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 The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand

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The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Vide
MessageSujet: The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand    The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Icon_minitimeJeu 24 Juil - 3:09


La dernière réunion du personnel de rédaction avait laissé Isaac l’esprit étonnamment songeur, la tête pleine d’une flopée de questions dont il n’avait malheureusement toujours pas les réponses. La ligne éditorial avait été claire sur les sujets à couvrir en priorité et il n’y avait rien d’étonnant à ce que les mutants soient à l’ordre du jour. La population inquiète, peut-être en partie effrayé attendais des réponses, des explications. Elle désirait savoir et c’était somme toute normal. Et le brun comprenait parfaitement les enjeux et choix de ses supérieurs dans l’affaire. Après tout ils avaient de quoi s’en donner à cœur joie. Ils avaient désormais tous les éléments pour monter un feuilleton qui tiendrait leur audience en haleine durant des mois. Le phénomène des mutants qui s’étendait au monde entier et pour couronner le tout un anti-héros parfait, Viktor Schmittlein. Il était non seulement photogénique, mais il semblait également prendre un malin plaisir à assumer totalement le rôle qu’on lui avait donné. Alors pourquoi les journalistes devraient-ils se priver d’en inonder les unes chaque jour ? Et lui n’était pas tant différent de ses collègues, s’intéressant tout autant au sujet que les autres, choisissant d’étudier et de couvrir le soi disant problème tout en apportant des réponses. Comme presque tous les autres il se voulait intègre et serviteur de la vérité. La seule différence résidait peut-être dans le fait qu’il avait fait partie de ceux qui avait découvert la vérité alors qu’elle était encore secrète.

Oui, dernièrement, le monde avait franchi un tournant important. Ils entraient tous dans une ère nouvelle, une ère pleine d’incertitude, de doutes et peut-être de danger. La révélation de l’existence du monde mutant qui s’était faite dans ce centre commercial avait chamboulé beaucoup de choses et il avait bien fallu que le gouvernement réponde à cet acte qui au fond leur forçait la main. Le journaliste savait que les dirigeants du pays connaissaient l’existence des mutants depuis bien plus longtemps que le reste de la population. Et c’était là qu’il était bon de se demander quelle place à l’avenir cela laissait-il ? Un avenir aux personnes comme lui, ou seulement aux personnes comme eux ? Et la coexistence dans tout ça ? Une guerre inévitable ? Il n’en était pas certain. Certes la situation actuelle reposait en grande partie sur une certaine violence à laquelle on pouvait sans trop de mal croire que des mutants comme Viktor et quelques autres répondraient de manière sans doute tout aussi brutal. Oui la situation était instable, mais Isaac avait au fond l’envie de croire, croire à une autre voie, mais pour ça il fallait se poser les bonnes questions pour savoir exactement ce que l’on faisait.

Alors tout en continuant son travail, le jeune homme cherchait les réponses sur l’avenir. Il avait toujours la ferme intention de s’entretenir avec le professeur Xavier depuis qu’il avait lu sa thèse et s’il voulait se montrer aussi impartial que possible il devait également connaitre l’avis des hommes qui dirigeait le pays, votaient les lois et dirigeait d’une certaine manière l’appareil judiciaire de tous le pays. Isaac savait qu’il se lançait dans un travail long et sans doute aussi complexe que risqué, mais ça ne le ferait pas reculer bien au contraire. Tenter de parler aux plus extrémistes serait peut-être nécessaire mais aujourd’hui c’était une voix beaucoup plus modéré et préoccupé d’un avenir commun qu’il désirait approcher. La famille Jenkins n’était plus tellement inconnu pour Isaac, ils avaient même figuré parmi ses premiers vrais articles, c’est donc avec un certain naturel qu’il avait pensé à obtenir une interview du politicien, mais toutes ses demandes et appels avaient été soit ignoré, soit esquivé d’une quelconque façon. Il lui en avait fallu pourtant bien plus pour se décourager, le journaliste n’ayant jamais reculé parce qu’on lui disait simplement non. Il n’y avait donc rien d’étonnant à le voir se présenter, le plus naturellement du monde et en pleine journée à la grille de la résidence de la famille.

« Bonjour, je viens voir le sénateur Jenkins. »

« Le sénateur n’attend aucune visite. »

« Vous en êtes certain ? Je suis pourtant censé le rencontrer et il était convenu que je vienne. Peut-être une erreur ? Vous devriez vérifier. »

C’était faux, Isaac n’avait réussi à obtenir aucun rendez-vous, mais il gardait un air totalement assurée en s’entretenant avec l’employé qui gardait la grille. Il tentait là un coup d’audace en espérant qu’on le laisse entrer et qu’une fois à l’intérieur, le sénateur finirait peut-être par lui accorder un peu de temps en le voyant malgré tous ses efforts être parvenu jusqu’à lui.

« Je ne crois pas que… »

« Oui je comprends bien que vous faites votre travail et que vous ne voulez pas déranger, mais êtes vous bien sûr d’être à l’abri d’une erreur ? Personnellement cela m’embêterait beaucoup de rater ce rendez-vous pour un simple malentendu d’emploi du temps. Je n’aime pas faire attendre, surtout Mr Jenkins, en plus du fait qu’il s’agit là d’un entretien très important. Mais si vous preniez la peine de vérifier ? Je suis tout disposé à attendre le temps qu’il faudra devant cette grille. »

Le journaliste n’avait qu’une chose à faire, tenir bon avec son mensonge sans montrer la moindre hésitation et installer au contraire le doute chez son interlocuteur. C’était un pari audacieux, mais l’assurance ouvrait parfois bien des portes, surtout quand on imaginait que la crainte d’être facilement découvert par une simple vérification suffisait à empêcher le recours à un tel tour. Après tout on s’attendait plus à le voir fureter partout autour de la résidence plutôt qu’à se présenter de lui-même à l’entrée.
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MessageSujet: Re: The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand    The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Icon_minitimeMer 6 Aoû - 14:14




Ce matin-là était plutôt tranquille, j'avais choisi de m'avancer et c'est donc armé de mes manuels de criminologie que j'étais sortie de ma chambre, pour m'installer sur le rebord, qui donnait directement sur l'entrée un étage plus bas. Et tout ce que je pouvais voir pour le moment, c'était des agents de sécurité, vêtue d'un costume noir, certains étaient installés devant l'entrée pendant que d'autres patrouillés autour de la maison, sans compter ceux qui étaient à l'intérieur et qui vous suivaient comme votre ombre...

Assise sur ce rebord, calé contre le mur derrière moi, je profitais du soleil et je prenais des notes sur les notions importantes. La criminologie était vraiment un sujet passionnant alors en tant qu'étudiante, j'avais décidé de m'orienter là-dedans. Ca me permettait en même temps de penser à autre chose qu'au souci de la famille Jenkins, depuis que les mutants étaient devenus une réalité pour tout le monde et que mon oncle, Richard Jenkins, avait changé son fusil d'épaule les concernant. Quant à moi, je faisais mon possible pour les aider, à l'intérieur du gouvernement.

Depuis peu, j'étais assignée à résidence bien sûr, je ne respectais absolument pas cette règle trouvant toujours un moyen pour échapper aux agents de la sécurité, mais c'était dans compter un garde du corps que je ne parvenais pas à semer, au moins il me laisser avoir un semblant de "liberté ", c'était toujours mieux que rien.

Je réalisais que je n'avais plus vraiment envie d'étudier en me rendant compte que je m'étais mise à gribouiller ma fiche de note... C'est avec un soupir que je fermais le manuel avant de fermer les yeux afin de me reposer quelques minutes lézardant au soleil par la même occasion, autant joindre l'utile à l'agréable. Mais c'est en entendant un bruit de talkie-walkie d'un des gardes derrière la porte de ma chambre que j'ouvris les yeux me demandant ce dont il pouvait bien s'agir cette fois. Puis je baissais le regard pour voir un agent de sécurité en grande conversation avec... Isaac Sullivan, un journaliste qui avait écrit des tas d'articles sur les Jenkins.

Cette journée n'allait pas être si ennuyante en fait, avec un sourire, je descendis du rebord pour rentrer dans ma chambre balançant carnet de notes et manuel sur le lit avant d'ouvrir la porte, poussant légèrement l'agent de sécurité afin de lui signaler ma présence et surtout que je voulais passer, et je me dirigeais vers l'entrée, j'ouvris légèrement la porte afin de pouvoir voir et mieux entendre ce qu'il se passait dehors, mais sans sortir pour autant. Entendant l'agent à l'entrée lui dire que le sénateur n'attendait aucune visite et pour cause, il était en réunion du soir au matin et ses collègues et autre journaliste en tout genre finissait par le voir plus que sa propre famille.

- Vous en êtes certain ? Je suis pourtant censé le rencontrer et il était convenu que je vienne. Peut-être une erreur ? Vous devriez vérifier.

Je souris, en entendant le journaliste tenter le tout pour le tout, je savais très bien qu'il n'avait pas de rendez-vous puisque je vadrouillais souvent près de son bureau quand je pouvais le voir pendant au moins cinq minutes et je m'amusais souvent à regarder les rendez-vous qu'il avait, alors j'avais vu Sullivan marquer quelque part, je l'aurais retenu. L'agent bafouilla quelques mots montrant que ce dernier n'était pas sur ce qu'il avancer, laissant bien évident savoir au journaliste que sa ruse pouvait en effet fonctionner.

- Oui je comprends bien que vous faites votre travail et que vous ne voulez pas déranger, mais êtes-vous bien sûr d'être à l'abri d'une erreur ? Personnellement, cela m'embêterait beaucoup de rater ce rendez-vous pour un simple malentendu d'emploi du temps. Je n'aime pas faire attendre, surtout Mr Jenkins, en plus du fait qu'il s'agit là d'un entretien très important. Mais si vous preniez la peine de vérifier ? Je suis tout disposé à attendre le temps qu'il faudra devant cette grille.

J'émis un léger rire en entendant le jeune homme tenter de se faire un chemin sans savoir s'il allait y parvenir réellement, il était temps de faire quelque chose avant que l'agent de sécurité ne sache plus qui croire, je sortis donc de ma cachette improviser pour sortir sous le regard curieux de deux autres agents.

- Allan, ouvrez cette grille à Monsieur Sullivan.

Ce dernier opina avant de s'exécuter, laissant le jeune homme enfin entré, je m'avançais vers lui avant de tendre la main dans sa direction. J'accompagnais ma prochaine réplique d'un sourire entendu.

- Alors comme ça, on avait rendez-vous avec Monsieur Jenkins ?

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MessageSujet: Re: The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand    The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Icon_minitimeJeu 11 Sep - 14:08


Il était parvenu à déstabiliser l’assurance de l’agent de sécurité, et loin de s’arrêter, il avait au contraire continué d’enfoncer le clou, ou plutôt dans ce cas précis le doute et le malaise du pauvre homme. C’était d’ailleurs là, la clé de toute son astuce pour entrer, montrer une assurance sans faille et surtout mettre son interlocuteur plus mal à l’aise qu’on ne pourrait l’être en déballant son mensonge. Et il était évident que ce n’était pas la première fois qu’il jouait ce jeu pour parvenir à ses fins. Il s’apprêtait d’ailleurs à mettre une dernière touche à son histoire pour faire céder le garde quand son attention avait été détourné par l’apparition de la nièce du sénateur Jenkins. Nièce qui ordonna qu’on laisse entrer le journaliste. Isaac avait alors enfin franchit la grille, agrémentant le pauvre Allan d’un hochement de tête en guise de salut, avant de s’avancer à la rencontre de Freya Jenkins et de lui serrer poliment la main.

« Mademoiselle Jenkins. C’est un plaisir de vous voir. »

Il avait accompagné son salut d’un sourire malicieux, réponse au propre sourire de la jeune femme, qui lui laissait bien sous-entendre qu’elle n’était pas complètement dupe de son petit manège à la grille. Depuis ses débuts dans le monde du journalisme, Isaac avait eu maintes occasions de la croiser, lui qui suivait le parcours de la famille Jenkins et surtout du sénateur avec une certaine attention. Il avait cependant bien conscience que ses petits tours pour s’infiltrer passaient nettement moins facilement avec les Jenkins, augmentant ainsi les chances de se faire mettre dehors à un moment. Cependant le journaliste avait déjà eu plusieurs fois l’occasion de discuter avec la nièce du sénateur et c’est avec le même ton entendu qu’il avait répondu à sa question.

« En effet oui. J’avais prévu de le rencontrer aujourd’hui… »

Jetant un regard aux quelques agents qui les entouraient il avait alors soufflé d’un ton beaucoup plus bas, pour que seule la jeune femme puisse l’entendre.

« … il ne le sait juste pas encore. »

Puisqu’il semblait démasqué, autant se montrer un minimum honnête. Et puis peut-être que son petit jeu parviendrait à tirer au moins un sourire à la nièce du sénateur. Certes il n’avait normalement rien à faire ici, mais il n’avait pas vu d’autre moyen de s’approcher de Mr Jenkins après que toutes ses demandes « officielles » aient reçu une réponse négative. Pourtant le gouvernement n’allait pas pouvoir jouer la carte de la discrétion et des quelques communiqués de presses éternellement. La situation avait en fait aux yeux d’Isaac tout pour devenir instable, au point qu’en plus de devoir gérer le monde mutant, il faudrait bientôt gérer les agissements d’une population terrifié. Et il ne demandait rien de plus que la réponse à quelques interrogations qu’il jugeait importante.

« A vrai dire j’espérais pouvoir obtenir un peu de ses opinions sur la politique et les affaires actuelles qui touche le pays. » Baissant à nouveau d’un ton pour que ces paroles ne soient pas entendues des gardes de la maison, il avait alors continué de s’expliquer.

« Je m’étais dit que la surprise de me trouver devant la porte de son bureau le convaincrait de m’accorder au moins cinq minutes… Ou lui laisserait au moins échapper quelques mots avant de me faire mettre à la porte. »

Nouveau sourire. Si le journaliste était certes doué dans son métier et pour se faufiler là où il n’avait pas toujours le droit, il n’était pas infaillible et il lui était arrivé plus d’une fois de se faire mettre dehors ou de devoir fuir à toute jambe. Mais puisqu’il avait été découvert par la jeune femme, il était normal qu’il lui donne quelques explications. En plus de ça il devait admettre qu’il prenait un certain plaisir à ce petit jeu où il pouvait continuer de faire croire à tous en dehors d’elle qu’il avait vraiment un rendez-vous avec le sénateur, tout en lançant un petit sourire de connivence à sa nièce.

« Enfin me voilà démasqué. Dommage, mon plan était pourtant presque parfait… Mais comment allez-vous depuis notre dernière rencontre ? »

Allait-elle le laisser poursuivre sa manœuvre et le conduire jusqu’au bureau de son oncle ou allait-elle le raccompagner sous peu à la grille ? Il l’ignorait, et bien que sa question puisse passer pour un détournement de la conversation et un moyen de gagner du temps, elle était pourtant avant tout la marque d’un intérêt sincère et de l’appréciation qu’il avait pour la jeune femme.
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MessageSujet: Re: The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand    The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Icon_minitimeSam 20 Sep - 23:45




Ce n'était pas la première fois que je voyais le journaliste bien au contraire. Isaac Sullivan avait écrit un nombre incalculable d'articles sur notre famille, et sur les opinions politique de mon oncle, en effet passer d'anti à pro mutant n'était pas une chose qui passait inaperçue. Et en y repensant j'avais eu de la chance qu'il soit si compréhensif quant à ma nature...
Je m'amusais à regarder le journaliste manipuler le garde, le faisant douter si bien que le garde ne savait plus vraiment quoi dire de peur de commettre une erreur, s'il le laissait entrer ou non. Je décidais donc d'intervenir avant que le journaliste ne rende littéralement chèvre ce pauvre garde.

- Mademoiselle Jenkins. C’est un plaisir de vous voir.

Je m'étais contenté de sourire, sans vraiment oser répondre préférant reprendre son mensonge, je savais très bien qu'il n'avait pas rendez-vous avec mon oncle, il refusait toute entrevue tant que sa campagne n'allait pas un peu mieux... Le jeune homme ne tarda pas à regarder où se trouvaient les gardes avant de reprendre la parole au sujet du fameux rendez-vous.

- … il ne le sait juste pas encore.

- Voyez-vous ça.

Je souris avant de river mes yeux sur les siens, attendant sa prochaine réplique, je ne comprenais pas pourquoi mon oncle ne voulait pas lui accorder une interview. Il était un des rares journalistes à avoir suivi les aventures de la famille Jenkins sans ajouter des choses qui ne c'était pas passé. Et le jeune homme ne tarda pas à reprendre la parole. Un œil sur le garde près de la grille, j'écoutais attentivement ce que le journaliste avait à dire.

- A vrai dire j’espérais pouvoir obtenir un peu de ses opinions sur la politique et les affaires actuelles qui touche le pays. Je m’étais dit que la surprise de me trouver devant la porte de son bureau le convaincrait de m’accorder au moins cinq minutes… Ou lui laisserait au moins échapper quelques mots avant de me faire mettre à la porte.

- Mon oncle est en pleine réunion pour le moment la situation étant assez compliquée comme ça... Il faudra vous contentez de ma présence j'en ai bien peur.

Mon sourire se fit plus désoler, en ce moment c'est à peine si je réussissais à voir mon oncle, entre ses différents rendez-vous, mes études et mon petit boulot...

- Enfin me voilà démasqué. Dommage, mon plan était pourtant presque parfait… Mais comment allez-vous depuis notre dernière rencontre ?

- Presque en effet, il faudra que nous informions les gardes de votre petit tour, franchir cette grille ne sera pas si facile la prochaine fois. Je vais bien je vous remercie et vous ?

J'accompagnais ma remarque d'un nouveau sourire, j'ignorais si je le mettais au défi de recommencer, comme un jeu ou le jeune homme devait se surpasser, mais je ne me faisais aucun souci pour lui, il arriverait à berner les gardes une nouvelle fois, ça ne faisait aucun doute.

- Vous voulez entrer ? Je meurs d'envie de prendre un café.

J'indiquais d'une main le chemin à suivre ignorant s'il allait rester. Mais je n'étais pas vraiment décidée à le laisser partir sans au moins avoir tenté, je n'avais pas vraiment envie de retourner étudier ou encore de supporter les différentes disputes dont j'avais pu être témoin entre mon oncle et ses "collègues". Ou encore supporter les gardes qui avaient tendance à être un peu trop présents...

- On a du thé sinon, et des petits sablés qui n'attendent que d'être dégustés. Vous pouvez toujours tenter de me parler de votre article si le cœur vous en dit.

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MessageSujet: Re: The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand    The earth is a paper that everyone reads and prints but nobody understand  Icon_minitime


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