|
| | Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. | |
| Auteur | Message |
---|
Invité
Invité
| Sujet: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:32 | |
| MONA DI FALCONE FEAT CINTIA DICKER | Prénom : Anemone dite « Mona ». Parce qu'avoir le nom d'une fleur, ça pue. Second Prénom : Jamais avoué : Gioconda. Elle le trouve proprement ridicule. Nom de famille : Di Falcone. Nom Mutant : Dementia. Date de Naissance : 28 décembre 1943. Lieu de Naissance : Milan, Italie. Origines : Italiennes. Nationalité : Américano-italienne. Cheveux : Roux. Yeux : Bleus. Taille : 1m78. Pouvoir(s) : Technopathe, elle a la particularité de contrôler tout appareil électronique passant à sa portée (d'un rayon d'une vingtaine de mètre à ce jour) grâce à son esprit. De plus, elle a récemment découvert qu'elle pouvait aussi infiltrer le cerveau humain en envoyant un "virus" à ce dernier, interrompant la liaison entre les synapses. Plutôt fun, sachant que sa cible, suite à ce procédé, montre un certain état de confusion et de démence, une fois l'activité de ses neurones perturbée. Sensibles ces p'tites bêtes là. Étude(s) : En deuxième cycle à la New York University School of Medicine, bien qu'elle n'aie en réalité besoin d'aucun diplôme ni quoi que ce soit pour obtenir tout ce qu'elle veut comme qualifications. Métier : Fille-à-papa et hackeuse, ça compte ? Lieu de résidence : Chicago, Miami, New York, voir Hong Kong, Verone, Nijni Novgorod ou Paris... Cela dépend. La famille de Mona à des résidences un peu partout dans le monde, quand ce n'est pas des hôtels particuliers. Statut Social : Tu m'touches, j'te bouffe. Orientation Sexuelle : Va voir ailleurs si j'y suis. Groupe : Club des damnés.
|
QUI JE SUIS ? Dans cette partie, tu peux présenter ton personnage en 30 petites lignes minimum sous forme de RP mais attention... nous ne te demanderons pas de parler de sa vie et son caractère dans les moindres détails, ah ça non ! Pourquoi donc ? Eh bien, c'est encore mieux de tout découvrir à travers les sujets de RP. Nous trouvons ça dommage de tout mettre dans une fiche, le personnage perd de son mystère une fois dans le jeu (eh puis on veut pas faire comme tout le monde, na!) Donc, pour reprendre où j'en étais, dans cette partie, tu présentes ton personnage sous forme de RP, sans trop donner de détails mais en laissant quand même apercevoir un peu de sa vie et de son caractère voire même son pouvoir s'il est mutant ou ses opinions s'il venait à apprendre l'existence des mutants s'il est humain (à savoir qu'un humain ne se doute pas encore de l'existence des mutants, sauf s'il en a un parmi ses proches ou s'il en connait). Si tu as le moindre souci concernant cette partie de la fiche, pose tes questions dans ce sujet.
QUESTIONNAIRE Trois principales qualités : Allumée, instinctive, sulfureuse. Trois principaux défauts : Perfide, inconséquente, inflexible. Signe(s) physique(s) particulier(s) : Visage constellé de tâches de rousseur. Autres signes particuliers : (Allergies, style de vie, phobie etc... - Attention, pas de maladies psychologiques, cela peut sensibiliser certains membres et ce n'est pas le thème principal du forum) Rêve(s) le(s) plus fou(s) : Désir(s) d'avenir :
Dernière édition par Mona Di Falcone le Dim 26 Juin - 2:15, édité 4 fois
|
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:33 | |
| Je hais les Hommes, ces abrutis. Bien qu'il soit meilleur pour détruire que construire, il y avait au moins une chose de bien que l'on pouvait imputer à l'Homme : l'électronique. Créer ce genre d'équipement était une des seules qualités que Mona, en cherchant bien, avait pu leur trouver, à ces cloportes. Encore qu'elle avouait difficilement leur accorder le bénéfice du doute, car qui disait que, dans le lot, il n'y avait pas eu des mutants qui avaient mis la main à la patte ? Mona ayant toujours vécu dans une famille composée et auprès d'autres mutants, elle savait bien qu'elle n'était pas seule au monde à être meilleur que les petites gens. Ces pauvres humains en perdition... Pouvaient-ils, au fond, avoir une utilité réelle ? Après tout, ils étaient voués à disparaître ; à l'image du Néendertal qui avait laissé sa place, il fallait que l'Homo sapiens accepte sa destinée... Sa succession. Les mutants, la nouvelle espèce : l'évolution.
Tout comme les hommes, l'électronique, lui aussi, évoluait, à la différence qu'il le faisait bien plus rapidement. L'Homme, lui, hormis en ce qui concernait les mutants, avait plutôt l'air de régresser. Pour l'électronique, l'évolution était constante, linéaire, et d'une rapidité sans précédent. Depuis le milieu du XIXè qui avait amené avec lui la Révolution Industrielle et ainsi, la promesse d'une nouvelle ère, la société avait considérablement changé. En mal, en bien... L'italienne ne se serait pas laissée aller à commenter de la sorte. Quelque part, elle se foutait de tout, tant qu'elle y trouvait son compte. Et elle, ça l'arrangeait que chaque jour, l'humain continue de se perfectionner et de faire confiance à l'électronique comme solution d'avenir ; plus il le faisait et plus grand son pouvoir devenait. Technopathe. C'était le don dont avait hérité la jeune femme à la naissance et qu'elle tenait de son père, Giacobbe Di Falcone alias Battery. Non content d'être connu pour son grand sens des entreprises et du business, ce dernier maîtrisait également tout flux d'énergie passant à sa portée, en plus d'avoir la capacité de produire lui-même cette énergie. Quant à sa défunte femme, Elisa Montero-Di Falcone, celle-ci avait la particularité – et non la moindre – de créer n'importe quelle race de plante à partir de rien, ayant une préférence notée pour les plus rares ou les cactus, ce qui lui avait valu le surnom de Wild Grasses. C'était donc tout naturellement que Mona avait développé son propre don, sans jamais s'interroger sur sa provenance et sa raison d'être. Il la composait, et faisait d'elle ce qu'elle était. Pour rien au monde elle aurait souhaiter s'en séparer. Au contraire ; au final, c'était plutôt la normalité, qui lui faisait peur.
Elle se considérait plus Dementia qu'Anemone. Elle avait accepté son nom de naissance mais, quelque part, pour elle, il ne s'agissait pas du bon. Mona était, au fond, le vrai pseudonyme, l'identité sous laquelle elle se cachait pour se fondre dans le décor. Dementia était, en revanche, le vrai prolongement de sa personne et de sa personnalité. Déséquilibrée. Et, telle une funambulle avide de prouver sa valeur, elle glissait sur le monde comme le fil sans prêter attention à la chute. Craindre la mort, pourquoi faire ? Oublier qu'un jour elle viendrait nous chercher, sans crier gare, et nous reprendrait notre âme d'un grand coup de faux ? Et après ? C'était vraiment une appréhension d'PD. La mort faisait partie de la vie. Ça, Elisa l'avait compris avant elle, quand l'étincelle l'avait quittée. Elle n'avait même pas criée, même pas eu peur, aussi loin que Mona s'en souvenait, du haut de ses 10ans, alors qu'elle avait assisté à la scène. Elle était morte sans bruit, sans larmes, sans protestation, couchée sur son amant dont les yeux aussi avaient perdu toute trace de vie. Son père l'avait alors regardée et avait dit que c'était pour le mieux, qu'on devait tous partir un jour et que c'était celui-là pour elle. Que, quelque part, son énergie continuerait de vivre en lui, et son souvenir en elle. La petite avait acquiescé avant d'aller se blottir contre la jambe de son paternel, et de rire quand sa main avait glissé à travers sa chevelure. Peu important les deux cadavres à leurs pieds, ils étaient inutiles à présent. Chaque destinée s'accomplissait un jour. Qu'importe comment ou pourquoi elle mourrait, car elle le ferait bien, ce jour là, elle ne ferait pas de chichis non plus. Elle le ferait en silence, et non pas dignement ; on peut vivre dans la dignité, mais pas y mourir, car il n'existait pas de mort digne. Et c'est ainsi qu'elle vivrait. Le luxe en plus, cela dit en passant. Sa vie funambulle sur le point de se casser la gueule. Deux yeux lagons fixaient l'incongru avec la finesse d'un scalpel, découpant presque chirurgicalement sa silhouette, de haut en bas, tête penchée sur le côté comme s'il s'était agi d'une statue de Rodin. Mais ce n'était rien d'autre qu'un homme. Un homme envahissant son espace vital pour lui offrir un verre. Une moue dubitative monta sur ses lèvres alors qu'elle le transperçait, sa voix d'ordinaire piquante devenue lasse et lointaine. Elle n'avait pas mis bien longtemps pour faire son choix. « Des mecs comme toi j'm'en fais un par jour au petit déjeuner. Alors, le coup d'la pauvre drague minable, tu repasseras demain matin, 9h. Allez, dégage. » Elle ne lui avait déjà accordé que trop de son temps. Déjà elle regrettait d'être venue dans ce petit café New-Yorkais après son cours de Sciences Humaines. Il était, certes, mignon, mais au bout de quelques phrases, il était devenu sans saveur. La saveur résidait dans le mystère. Lui, était arrivé, dépliant son corps vigoureux au potentiel reproductible certain en même temps que son curriculum vitae. Alors, il avait perdu tout intérêt. Ceux-là, déversant leur confiance en soi sur les autres comme de l'eau de cologne bon marché sur leur corps, étaient certainement les pires personnes au monde. Ils donnaient à Mona l'impression de ne pas être assez bien pour qu'ils fournissent le moindre effort, crée la moindre surprise. Les gens s'entêtaient à être prévisibles, comme des machines, malgré qu'ils soient dotés d'un organe fascinant comme pouvait l'être le cerveau humain. Et, si eux, elle ne pouvait pas se targuer de les contrôler d'une simple pensée, elle était pourtant très douée quand il s'agissait de les plier à sa volonté. Malgré le potentiel illimité que le cerveau leur offrait, ils n'en utilisaient même pas 1%. Ils étaient si limités par leur propre ignorance, si formatés par leur civilisation... Tous suintaient le même parfum fade par tous les pores. Des déchets, voilà ce qu'ils représentaient, tout au plus des nuisibles. Et se rappeler leur existence seule suffisait à annoncer une journée pourrie ; celle-ci en serait donc une. Faisant craquer ses doigts, elle repartit dans ses pensées, arborant un air bougon. La vie était si plate, au fond. La Terre avait beau être ronde, cette propriété physique ne changeait rien au fond que les jours se suivaient et se ressemblaient tous. Pourtant, la société était en train de changer. Sous peu, le cours des choses se verraient bouleverser. Pour l'instant, c'était trop infime pour avoir un impact réel mais, bientôt, une guerre frapperait. Une guerre qui aurait des conséquences majeures pour son futur. Un avenir nouveau pointait son nez, oui. Mona, elle, en avait conscience. Les autres, pas encore. Et cette guerre, le Club la déclencherait. Le Club, vous demandez vous ? Les Club des Damnés... Tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment ce que c'est. Hormis quelques privilégiés, comme elle et son père, et sa défunte mère il fut un temps. Un nom important, de l'influence et une société au capital avec beaucoup de zéro, et vous voilà entré. Et, avec une petite mutation en plus, vous accédez au cercle encore plus privé, plus loin que la façade dorée. Derrière ces murs là, couve l'avenir de notre nation : un groupe de mutants prêts décidés à se montrer au grand jour, à asseoir la domination qui lui est due sur le monde, mettre aux placards ces humains démodés, remplacés par le modèle au dessus. Rien de plus que la suite logique des choses auquel notre monde de capitalisme formaté à la sauce société de consommation devra avoir droit, tôt ou tard. Quoi de plus légitime après tout que de mettre en avant le meilleur produit de la chaîne, l'incarnation de l'avenir ? Après tout, on arrête pas le progrés. Sebastian Shaw ne faisait simplement qu'accélérer un peu le processus en donnant aux mutants une reconnaissance qu'ils méritaient. Et, bien qu'on pouvait critiquer ses méthodes, pour Mona, seul le résultat importait. Le reste, des dommages collatéraux, comme il y en avait toujours quand la face du monde se trouvait défigurée. Mais le Monde, comme toujours après les flammes, renaîtrait de ses cendres et redeviendrait prospère. Comme depuis la nuit des temps, il s'adapterait, et la Terre ne s'arrêterait pas de tourner, quoi qu'il advienne. En somme, Mona avait choisi le bon camp. Choisir de vivre plus longtemps en ne se trouvant pas du côté des carcasses carbonisées puantes.
Dernière édition par Mona Di Falcone le Dim 26 Juin - 1:28, édité 5 fois
|
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:34 | |
| Je suis le premier Youpi!!!!! Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche :x004: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:39 | |
| Bienvenue sur le forum. J'ai hâte de savoir quel pouvoir tu vas avoir.
Oui, pour une fois, tu es le premier James (tu m'as prit de court :x003: ). |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:51 | |
| |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 19:52 | |
| |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 20:06 | |
| |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 20:24 | |
| Bienvenue :017: bon courage pour ta fiche |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 20:26 | |
| Bienvenue parmis nous :x003: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 21:04 | |
| Cintia est un très bon choix d'avatar.. Bienvenue ici. Aussi, je suis très impatient de voir quel caractère aura cette demoiselle. Rien que le début m'amuse. Il serait possible que je vienne réclamer un lien dans le futur... |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 21:11 | |
| bienvenue et bonne continuation :x002: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 21:15 | |
| Bienvenue et bonne chance :007: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 21:20 | |
| Mais, mais c'est mon PV ?! Bienvenue bonnasse. :009: |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Lun 20 Juin - 23:23 | |
| Merci tout le mooooooooonde. Wolvy comment t'as carburé !! Mais vous battez pas pour moi avec Rob' hein. xD Ruben, tout ce que tu veux pour un lien, un tel prénom avec un RDJ en vava, j'peux pas résister. *o* Aaaaaaaaz', coupain rouge :007: & mon cher papa créateur grâce à qui je vois le jouuur, tu me réserves une place hein. <3 J'espère que le perso va te plaire, j'ai bien envie de me faire aduler un peu... :x004:
|
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Mar 21 Juin - 17:30 | |
| Wow, je suis sous le charme et voir une si belle jeune femme au Club me ravi... Je sens que nous pourrons faire de grandes choses ensemble :x004:, nous créer notre place dans la société, nous.... /pan/
Oui j'arrête de recruter rohlala.... Welcome sinon, et bonne chance pour ta fiche ! |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Jeu 23 Juin - 16:10 | |
| |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Dim 26 Juin - 2:02 | |
| Merci mes chers futurs collègues :x004:
|
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. Dim 26 Juin - 10:23 | |
| Je te valide, nouvelle damnée, bon jeu :x003: |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. | |
| |
| | | | Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, défilent lentement dans mon âme. | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|