♣Hélène ouvrit un œil, la lumière oranger filtrait par l’imposante fenêtre qui se trouvait dans la pièce. Elle passa sa main sur son visage, elle avait du mal à se lever, sa nuit avait été mouvementé. Avec quelques difficultés, la femme s’appuya sur son coude pour voir la pendule depuis son lit. Elle sursauta se rendant compte qu’elle allait sans doute être en retard à son rendez-vous de ce matin. D’un geste rapide elle envoya les couvertures sur le côté de son lit pour pouvoir trouver la force de se lever, après quelques minutes elle réussit enfin. Hélène soupira lourdement, elle ne se souvenait pas de tous ce qui c’était passé cette nuit-là. Arrivant dans la cuisine la femme se fit couler un café elle en aurait bien besoin, puis elle ouvrit ses tiroirs pour trouver la tenue à adopté. Hélène ne pris seulement que quelques minutes, un tailleur noir strict fera tout à fait l’affaire. En seulement deux minutes son café était dans son estomac, elle pris ses affaires et partis tout de suite.
Après quelques minutes à tourner elle trouva enfin l’adresse de la maison qu’on lui avait donnée

« Rien que cela ! »

Dit-elle pour elle-même en ricanant doucement, c’était une immense maison avec trois étages dans le style ancien, le genre de maison qui coute une petite fortune. D’un geste expert Hélène remit une mèche de cheveux derrière son oreille, agrippant son porte vue avec les plans de l’agrandissement dedans. Avec un mouvement assez fort elle frappa à la porte. Une domestique vint alors lui ouvrit, elle avait le regard fuyant et l’air apeurer, la femme se présenta

« Mademoiselle Andals , je suis l’architecte que Monsieur Morisson a employée pour sa maison ! »

La demoiselle se poussa devant elle et entra dans le grand hall de l’immense maison, un homme joliment vêtus arriva alors pour lui serrer la main ce que la femme refusa littéralement de faire et dit d’entré de jeux

« Allons voir si les plans vous conviennes monsieur ! »

Ils entrèrent tous deux dans le bureau de monsieur Morisson, sans perdre de temps Hélène défit la sangle qui retenait le porte vue et sortis une grande feuille pour la poser sur le bureau la présentant à l’homme

« Voici le plan ! »

Il se passa de longues minutes durant lequel, il n’y eu aucun bruit, avec un petit raclement de gorge l’intéresser dit alors

« Je crois que cela me semble parfait, nous ferons venir l’agence pour commencer dans peu de temps. »

Hélène hocha la tête, tendit la main au client pour lui dire au revoir, cela fait-elle partie rapidement, elle n’aimait pas du tout cet homme, ni sa façon de vivre, ni sa manière d’être, rien. La femme secoua la tête en reniflant tout cela lui rappelait des souvenirs, son mal de tête lui labourait le crâne, elle se dit qu’il faudrait qu’elle arrête de sortir en semaine. Elle marcha d’un pas léger jusqu’à son bureau, elle avait encore des dessins à finir.