Biographie
Je m'appelle Karl Strauss et je suis né le 9 Avril 1912 à St-Pétersbourg de l'union de Alexander Wellington, un homme d'affaires Anglais et de Natasha Strauss, une jeune femme Russe d'origine Allemande. Ma famille était plutôt aisée mais cette dernière n'avait pas ce que toute familles aurait dû avoir: Le Bonheur. Effectivement comme on dit, l'Argent ne fait pas le bonheur et c'est tout à fait vrai ma famille en est la preuve .. mon père et ma mére n'était ensemble que par intérêts .. eh oui, l'argent rassemble sous une seule et même bannière ... mais bref arrêtons de parler de cela et parlons de moi ! J'étais un jeune homme érudit, aimant les études et les femmes ! (Oui ! Quoi ? Il y a un probléme ?! Oui j'aime les femmes ! Ont peut être un jeune intellectuel et être un fétard !
).
Effectivement grâce a la bourse familiale je pûs me payer toute les grandes écoles ... à l'âge de 22 ans, j'eus ma licence en droit et à l'âge de 28 ans ma licence de criminologie ... mais malheureusement, le travail dans la justice ne m'intéressait pas. Effectivement à l'âge de 30 ans, je parti de Russie suite à la mort de mes parents lors de la 2ème Guerre Mondiale. Héritant de la richesse familiale. Je parti alors aux Etats-Unis en bateau et le voyage fût rude car les U-Boots Allemands sillonaient les mers ainsi que des Vaisseaux de guerres coulant tout bateaux étrangers dans leur sillons.
J'arrivais alors à New-York et je m'installa dans le Bronx ... il est bien entendu que j'étais mal-vue ... un petit richard lapidant son argent pour venir sur la terre du rêve ... effectivement, les personnes locales ne m'aimaient pas trop et je leur rendaient bien. Les mois passérent et je me sentais inutile. Un Recrutement massif eut lieu dans toute les Etats-Unis et je décida d'y aller ... après 3 ans dans l'Armée Américaine, j'y trouva ma place en tant qu'Officier, participant a la Libération de la France. Je ne fus pas réformé ou renvoyé de l'armée et je ne parti pas pour autant, voulant continuer ma carrière militaire. Au fil des années, je rencontra une jeune femme du nom de Camille SMITH. J'aurais 3 enfants avec elle et un jour, la Guerre Froide démarra. La C.I.A me fit une proposition de travail:
Devenir un Agent sur le terrain, agent de liaison et également formateur des nouvelles recrues. J'accepta immédiatement, j'y voyais une chance de monter dans l'échelle sociale.
Un jour en 1962, rentrant de mission pour la C.I.A, je passa une journée tranquille avec mes enfants et ma femme, jusqu'a ce que quatre hommes entra par effraction dans ma maison. Ces hommes avaient une particularité, un homme qui semblait être le chef avait des cornes rouge sur le crâne me dit:
"Le vioc .. file moi tes dossiers et il ne t'arrivera rien."
Impassible, évaluant la menace que ces quatre hommes pouvaient être, je lui répondis.
"Laisse ma femme et mes enfants partirent ... et .. je ne vois pas de quoi tu parle."
"De quoi je parle ? Eh bien ... les dossiers de la C.I.A concernant les mutants, mon employeur veut ces dossiers !"
"Les dossiers ... quoi ? Les dossiers Mutants ? Jamais entendu parlé, je suis un agent de terrain pas de bureau"
"Ne joue pas avec moi, l'Homo Sapiens ! Ou sont ces dossiers ! Garrett !"
Un des hommes, .. un homme en métal prit la tête de ma femme entre ses mains et le chef me dit:
"Si tu veux pas que ce joli minois ne soit écrasé sous la pression de notre cher homme absorbant t'a interêt de me dire ou sont ces papelards !"
Je regarda ma femme puis mes enfants et je dis:
"Baissez vous !"
Je sortis alors mon Beretta 9mm de ma ceinture,heureusement que je gardais une arme sur moi, pour ce genre d'occassion mais aussi car la C.I.A avait instauré la loi des 5 mètres (avoir une arme à 5 mètre de soi) pour ses agents. Je tira alors sur le premier homme, un jeune homme d'environs 17 ans, il tomba raide mort d'une balle dans la tête puis je roula vers ma femme où j'envoya mon poing gauche dans la tête de l'homme absorbant et tira deux autres balles dans la tête. Je me retourna vers les deux restant et je ne vit pas le coup venir. Je reçu un aiguillon dans l'oeil gauche et je tomba sous le choc. L'homme me regarda et dit
"Putain ! Tu viens de buter deux de mes gars .. dis moi pourquoi je tuerais pas tes gosses aussi ?"
Je regarda mes enfants apeurés puis je le regarda d'un air noir, l'oeil gauche me faisant souffrir.
"Parce que sa serait de la barbarie et que je n'ai pas tes dossiers, ducon !"
Il m'envoya alors son poing dans le visage puis il enchaina avec un coup de pied dans mes côtes.
"Où .. sont ... ces dossiers !"
Je lui cracha au visage puis je me releva lourdement. Je lui envoya un uppercut dans le visage puis un autre dans sa gorge. Je roula vers mes enfants pour récuperer mon arme et je lui tira dessus toute mes balles restantes. Il les arrêta par je ne sais quel miracle et les renvoya vers mes enfants. Ma vision des choses fût au ralenti alors, mes enfants venait de mourir devant mes yeux .. ma femme cria presque a en mourir et, le jeune homme fit apparaître dans sa paume droite une boule de feu et l'envoya par la suite sur mon épouse
"NOOOONNN !!!"
Elle venait de s'embraser devant moi et elle hurla à l'agonie puis le chef me prit par les cheveux et dit à son acolyte:
"Tommy. Brûle moi ça."
Il m'envoya par la suite un violent coup de poing dans le plexus et le jeune homme m'embrasa les cheveux. Je hurla presque et tomba à terre pour me roulé sur le plancher essayant d'éteindre les flammes de mes cheveux.
"Décrame le, Tommy. Haha !"
Il absorba par la suite ses flammes de mon crâne qui venait de brûler et le Mutant me regarda avec un air de pitié. Je n'avais envie que d'une chose de le tuer mais .. j'arrivais a peine a bouger et mon crâne ainsi que mon oeil me faisait souffrir le martyr.
"Arrête Jesse, si il avait eu les dossiers, il serait pas dans cette état et ses gosses seraient pas mort"
"Tu est encore bien naif, Tommy. Les Homos Sapiens feraient tout pour cacher des choses. Hein bonhomme ?"
Je le regarda avec un air noir puis il prit son sabre à son côté droit et me prit la main gauche
"Où sont ces putains de dossiers !! Parle !"
"Va te faire ... foutre."
Il me trancha alors la main gauche et je hurla cette fois bel et bien. Le Mutant au pouvoir de feu me cautérisa ma blessure et Le Mutant au sabre me regarda avec dégout
"Tu serais prêt à crever pour ces dossiers ? Ils n'ont rien d'important ! Dit moi où ils sont !!"
"Mais j'en sais rien ! Je n'ai rien !!"
Il me regarda puis il regarda son acolyte.
"Fait chier .. il doit dire la vérité"
"Tu a buté sa femme et ses gosses ... tu viens de buter des innocents !"
"Et alors ? Sa serait pas les premiers qu'on bute ..."
"Jesse .. t'es complétement malade"
"Je sais .. nettoie moi ça"
Le jeune homme s'approcha de moi et me prit le cou pour ensuite prendre son couteau. J'acceptais mon sort mais, d'un coup les tirs fusérent, tuant sur le coup les deux mutants. Un homme en gilet par balles marqué C.I.A s'approcha de moi et avant de tomber dans les pommes, j'entendis ses paroles:
"C'est l'Agent Strauss ! Appelez une ambulance immédiatement .."
Je me réveilla deux jours plus tard dans une chambre d'hôpital, mon oeil gauche bandé, mon moignon soigneusement soigné et ... mon crâne enveloppé dans un casque de bandages. J'avais encore le cerveau dans la brume mais je pouvais voir un homme a l'entrée de ma chambre et une femme à mon chevet.
"Agent Strauss."
Je la regarda puis je vis une jeune blonde.
"C'est moi-même .. où du moins ce qu'il en reste."
"Toutes mes condoléances pour votre famille..."
"Merci. Ces hommes recherchaient des dossiers ... ils se faisaient appelé des mutants .. C'est vrai ? Ce n'est pas une rumeur grotesque ?"
"Oh non, croyez moi, cette rumeur est bien fondée et .. l'Agence à décidé d'ouvrir une section pour le dossier mutant, je voudrais vous avoir dans l'équipe, vous nous serez d'une grande aide. Votre main pourra être remplacé et ... votre oeil on ne peux rien y faire mais vous aurez les meilleurs soins et la meilleure réeducation de tout les Etats-Unis."
"Hm... Dîtes m'en plus sur ces hommes ..."
La femme entreprit de m'expliquer ce qu'elle savait, au tout début je n'y croyais pas, je le nier mentalement, parmis nous se trouvait des anormalités, des dégénérances, des erreurs de la nature et ils avaient tué ma famille ... je jurais de les vengé même si je dois y laissé ma propre vie. Quand la femme arrêta de parlé, elle me posa la question fatidique qui aller changé a jamais ma vie.
"Êtes vous avec nous, Agent Strauss ?"
Je répondis alors presque sur un ton rageant
"Si je suis avec vous, Agent ? Bien sûr ! Je suis votre homme."