoir, il arrivé à ce définir non pas avec son don mais, avec ce qu’il était capable de faire en l’enlevant de l’équation.

Assis tranquillement sur un banc, les paupières étroitement fermé, il tendait son esprit vers les végétaux peuplant le parc, flirta avec les pétales d’une rose, longea les multitudes de ramifications d’un chêne… et s’arrêta quelques secondes sur une tulipe.
Simple fleur parmi les autres, il gouta avec elle aux rayons du soleil, souri quand le vent souffla doucement contre ses pétales, lui donnant l’impression qu’une jeune femme lui soufflé des mots tendre à l’oreille. Contrairement aux humains, les plantes ne pensé pas. Elles n’en étaient pas capables ! Cependant il ce passait quelque chose en elle, quelque chose qu’aucun scientifique ne pourrais jamais comprendre.
Elles ne pensaient pas, elles ressentaient. Elle ne communiqué pas, elle communié ! Il n'existé pas de mot pour expliquer la sensation qu’éprouver Dorian pendant ses précieuses minutes. Le monde disparaissait, le laissant seul avec une forme de vie qu’on avait souvent tendance à oublier.

Puis quelque chose de bizarre arriva. Une pensée était présente, il pouvait la sentir sans pour autant l’expulsé de sa tête. Il sentit les racines de la tulipe frémir devant ce contact qui n’était pas vraiment naturel. Jurant à mie voix, le jeune mutant coupa le lien qui l’unissait à la plante et réintégra son corps.
Il ce leva rapidement, lançant de rapide coup d’œil à droite et à gauche… il ne voyait rien qu’il sorte de l’ordinaire… et pourtant il avait la curieuse impression de n’être pas seul dans sa tête. Étais-ce son pouvoir qui le prédisposé à ressentir cette forme d’intrusion ? Ou son hypothétique agresseur avait-il créé un lien étrange via la plante qu’il avait souillé par sa présence ?
Ce sentant parfaitement idiot, il ne pus s’empêcher de penser ** Il y à quelqu’un ? **. Bah quoi ?