Sujet: Re: Hey you ! You're not alone ! [TERMINE] Sam 16 Nov - 14:00
HRP: pas de soucis. On clôture, ou tu veux écrire un dernier message?
Rosalee & Diana
De 6h50 à 6h55
-J y compte bien !
Sur cet dernière phrase plutôt, ma fois, assez joyeuse comparée à la première parole qu'elle avait prononcée en ma présence, je lui fis un sourire qui répondit au sien. Lui aussi, par ailleurs, assez heureux. Bien contente d'avoir donné un peu de joie ou du moins de divertissement dans la journée de la jeune femme en face de moi, je la regardai ranger le billet dans le tiroir de la caisse et revenir avec la monnaie. En même temps que je jetais dans mon sac les quelques pièces qu'elle m'avait rendues, sans y faire plus attention, je me levai dans un retentissement de chaise qui crie. Une fois de plus, je jetai un regard aux deux énergumènes qui m'accompagnaient. Donc... Dug, qui avait suivi du regard Rosalee, posait en ce moment les yeux sur moi. Il s'était levé, et attendait que j'avance par devant lui. Je me rappelai qu'il y a quelques secondes, la jeune serveuse l'avait caressé, et je puis affirmer qu'il n'avait pas trop apprécié. Il s'était raidi comme un branche d'arbre, mais pourtant, il n'avait pas bronché. Signe qu'il acceptait qu'elle ne soit peut-être pas dangereuse pour moi. Déjà que quand s'était moi qui le caressait, s'était limite... Cela m'aurait étonnée qu'il accueil avec un « sourire » la main d'une inconnue. Quant à l'écureuil, il était retourné bien sagement dans ma poche, non sans une dernière visite chez Rosalee, ses mains en particulier, qui avaient l'air de l'intéresser grandement.
-Alors dans ce cas, à bientôt! lui lançai-je avec un dernier sourire avant de dégainer mon parapluie déchiré et d'ouvrir la porte d'entrée.
A ce moment là, une ruée de vent s'engouffra dans le bar en me traversant, me faisant presque revenir en arrière pour rester avec Rosalee qui était tellement semblable à moi et continuer à discuter. Malheureusement, les cours que je devait dispenser dans une heure me firent redonner raison. Je sortais donc pour passer du chaud au froid mouillé, et sombrai dans mes pensées, le chien sur mes talons.